2006 ne fait que confirmer le réchauffement global de la planète.
Plus de 45 degrés le 1er janvier à Sydney, 60 000 km2 de banquise en moins dans l’Arctique: le bilan 2006 de l’Organisation météorologique mondiale confirme le réchauffement de la planète.
L’année 2006 est « pour la planète, la 6e année la plus chaude, la 4e pour l’hémisphère nord et la 2e pour la France » a déclaré le secrétaire général de l’OMM, Michel Jarraud. Et pour 2007, notamment en raison du phénomène El Nino dans le Pacifique, des températures encore plus élevées sont attendues.
Conséquences: tempêtes tropicales, inondations, sécheresses, notamment en Afrique et élevation du niveau des mers vont s’accentuer.
Grosse source d’inquiétude: cet hiver, le phénomène semble global et non pas régional.
Ce phénomène n’est donc pas lié à la pollution locale, ilots urbains ou au dérèglement du Gulf Stream (dont la puissance thermique est équivalente environ à 1 million de réacteurs nucléaires…).
Source: OMM et Le rechauffement en Australie.