C’est le plus sage !L année dernière j ai eu quasiment 100% de mes graines qui ont levées mais certaines ont filé. Cette année ,le taux de germination fut assez faible, mais aucun n a filé...je n ai pas d explication.. peut être que cette recolte de graines qui date de 2020 à atteint sa durée germinative !...
les années se suivent et ne ressemblent pas.
Je vais refaire mon stock de graines cette année...
Une petite digression pour comprendre ce qui se passe.
Tous les professionnels du végétal comme animal et particulièrement en santé dans ces domaines, apprennent les grandes règles de la biologie et ensuite ils vont faire le contraire de ce qu’ils y ont appris pour des raisons de production (donc de business).
Le biologie nous apprend que la reproduction de plantes (et aussi d’animaux) doit être diversifiée pour éviter les phénomènes de dégénérescence dans un milieu restreint. En jardinage (mais c’est aussi vrai quelque soit l’importance des espaces de culture,) la pollinisation privilégie la moindre dépense d’énergie et donc les insectes pollinisateurs vont polliniser les plants les plus proches-(je sais qu’il s’agit d’une évidence mais que beaucoup oublient) donc à partir de quelques plants sans lien « familial » la pollinisation va progressivement augmenter le nombre de frères, de sœurs, de cousins, de cousines, et donc la dégénérescence naturelle. Afin d’éviter ce phénomène la nature, (ou création) a été bien pensée en faisant exister, en même temps, des prédateurs de ces plantes, animaux, les plus faibles afin de maintenir la pérennité et la robustesse des individus et de leur descendance, appelé sélection naturelle. Donc soit elle favorise la destruction des plantes et animaux non viables, soit elle favorise la stérilité progressive.
Malheureusement ce phénomène est contrarié par l’intervention humaine en maintenant un système qui favorise cette dégradation progressive, mais inéluctable. D’où la multitude de « traitements » utilisés par maintenir cette dégénérescence en place sous prétexte de nourrir le maximum d’individus humains sans prendre en compte l’affaiblissement que cela provoque dans ces populations humaines et animales sous influence humaine.
En clair les parasites et prédateurs sont une « bénédiction » (divine dirait Simplet) afin de réduire cette dégradation du vivant.