Certains espèrent qu’un pétrole à plus de 75 $ le baril entraînera un ralentissement de la consommation de combustibles pétroliers (carburants…), et donc une réduction d’émission de gaz à effet de serre. C’est oublier un peu vite qu’il est facile, et rentable, de produire des carburants «pétroliers» à partir d’autres sources, quasiment inépuisables à notre échelle de temps.