Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
Mets-toi à la page. Il n'y a que les jardiniers qui utilisent du Roundup. Et aujourd'hui c'est de l'acide acétique le Roundup des jardiniers.
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
Je te parle des compositions à base de glyphosate ET d'autres produits. Des trucs que le voisin peut pas acheter chez Gam Vert s'il est pas pro. Fais pas exprès de toujours taper à côté...
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
Et toi, arrête d'accuser sans savoir. D'ailleurs si tu as des sources sérieuses, il y a un autre sujet pour ça.
Pas le temps de répondre et déjà plusieurs pages de passées
Mulet disait que la minéralisation pouvait amener la même pollution reprochée au conventionnel (nitrates et phosphates). En France, les agences de l'eau tolèrent tant qu'il s'agit de petites fermes maraichères éparpillées, mais le problème en grande culture sera le même.
Mais bon, la demande est forte en bio parce que une partie de la population est prête à payer un peu plus cher, mais faut pas être dupe, la mondialisation fait baisser les prix rapidement.
Certains ont profité de l'arrêt de l'élevage pour mettre en culture des prairies regorgeants de m.o.
Le soucis est que l'augmentation de prix de vente ne permets pas à l'agriculteur français d'acheter suffisamment de m.o pour compenser le manque d'engrais de synthèse et se retrouvent dans une impasse au bout de quelques années.
En plus, ça demande plus de pétrole, de machines et de main d'œuvre que le conventionnel comme expliqué dans le lien. D'abord pour la fertilisation avec du fumier ou du compost qu'en épandage d'ammonitrate . Les herbicides interdits engendrent aussi beaucoup plus de travail du sol.
Pas le temps de répondre et déjà plusieurs pages de passées
Fortier parlait de taux de mo de 20 % , c'est cultiver dans du terreau de compost.Moindreffor a écrit :izentrop a écrit :Je me demande si en bio, malgré le refus des engrais de synthèse, on arrive à produire autant qu'en conventionnel.
Je pense aux légumes racines, ou je vois sur les étalages des céleris boule aussi gros qu'en conventionnel.
Je sais qu'ils ont droit à toutes sortes de résidus d'abattage : poudre d'os, de corne, sang séché ...
En somme ils saturent le sol de matière organique.
En dehors du fait que par cet intermédiaire, il profitent des engrais de synthèse qui a fait poussé les plantes consommées par le bétail, est-ce que ça peut engendrer plus de pollution à cause de la minéralisation et lessivage comme évoqué ici ? https://agricolincredule.ca/2021/01/21/ ... e-feeling/
Ils parlent de 20% de matière organique
Pourquoi pas en hors sol ou si on s'assure d'éviter les lessivage ?
les agriculteurs doivent tenir un cahier d'épandages des lisiers par exemple pour justement éviter les pollutions par lessivage, existe-t-il la même chose pour le bio? c'est une question qui peut se poser.
Mulet disait que la minéralisation pouvait amener la même pollution reprochée au conventionnel (nitrates et phosphates). En France, les agences de l'eau tolèrent tant qu'il s'agit de petites fermes maraichères éparpillées, mais le problème en grande culture sera le même.
Mais bon, la demande est forte en bio parce que une partie de la population est prête à payer un peu plus cher, mais faut pas être dupe, la mondialisation fait baisser les prix rapidement.
Certains ont profité de l'arrêt de l'élevage pour mettre en culture des prairies regorgeants de m.o.
Le soucis est que l'augmentation de prix de vente ne permets pas à l'agriculteur français d'acheter suffisamment de m.o pour compenser le manque d'engrais de synthèse et se retrouvent dans une impasse au bout de quelques années.
En plus, ça demande plus de pétrole, de machines et de main d'œuvre que le conventionnel comme expliqué dans le lien. D'abord pour la fertilisation avec du fumier ou du compost qu'en épandage d'ammonitrate . Les herbicides interdits engendrent aussi beaucoup plus de travail du sol.
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
et qui répand ce genre d'âneries et répétées par des ignorants en bio: big petrochimie évidemment!Le soucis est que l'augmentation de prix de vente ne permets pas à l'agriculteur français d'acheter suffisamment de m.o pour compenser le manque d'engrais de synthèse et se retrouvent dans une impasse au bout de quelques années.
En plus, ça demande plus de pétrole, de machines et de main d'œuvre que le conventionnel comme expliqué dans le lien. D'abord pour la fertilisation avec du fumier ou du compost qu'en épandage d'ammonitrate . Les herbicides interdits engendrent aussi beaucoup plus de travail du sol.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
Les agris eux-mêmes âne bâté.janic a écrit :et qui répand ce genre d'âneries et répétées par des ignorants en bio: big petrochimie évidemment!Le soucis est que l'augmentation de prix de vente ne permets pas à l'agriculteur français d'acheter suffisamment de m.o pour compenser le manque d'engrais de synthèse et se retrouvent dans une impasse au bout de quelques années.
En plus, ça demande plus de pétrole, de machines et de main d'œuvre que le conventionnel comme expliqué dans le lien. D'abord pour la fertilisation avec du fumier ou du compost qu'en épandage d'ammonitrate . Les herbicides interdits engendrent aussi beaucoup plus de travail du sol.
