Coup de gueule contre la biodynamie
Re: Coup de gueule contre la biodynamie
La biodynamique, je ne connaissais que de nom, je suis allé consulter Wikipédia. De mon point de vue c'est de la fumisterie mais pas dangereuse en soi.
Comme c'est de l'ordre de la conviction , de la foi, chacun à le droit de pratiquer si cela lui apporte de l'apaisement du mieux être, tant mieux.
Dans le domaine des croyances plus ou moins fondées, je voudrais témoigner d'une expérience que j'ai faite. J'avais lu un article (avant internet, 30 ans environ) ou il était question d'utiliser l'électricité généré par la terre pour faire pousser plus les plantes.
Je vous la fais courte, c'était plus alambiqué que ça.
Mais l'expérience était simple et bien que septique j'ai essayé.
J'ai fait un tore en cuivre du diamètre d'un pot en terre avec du fil de 5mm. Le tore brasé à l'étain plomb.
La brasure devait être orientée vers le nord et le tore incliné de 10° par rapport à l'axe du pot, la brasur au point haut.
J'ai choisi 2 boutures de cassis identiques, même taille, même nombre de feuilles.
Je les ai plantées même profondeur même arrosage 2 fois par jour.
AU bout de 4 heures celle du pot avec tore à flétrie plus, nettement. Les 2 feuilles du bas ont jaunies plus vite.
Mais au final les 2 plantes ont fait des racines, aucune différences hors celles du début.
Malgré ça je ne peut paire qu'il n'y a pas d'effet, étonnant quand même.
Après j'ai fait une autre expérience bien plsu complexe et loin du domaine du jardinage du paresseux car j'ai remué plusieurs mètres cube de terre.
Au final, cela sert à rien, j'ai constaté un petit phénomène sur les plantes à feuilles (salades, choux)mais tellement infime et pas spécialement avantageux que j'en suis resté là.
Comme c'est de l'ordre de la conviction , de la foi, chacun à le droit de pratiquer si cela lui apporte de l'apaisement du mieux être, tant mieux.
Dans le domaine des croyances plus ou moins fondées, je voudrais témoigner d'une expérience que j'ai faite. J'avais lu un article (avant internet, 30 ans environ) ou il était question d'utiliser l'électricité généré par la terre pour faire pousser plus les plantes.
Je vous la fais courte, c'était plus alambiqué que ça.
Mais l'expérience était simple et bien que septique j'ai essayé.
J'ai fait un tore en cuivre du diamètre d'un pot en terre avec du fil de 5mm. Le tore brasé à l'étain plomb.
La brasure devait être orientée vers le nord et le tore incliné de 10° par rapport à l'axe du pot, la brasur au point haut.
J'ai choisi 2 boutures de cassis identiques, même taille, même nombre de feuilles.
Je les ai plantées même profondeur même arrosage 2 fois par jour.
AU bout de 4 heures celle du pot avec tore à flétrie plus, nettement. Les 2 feuilles du bas ont jaunies plus vite.
Mais au final les 2 plantes ont fait des racines, aucune différences hors celles du début.
Malgré ça je ne peut paire qu'il n'y a pas d'effet, étonnant quand même.
Après j'ai fait une autre expérience bien plsu complexe et loin du domaine du jardinage du paresseux car j'ai remué plusieurs mètres cube de terre.
Au final, cela sert à rien, j'ai constaté un petit phénomène sur les plantes à feuilles (salades, choux)mais tellement infime et pas spécialement avantageux que j'en suis resté là.
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
En sachant, je le répète, que sans répétitions et sans analyse statistique adéquate, sur du vivant, de toute façon, s'il y avait eu une différence observable... bof... bof...
Plante deux plantes de la même variété / souche, le même jour, dans deux pots remplis de la même façon, que tu traites à l’identique et je te parie qu'il y aura une différence observable... Tu peux "scénariser" : tu mets une coquille de StJacques collé sur un des pots. Tu as 50 % de chance de démontrer que la coquille St Jacques favorise l’enracinement des plantes en pots ! Et 50 % qu'elle le freine...
