GuyGadebois a écrit :https://journaldelenergie.com/petrole/l ... u-petrole/
tu n'as rien de plus récent, ça date de 2015, ça semblait prometteur, donc 4 ans après ça en est où?
GuyGadebois a écrit :https://journaldelenergie.com/petrole/l ... u-petrole/
Les bords de routes constituent un lieu d’emmagasinement de nutriments notamment azotés, et l’exportation des déchets organiques issus de la fauche peut participer au rééquilibrage des sols (Brense et Shaffers, in de Redon, 2008). C’est une méthode fréquemment utilisée sur les prairies calcaires pour appauvrir le sol et favoriser la diversité floristique. En général, un broyage avec exportation des résidus a un effet positif sur la diversité floristique des accotements (Paar & Way, 1988 in Valtonen 2006, de Cauwer et al., 2005). L’exportation des produits de fauche en appauvrissant le milieu favorise par exemple le développement des orchidées. Cette pratique semble aussi augmenter les potentialités d’accueil pour les lépidoptères (Noordjik et al., 2009 et Valtonen et al., 2006) et des arthropodes rampants (Noordjik et al., 2010).
Le problème de cette pratique est de trouver un débouché à la grande quantité de résidus : compostage, méthanisation… Ceci est abordé plus loin, avec la présentation de l’expérimentation faite par le conseil général d’Eure-et-Loir.
http://www.donnees.centre.developpement ... toires.pdf
VetusLignum a écrit :Les bords de routes constituent un lieu d’emmagasinement de nutriments notamment azotés, et l’exportation des déchets organiques issus de la fauche peut participer au rééquilibrage des sols (Brense et Shaffers, in de Redon, 2008). C’est une méthode fréquemment utilisée sur les prairies calcaires pour appauvrir le sol et favoriser la diversité floristique. En général, un broyage avec exportation des résidus a un effet positif sur la diversité floristique des accotements (Paar & Way, 1988 in Valtonen 2006, de Cauwer et al., 2005). L’exportation des produits de fauche en appauvrissant le milieu favorise par exemple le développement des orchidées. Cette pratique semble aussi augmenter les potentialités d’accueil pour les lépidoptères (Noordjik et al., 2009 et Valtonen et al., 2006) et des arthropodes rampants (Noordjik et al., 2010).
Le problème de cette pratique est de trouver un débouché à la grande quantité de résidus : compostage, méthanisation… Ceci est abordé plus loin, avec la présentation de l’expérimentation faite par le conseil général d’Eure-et-Loir.
http://www.donnees.centre.developpement ... toires.pdf
Si la "phénoculture" se démocratise, ce ne sera plus un problème...
la phénoculture appliquée à la grande culture, c'est une utopie. Essayer d'imaginer 20 cm de foin sur toutes les surfaces agricoles, combien faudra-t-il de surface uniquement consacrée à cultiver ces herbes? plus celles consacrées pour l'élevage et sa nourriture hivernale. C'est donc juste intéressant pour du jardinage!Si la "phénoculture" se démocratise, ce ne sera plus un problème...
janic a écrit :la phénoculture appliquée à la grande culture, c'est une utopie. Essayer d'imaginer 20 cm de foin sur toutes les surfaces agricoles, combien faudra-t-il de surface uniquement consacrée à cultiver ces herbes? plus celles consacrées pour l'élevage et sa nourriture hivernale. C'est donc juste intéressant pour du jardinage!Si la "phénoculture" se démocratise, ce ne sera plus un problème...
oui, moi au moins je lis tout! Donc je répète, puisque c'est toi qui a évoqué la phénoculture, elle ne peut être utilisée qu'en jardinage. Or les intervenants parlaient de l'agriculture en général, pas de jardinage et donc de l'utilisation possible de ces fauches de bord de route, voire par méthanisation. Donc je me répète, la phénoculture, sauf à la limiter à un tout petit secteur qu'est le jardinage( et les vrais agriculteurs s'en voient exclus) n'a pas vocation à remplir ce rôle en grande culture, ce qui est le principal point important, pourtant, pour éviter érosion, traitement de toutes sortes, etc...t'as rien compris on te parle d'utiliser les fauches des bords des routes, toutes ces herbes qui sont fauchées et non ramassées qui réduisent la biodiversité des bords des routes à cause de l'enrichissement des sols
t'as lu ou pas?
janic a écrit :oui, moi au moins je lis tout! Donc je répète, puisque c'est toi qui a évoqué la phénoculture, elle ne peut être utilisée qu'en jardinage. Or les intervenants parlaient de l'agriculture en général, pas de jardinage et donc de l'utilisation possible de ces fauches de bord de route, voire par méthanisation. Donc je me répète, la phénoculture, sauf à la limiter à un tout petit secteur qu'est le jardinage( et les vrais agriculteurs s'en voient exclus) n'a pas vocation à remplir ce rôle en grande culture, ce qui est le principal point important, pourtant, pour éviter érosion, traitement de toutes sortes, etc...
Or de plus en plus de municipalité ont recours aux animaux brouteurs tels les moutons ou les chèvres pour éviter ces fauches de bords de route et c'est amené à se développer (écologie s'entend) de plus en plus vu son moindre coût.
mon avis n'a aucune importance! C'est aux municipalités et aux autorités compétentes de demain d'y répondre, pas toi!les moutons brouteurs au bord des nationales
oui quelques mini troupeaux sur des zones très restreintes, ça fait le beau reportage de fin de JT de TF1, si tu vois là une solution d'avenir t'as vraiment de l'imagination
bah, au moins, tu peux faire preuve d'émotions, mais pas sur les milliers de victimes des médicaments et des vaccins...zut, j'ai évoqué un tabou!avec toi c'est tout l'un tout l'autre soit on se marre, soit on pleure
janic a écrit :mon avis n'a aucune importance! C'est aux municipalités et aux autorités compétentes de demain d'y répondre, pas toi!les moutons brouteurs au bord des nationales
oui quelques mini troupeaux sur des zones très restreintes, ça fait le beau reportage de fin de JT de TF1, si tu vois là une solution d'avenir t'as vraiment de l'imagination
janic a écrit : tu peux faire preuve d'émotions, mais pas sur les milliers de victimes des médicaments et des vaccins...zut, j'ai évoqué un tabou!
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