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
les agri en conventionnel, pardon en chimie petrolifère, qui répètent les mantras de la petrochimie et qui se trouvent coincés, par ce bourrage de crâne auquel ils ont cru, comme des insectes pris dans une toile d'araignée.Les agris eux-mêmes âne bâté.et qui répand ce genre d'âneries et répétées par des ignorants en bio: big petrochimie évidemment!
Leurs grands parents n'avaient pas eut besoin de tous ces artifices pour conserver une terre vivante pour les générations qui suivraient et qui se stérilisent de plus en plus à cause de la chimie....de synthèse évidemment! Un mensonge ne devient pas vérité lorsqu'il se multiplie.
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
Et bien sûr, notre zététicien ne doute pas un instant de ces informations. Pensez-vous... il est
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
GuyGadeboisLeRetour a écrit :izentrop a écrit :Ben c'est très encadré et l'adjuvant est un produit à part https://www.terre-net.fr/partenaire/agr ... 27179.htmlGuyGadeboisLeRetour a écrit :Lequel ? Quels sont ceux qui subsistent dans la formule ? Sont-ils "sans poser problème" ? Et si oui, ou non, source ?
D'avance merci et bon ne chance, l'huître.
Je ne parle pas de ça, je parle de la composition du Roundup qui n'est pas du glyphosate pur. Ce sont les produits qui s'y ajoutent qui sont dangereux et "secret industriel", semble t'il.
tu as raison sur ce point, mais on a tout focalisé sur le glyphosate, ce qui prouve que finalement, l'attaque contre le glyphosate n'était qu'un prétexte, pour attaquer l'entreprise et ce qu'elle représente
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
izentrop a écrit :Et toi, arrête d'accuser sans savoir. D'ailleurs si tu as des sources sérieuses, il y a un autre sujet pour ça.
Pas le temps de répondre et déjà plusieurs pages de passéesFortier parlait de taux de mo de 20 % , c'est cultiver dans du terreau de compost.Moindreffor a écrit :izentrop a écrit :Je me demande si en bio, malgré le refus des engrais de synthèse, on arrive à produire autant qu'en conventionnel.
Je pense aux légumes racines, ou je vois sur les étalages des céleris boule aussi gros qu'en conventionnel.
Je sais qu'ils ont droit à toutes sortes de résidus d'abattage : poudre d'os, de corne, sang séché ...
En somme ils saturent le sol de matière organique.
En dehors du fait que par cet intermédiaire, il profitent des engrais de synthèse qui a fait poussé les plantes consommées par le bétail, est-ce que ça peut engendrer plus de pollution à cause de la minéralisation et lessivage comme évoqué ici ? https://agricolincredule.ca/2021/01/21/ ... e-feeling/
Ils parlent de 20% de matière organique
Pourquoi pas en hors sol ou si on s'assure d'éviter les lessivage ?
les agriculteurs doivent tenir un cahier d'épandages des lisiers par exemple pour justement éviter les pollutions par lessivage, existe-t-il la même chose pour le bio? c'est une question qui peut se poser.
Mulet disait que la minéralisation pouvait amener la même pollution reprochée au conventionnel (nitrates et phosphates). En France, les agences de l'eau tolèrent tant qu'il s'agit de petites fermes maraichères éparpillées, mais le problème en grande culture sera le même.
Mais bon, la demande est forte en bio parce que une partie de la population est prête à payer un peu plus cher, mais faut pas être dupe, la mondialisation fait baisser les prix rapidement.
Certains ont profité de l'arrêt de l'élevage pour mettre en culture des prairies regorgeants de m.o.
Le soucis est que l'augmentation de prix de vente ne permets pas à l'agriculteur français d'acheter suffisamment de m.o pour compenser le manque d'engrais de synthèse et se retrouvent dans une impasse au bout de quelques années.
En plus, ça demande plus de pétrole, de machines et de main d'œuvre que le conventionnel comme expliqué dans le lien. D'abord pour la fertilisation avec du fumier ou du compost qu'en épandage d'ammonitrate . Les herbicides interdits engendrent aussi beaucoup plus de travail du sol.
c'est typiquement la cabane qui se retourne sur le chien
le "bio" à petite échelle, c'est bien, on a voulu démocratisé, et ça donne le "bio" à grande échelle, on rogne sur tout, le cahier des charges, le travail du sol, on se passe même de sol...
on importe des engrais de très loin par camion...
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"Ceux qui ont les plus grandes oreilles ne sont pas ceux qui entendent le mieux"
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Re: Et si le BIO était un LEURRE.....euuuuuh !
GuyGadeboisLeRetour a écrit :Je te parle des compositions à base de glyphosate ET d'autres produits. Des trucs que le voisin peut pas acheter chez Gam Vert s'il est pas pro. Fais pas exprès de toujours taper à côté...
En Espagne, par internet, c'est encore plus facile que d'aller chez Gam et cie et assez économique même, on trouve tout ce qui est interdit aux amateurs en France.
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