Ces différences résultent de tous les paramètres "non maîtrisés", qui sont nombreux... Un chat qui a pissé ici... un campagnol qui est mort là... une infection lors du bouturage, une racine arrachée lors du dépotage, un ceci, un cela... Ce type "d'aléas", il faut les éliminer par des répétitions aléatoires et un traitement statistique...
Imagine que cela ait donné une différence allant dans le sens de ce que tu pensais ! Tout autant fruit du hasard ! Mais tu aurais propagé avec beaucoup de conviction une idée parfaitement fausse...
Hélas, hormis les essais selon protocole en station, les essais individuels reposent généralement sur une observation... Mais beaucoup de personnes appliquent un même protocole, et observent les résultats selon une même grille, on peut traiter les résultats !
Plante deux plantes de la même variété / souche, le même jour, dans deux pots remplis de la même façon, que tu traites à l’identique et je te parie qu'il y aura une différence observable... Tu peux "scénariser" : tu mets une coquille de StJacques collé sur un des pots. Tu as 50 % de chance de démontrer que la coquille St Jacques favorise l’enracinement des plantes en pots ! Et 50 % qu'elle le freine...
Ces différences résultent de tous les paramètres "non maîtrisés", qui sont nombreux... Un chat qui a pissé ici... un campagnol qui est mort là... une infection lors du bouturage, une racine arrachée lors du dépotage, un ceci, un cela... Ce type "d'aléas", il faut les éliminer par des répétitions aléatoires et un traitement statistique...
Imagine que cela ait donné une différence allant dans le sens de ce que tu pensais ! Tout autant fruit du hasard ! Mais tu aurais propagé avec beaucoup de conviction une idée parfaitement fausse...
Hélas, hormis les essais selon protocole en station, les essais individuels reposent généralement sur une observation... Mais beaucoup de personnes appliquent un même protocole, et observent les résultats selon une même grille, on peut traiter les résultats !
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
Je n'ai pas été convaincu mais j'ai fait l'essai plusieurs fois et même avec des plantes différentes. Je rapporte mon expérience car j'ai observé un petit minuscule effet avec le cassis (surtout).
Mais il ne justifie en rien toute l'énergie que j'ai passée à expérimenter!
Mais il ne justifie en rien toute l'énergie que j'ai passée à expérimenter!
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
Did67 a écrit :Hélas, hormis les essais selon protocole en station, les essais individuels reposent généralement sur une observation... Mais beaucoup de personnes appliquent un même protocole, et observent les résultats selon une même grille, on peut traiter les résultats !
Bon, je me répète car j'ai déjà lancé la question sur le fil principal sans réponse à ce moment, il y a-t-il une danse rituelle ( quitte à se mettre nu et à se peindre le corps...) qui permettrait de protéger mes plants de tomates du mildiou?
PS Soyez s'il vous plait bienveillants dans vos réponses, je n'ai pas enterré de cornes de vaches remplies de Bouse cet hiver, mea maxima culpa.
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
Ma conviction, je l'ai exprimée. Et c'est ce que je mets en place. Mais ce n'est une preuve :
1) Mes tomates "de production" sont sous le tunnel - toujours pas couvert, mais c'est prêt !
2) Le même endroit où l'an dernier mes pieds étaient "noirs" de mildiou. Tiges enterrées sur place, telles que. Quelques autres "restes de légumes" de planches voisines que j'ai débarrassées (pour ne pas avoir de tiges en vue de semis / sillonnage). Le tout recouvert de foin en sortie d'hiver seulement. Ma conviction - qui n'est pas une preuve - est que les fongivores, dans un sol actif et vivant, vont se charger de nettoyer tout ça.
3) Je taille les tomates pour limiter la biomasse, donc l'humidité et les condensations au niveau des feuilles. Je monte sur 3 brins, suffisamment écartés les uns des autres. Le tout sur fils.
4) Le tunnel est ouvert de toutes parts : la bâche n'ira pas au sol mais s'arrêtera à 80 cm du sol environ, pour un maximum de circulation de l'air.
