et c'est bien là qu'on voit l'arnaque, le leurre, on joue sur la législation, l'étiquetage, la multitude des labels, et avec derrière un bon matraquage médiatique, on instaure une confiance aveugle envers le "bio" et le consommateur se fait prendre
et une vision déformante et déformée du bio supplémentaire.
La définition du bio concerne
uniquement la partie agricole, pas sa transformation et son étiquetage qui ressortent justement de la législation en cours. Pour toutes réclamations t'adresser à tes représentants politiques
le "bio" n'est ni plus ni moins le nouveau filon pour se faire de l'argent, hier à la TV, 180€ la tonne de blé conventionnelle 500€ la tonne de blé bio.
c'est juste le prix qui devrait être payé
à tous les agriculteurs bio ou pas. Donc il ne faut pas critiquer, par jalousie, le voisin sous prétexte que soit même n'est pas rétribué de la même façon.
tu m'étonnes que les mecs se convertissent
, tu m'étonnes qu'ils ne tiennent pas longtemps non plus
et derrière le mec investissait en plus pour ouvrir une boulangerie pour valoriser lui même son blé, on est loin du petit maraîcher, c'était un exemple français
décidément tu en tiens une couche. Quand un agriculteur possède 1.000 ha en conventionnel et qui s'en tire à peu près bien et un autre qui n'a que quelques dizaines d'Ha en bio, le bilan final n'est pas comparable. Or ce qui sauve les bio, ce n'est pas le prix, mais les moindres dépenses en produits chimiques ou sanitaires en élevage: là ça paie!
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré