Les habitants de Harbin, capitale de la province de Heilongjiang, dans le nord de la Chine, l’ont échappé belle quand la nappe de produits toxiques, d’une longueur de 80 kilomètres, a dérivé sur les eaux à moitié gelées de la rivière Songhua. Des substances polluantes, principalement du benzène et du nitrobenzène, cancérigènes et dangereux même à petite dose, qui, samedi 26 novembre, ne devraient plus être présents dans cette zone, car emportés par le courant vers le fleuve Amour et la ville russe de Khabarovsk.