Ma conviction - qui n'est pas une preuve - est que ce sont les gouttes d'humidité qui permettent la germination des spores, qui sont de toutes façons dans l'air.
Mon rêve, ce serait d'avoir la force de construire un long mur Trombe Est-Ouest et de planter les tomates devant, coté sud, avec une large "casquette" qui les protège de la pluie. Je n'ai plus la force !
Pour l'instant, l'état sanitaire est parfait. Les tomates se portent bien, sans arrosage. Sur deux pieds plus précoces, les tomates commencent à changer de vert... Certains pieds, issus de re-semis après les gelées du 20 avril, sont encore très en retard (les premières fleurs à peine fécondées). Mais tout est fulgurant !
Si je devais "faire quelque chose" (je ne sais pas encore), j'essaierai de pulvériser des poudres de roches broyées. La houblonnière "bio" du Lycée Agricole est traitée de la sorte, avec des résultats régulièrement meilleurs que ce qu'obtiennent les houblonniers conventionnels (sans qu'on puisse dire si c'est le résultat de ces traitements, d'un sol vivant et d'autres pratiques - dont parfois des préparations biodynamiques mais chut, personne ne le sait !).
1) Mes tomates "de production" sont sous le tunnel - toujours pas couvert, mais c'est prêt !
2) Le même endroit où l'an dernier mes pieds étaient "noirs" de mildiou. Tiges enterrées sur place, telles que. Quelques autres "restes de légumes" de planches voisines que j'ai débarrassées (pour ne pas avoir de tiges en vue de semis / sillonnage). Le tout recouvert de foin en sortie d'hiver seulement. Ma conviction - qui n'est pas une preuve - est que les fongivores, dans un sol actif et vivant, vont se charger de nettoyer tout ça.
3) Je taille les tomates pour limiter la biomasse, donc l'humidité et les condensations au niveau des feuilles. Je monte sur 3 brins, suffisamment écartés les uns des autres. Le tout sur fils.
4) Le tunnel est ouvert de toutes parts : la bâche n'ira pas au sol mais s'arrêtera à 80 cm du sol environ, pour un maximum de circulation de l'air.
Ma conviction - qui n'est pas une preuve - est que ce sont les gouttes d'humidité qui permettent la germination des spores, qui sont de toutes façons dans l'air.
Mon rêve, ce serait d'avoir la force de construire un long mur Trombe Est-Ouest et de planter les tomates devant, coté sud, avec une large "casquette" qui les protège de la pluie. Je n'ai plus la force !
Pour l'instant, l'état sanitaire est parfait. Les tomates se portent bien, sans arrosage. Sur deux pieds plus précoces, les tomates commencent à changer de vert... Certains pieds, issus de re-semis après les gelées du 20 avril, sont encore très en retard (les premières fleurs à peine fécondées). Mais tout est fulgurant !
Si je devais "faire quelque chose" (je ne sais pas encore), j'essaierai de pulvériser des poudres de roches broyées. La houblonnière "bio" du Lycée Agricole est traitée de la sorte, avec des résultats régulièrement meilleurs que ce qu'obtiennent les houblonniers conventionnels (sans qu'on puisse dire si c'est le résultat de ces traitements, d'un sol vivant et d'autres pratiques - dont parfois des préparations biodynamiques mais chut, personne ne le sait !).
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
Bonjour,
Le mildiou, de manière général (même si c'est le même nom, celui de la vigne n'est pas due au même pathogène que celui de la tomate par exemple) a besoin d'humidité et d'une température moyenne suffisante pour arrivé à maturité et se développer. Puis les pluies suivantes vont permettre de nouvelles contaminations, en clair la maladie va sauter des feuilles de la bases vers des pousses plus jeunes. Une fois mûr, la condensation ou la rosée peuvent suffire à le redynamiser. Ca peux aller vite. L'an dernier on a eu une succession de pluie, puis un week-end avec 100mm de flotte et 3 jours après, 30 degrés et 100% d'humidité façon pays tropical. Des jardins ont été ratiboisé en quelques jours, pommes de terres, tomates. Dans les vignes, des attaques jamais vu de mémoires de vignerons, mêmes du temps où il n'y avait pas "l'arsenal" chimique d'aujourd'hui. Les bio ont terriblement morflés mais pas qu'eux.
