nico239 a écrit :Did67 a écrit :nico239 a écrit :
Donc question 1. les épigés cela ne sert vraiment à rien du tout?
2. la présence d'épigés (on en a en pagaille maintenant) est-il indicatrice des anéciques ou cela n'a-t-il rien à voir?
En fonction des réponses je rebondirai sur d'autres questions à propose de nos amis les vers
1) Non, je suis trop radical !!! Je suis injuste : ce sont des "décomposeurs primaires" de matières organiques
... Parmi tout ce qu'on balance sur un sol, tout n'est pas favorable aux anéciques : ils e vont pas entrainer des feuilles de salade avec leurs nervures, etc... Les épigés jouent alors un rôle certain.
Ils m'agacent parce qu'ils bouffent aussi le foin de mes anéciques. Et ils m'attirent les oiseaux.
"Rien n'est jamais tout noir, rien n'est jamais tout blanc" - c'est vrai aussi pour les épigés !
2) Non. Je pense même qu'en partie, ils se concurrencent : ils n'occupent pas du tout la même niche écologique ; ils mangent en partie la même chose ; donc autour du "bol de foin, c'est un peu chien et chat !"...
Ok d'ac ah ben si maintenant les vers se font de la concurrence
Alors du coup est-il possible d'attirer les anéciques, voire de les «cultiver», enfin bref un moyen d'en augmenter la présence dans un lieu donné?
la lombriculture (le lombricomposteur) c'est l'élevage des épigés (ceux qu'on appelle les vers de fumier quand tu vas acheter des vers pour la pêche, petit 5 à 6 cm, bien rouge et assez fins) après toujours chez le marchand d'appâts pour la pêche tu peux demander des vers de terre (normalement mais faire attention, tu auras des anéciques)
autant c'est facile d'élever des épigés, ils vivent en surface ou dans 5 à 10 cm de composte, autant élever des anéciques je pense que ça va être plus difficile, il faudrait un récipient d'au moins 1m de profondeur voir plus, (j'imagine pour reproduire leur conditions de vie) rempli de terre de jardin plus ou moins compacté et "vivante", pouvoir gérer l'humidité de ce bac, couvrir le sol de foin par exemple et installer une portion de vers de terre, après faudrait connaître leur cycle reproductif pour compter ceux qu'on a mis dans le bac et refaire un comptage 1 an après
je pense que ça peut être un beau projet
sinon plus facile acheter des portions de vers dans un magasin d'appâts pour la pêche et faire des lâcher dans son jardin mais là voir le coup finacier
sinon de mémoire d'après un reportage que j'ai vu récemment sur les herissons il lui faudrait un territoire de 3 ha dans les conditions sauvages (comme chez Didier, c'est aussi pour cela qu'il ne doit pas les voirs souvent) en milieu urbains, ça doit être un peu comme beaucoup d'animaux ils s'adaptent et doivent trouver des ressources alternatives de nourriture d'où peut être le fait de les voir plus, population plus grande, et plus faible crainte de l'homme)