Avec ses 30 000 à 40 000 tonnes de marc et d’effluents viticoles, le vignoble alsacien pourrait envisager la construction d’une centrale électrique à biogaz.
Mais la viticulture a-t-elle prise la mesure des questions et des défis énergétiques ?
Avec ses 30 000 à 40 000 tonnes de marc et d’effluents viticoles, le vignoble alsacien pourrait envisager la construction d’une centrale électrique à biogaz.
Mais la viticulture a-t-elle prise la mesure des questions et des défis énergétiques ?