Une longue période sèche et chaude doit le stopper, il faut une première pluie pour réactiver, une seconde pour contaminer.
Pour le prévenir, tout ce qui tend à limiter l'humidité sur le végétal est positif, tomate sous abris, pousse modérée, bonne aération du pied, vent... Il parait qu'un maraîcher du coin séchait les feuilles au papier sopalin
Une pousse trop vigoureuse (excès d'azote) va aussi engendrer un végétal plus tendre et fragile.
L'existence d'un inoculât important (plantes malades de l'année précédente conservées sur place, tuteur non "stérilisé") va accroitre les risques.
Bref si tu as la place, écarte les plants de manière plus importante que ce qui est conseillé (1m au lieu de 0,5 par exemple), tenir compte des vents (notamment des vent secs). Les planter de manière très éclatée non contigüe avec une différentes variétés pour jouer sur la diversité génétique et sur le non regroupement des plants.
Bien sur il existe des variétés plus résistantes.
Enfin et surtout, une plante, bien implantée, dans un sol sain et vivant, qui se nourrit convenablement est mieux armée pour résister.
Mais à un moment si les conditions ne sont pas bonne, ben quand ça veut pas ça veut pas. De la tomate en Normandie, ce n'est pas les même condition qu'à Aubagne, Marmande, Metz ou Pau.
Et là, à défaut d'accepter de presque tout perdre, seul des moyens préventifs (cuivre genre bouillie bordelaise, cuivre hydroxyde...) peuvent protéger avec efficacité.
Pour ce qui est de la danse tout nu, tu peux espérer les faire rougir tout de même
De mon expérience, si on ne veut pas utiliser des produits violents, j'ai eu des résultats intéressant avec décoction de sauge + huile d'orange douce et faible dose de bouillie bordelaise. La décoction d'écorce de chêne m'a semblé avoir un effet mais... à vérifier.
Les meilleurs tomates que j'ai vu de ma vie était faite pas un agriculteur dans l'aveyron dans une veille serre à tabac. Quand on les coupait, elle avait la couleur et la tenue d'un vrai coeur de boeuf (provoc gratuite sur ce fil mea culpa ), un parfum formidable et se conservait des jours et des jours.
@+
sicetaitsimple a écrit :Did67 a écrit :Hélas, hormis les essais selon protocole en station, les essais individuels reposent généralement sur une observation... Mais beaucoup de personnes appliquent un même protocole, et observent les résultats selon une même grille, on peut traiter les résultats !
Bon, je me répète car j'ai déjà lancé la question sur le fil principal sans réponse à ce moment, il y a-t-il une danse rituelle ( quitte à se mettre nu et à se peindre le corps...) qui permettrait de protéger mes plants de tomates du mildiou?
PS Soyez s'il vous plait bienveillants dans vos réponses, je n'ai pas enterré de cornes de vaches remplies de Bouse cet hiver, mea maxima culpa.
Le mildiou, de manière général (même si c'est le même nom, celui de la vigne n'est pas due au même pathogène que celui de la tomate par exemple) a besoin d'humidité et d'une température moyenne suffisante pour arrivé à maturité et se développer. Puis les pluies suivantes vont permettre de nouvelles contaminations, en clair la maladie va sauter des feuilles de la bases vers des pousses plus jeunes. Une fois mûr, la condensation ou la rosée peuvent suffire à le redynamiser. Ca peux aller vite. L'an dernier on a eu une succession de pluie, puis un week-end avec 100mm de flotte et 3 jours après, 30 degrés et 100% d'humidité façon pays tropical. Des jardins ont été ratiboisé en quelques jours, pommes de terres, tomates. Dans les vignes, des attaques jamais vu de mémoires de vignerons, mêmes du temps où il n'y avait pas "l'arsenal" chimique d'aujourd'hui. Les bio ont terriblement morflés mais pas qu'eux.
