Savants maudits, Chercheurs exclus : Tome 2
de Pierre Lance
Langue : Français Éditeur : Editeur Guy Tredaniel (21 février 2005)
Collection : Survivants illégaux et guérisons interdites
Format : Broché – 351 pages
ISBN : 2844455727
Dimensions (en cm) : 16 x 2 x 24
Savants du livre :
Nikola Tesla, ingénieur américain d’origine serbe, qui fut un des pionniers de l’électricité et le promoteur du courant alternatif aujourd’hui mondialement adopté. Il parvenait au cours de ses expériences à produire dans un bruit de tonnerre des éclairs de 40 mètres et il découvrit le moyen d’utiliser la Terre comme une prise électrique géante pour produire de l’énergie électrique en quantité illimitée. Après sa mort, cette invention fut occultée et jamais exploitée.
Linus Pauling, biochimiste américain mondialement connu, Prix Nobel de chimie 1954 et Prix Nobel de la Paix 1963. Bien qu’unanimement célébré, il fut soudain violemment critiqué et mis à l’index lorsqu’il développa sa théorie selon laquelle le cancer peut être mis en échec par la simple prise de Vitamine C à hautes doses. Le corps médical fut contraint d’admettre la valeur de cette vitamine, mais déconseilla les fortes doses et n’admit que les doses minimes sans véritable effet thérapeutique.
André Gernez, ancien médecin-chef à l’hôpital de Roubaix, qui découvrit dans les années soixante le moyen de stopper toute apparition du cancer par la prise périodique d’un sédatif léger couramment utilisé pour les nourrissons et ne présentant aucun effet secondaire. Bien qu’ayant retenu un moment l’attention du gouvernement américain du Président Nixon, cette découverte fut finalement étouffée en France comme aux U.S.A
Gaston Naessens, inventeur en 1945 d’un médicament anti-cancéreux très efficace, grâce à un microscope révolutionnaire mis au point par lui-même. Il fut poursuivi et condamné en France pour exercice illégal de la médecine et il dut, en 1964, s’exiler au Québec, d’où il continue de diffuser son produit vers 80 pays, malgré les ennuis que lui créent parfois les autorités médicales canadiennes.
David Rees-Evans, guérisseur gallois héritier d’une longue tradition familiale en phytothérapie, qui parvenait à détruire les tumeurs cancéreuses avec des cataplasmes de plantes. Malgré divers procès, sa notoriété due à ses succès ne cessa de s’étendre en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. La pression de l’opinion publique obtint du gouvernemental Britannique la nomination d’une Commission d’enquête officielle, mais celle-ci contesta ses résultats et tenta de le discréditer.
Jean-Pierre Maschi, médecin généraliste niçois qui découvrit dans les années 60 que la « pollution électrique » était la cause principale de la sclérose en plaques. Il mit au point un traitement efficace pour la soigner. Ses nombreux succès lui valurent les premières pages de la presse et une accusation de publicité par l’Ordre des médecins, qui le radia à vie. Sans se soucier de cette radiation, il continua de soigner de nombreux patients.
Paul Thépenier, ingénieur des arts et métiers, spécialiste des exploitations pétrolières, qui découvrit avant la guerre de 1940 le moyen de soigner avec succès la tuberculose et le cancer grâce à des moisissures de pétrole. Encouragé par un professeur de médecine, il put effectuer en milieu hospitalier des essais réussis. Mais toutes ses communications à l’Académie de médecine furent ignorées et sa découverte fut négligée.
Pierre Delbet, grand patron chirurgien, membre des Académies de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant la guerre de 14-18 l’effet régénérateur et anticancéreux du chlorure de magnésium. Il prouva la validité de cette thérapie par de nombreuses expériences ainsi que par des cartes géographiques faisant apparaître la bien moindre fréquence du cancer dans les régions riches en magnésium, mais il ne parvint jamais à persuader ses confrères de proposer une politique préventive du cancer.
Auguste Lumière, co-inventeur du cinéma, qui consacra la seconde partie de sa vie à des recherches médicales très poussées et couronnées de succès, notamment contre la tuberculose. Auteur de plus de 20 ouvrages médicaux, créateur de 150 spécialités pharmaceutiques et d’une clinique lyonnaise réputée employant 15 médecins et 30 collaborateurs, il ne put jamais faire reconnaître officiellement la valeur de ses travaux et son oeuvre tomba dans l’oubli.
Norbert Duffaut, chimiste qui découvrit en 1957 le silicium organique et ses vertus thérapeutiques et régénératrices. Il put apporter, au cours d’essais hospitaliers, la preuve de son efficacité contre le cancer et les maladies cardio-vasculaires. Malgré des succès spectaculaires et des demandes réitérées, il ne réussit jamais à obtenir l’autorisation de mise sur le marché de son DNR comme médicament.
Jacques Benveniste, interne des hôpitaux, directeur de recherche à l’Inserm, qui découvrit en 1984 le phénomène dit « de la mémoire de l’eau », lequel explique l’efficacité des hautes dilutions homéopathiques (volumes aquatiques dans lesquels toute trace de la molécule initialement diffusée a disparu). Il expliqua leur effet par la transmission d’informations imprégnées, de surcroît enregistrables et transmissibles par Internet. Il subira toujours l’ostracisme des cénacles officiels jusqu’à son décès en 2004.
Louis Kervran, biologiste qui découvrit dans les années 60 la réalité des transmutations biologiques, c’est-à-dire la transformation des atomes à l’intérieur des organismes vivants, analogue aux transmutations revendiquées par les alchimistes médiévaux. (C’est ainsi que les poules qui ne trouvent pas de calcaire dans leur environnement picorent les parcelles de mica que leur corps transforme en calcaire pour édifier les coquilles d’oeufs). Malgré les nombreuses preuves qu’il apporta de ce que l’on appela après lui la « fusion froide », le monde scientifique refuse encore de croire à cette possibilité qui ouvrirait à la science de larges horizons énergétiques et biologiques.