Une longue période sèche et chaude doit le stopper, il faut une première pluie pour réactiver, une seconde pour contaminer.
Pour le prévenir, tout ce qui tend à limiter l'humidité sur le végétal est positif, tomate sous abris, pousse modérée, bonne aération du pied, vent... Il parait qu'un maraîcher du coin séchait les feuilles au papier sopalin
Une pousse trop vigoureuse (excès d'azote) va aussi engendrer un végétal plus tendre et fragile.
L'existence d'un inoculât important (plantes malades de l'année précédente conservées sur place, tuteur non "stérilisé") va accroitre les risques.
Bref si tu as la place, écarte les plants de manière plus importante que ce qui est conseillé (1m au lieu de 0,5 par exemple), tenir compte des vents (notamment des vent secs). Les planter de manière très éclatée non contigüe avec une différentes variétés pour jouer sur la diversité génétique et sur le non regroupement des plants.
Bien sur il existe des variétés plus résistantes.
Enfin et surtout, une plante, bien implantée, dans un sol sain et vivant, qui se nourrit convenablement est mieux armée pour résister.
Mais à un moment si les conditions ne sont pas bonne, ben quand ça veut pas ça veut pas. De la tomate en Normandie, ce n'est pas les même condition qu'à Aubagne, Marmande, Metz ou Pau.
Et là, à défaut d'accepter de presque tout perdre, seul des moyens préventifs (cuivre genre bouillie bordelaise, cuivre hydroxyde...) peuvent protéger avec efficacité.
Pour ce qui est de la danse tout nu, tu peux espérer les faire rougir tout de même
De mon expérience, si on ne veut pas utiliser des produits violents, j'ai eu des résultats intéressant avec décoction de sauge + huile d'orange douce et faible dose de bouillie bordelaise. La décoction d'écorce de chêne m'a semblé avoir un effet mais... à vérifier.
Les meilleurs tomates que j'ai vu de ma vie était faite pas un agriculteur dans l'aveyron dans une veille serre à tabac. Quand on les coupait, elle avait la couleur et la tenue d'un vrai coeur de boeuf (provoc gratuite sur ce fil mea culpa ), un parfum formidable et se conservait des jours et des jours.
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
Did67 a écrit :
1) Mes tomates "de production" sont sous le tunnel - toujours pas couvert, mais c'est prêt !
.
Ben oui, mais faudrait quand même le couvrir! Nous, on attend les résultats comparatifs entre "plein champ" et " parapluie"!
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
perseus a écrit :De la tomate en Normandie, ce n'est pas les même condition qu'à Aubagne, Marmande, Metz ou Pau.
Et là, à défaut d'accepter de presque tout perdre, seul des moyens préventifs (cuivre genre bouillie bordelaise, cuivre hydroxyde...) peuvent protéger avec efficacité.
Pour ce qui est de la danse tout nu, tu peux espérer les faire rougir tout de même
Merci de ta réponse. Bon, la tomate en Normandie en "plein champ" c'est pas gagné mais c'est un peu ce que je pense, même si j'ai réitéré cette année, sous des formes un peu ou très différentes des expériences tentées depuis deux ans sans aucun succès. On verra, ensuite c'est soit achat d'une serre soit renoncement.
Et si je danse tout nu tu penses vraiment que ça ne peut avoir que peu d'effet? Tu n'es pas vraiment biodynamique!
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
sicetaitsimple a écrit :
Ben oui, mais faudrait quand même le couvrir! Nous, on attend les résultats comparatifs entre "plein champ" et " parapluie"!
Ce sera fait demain matin s'il n'y a pas de vent. Il faut un calme plat pour manipuler à deux une bâche de cette dimension !
Mais je n'aurais plus de "plein champs" !!! C'est fait pour "marcher", pas pour essayer !
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Re: Coup de gueule contre la biodynamie
sicetaitsimple a écrit : ensuite c'est soit achat d'une serre soit renoncement.
Avant la serre, tu peux essayer avec un toit translucide sur deux ou trois pieds... Genre 2 palettes à usage unique sur 8 piquets et un morceau de bâche transparente dessus...
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