Une autre idée, si la Sillon'net X2 ne mord pas assez le foin, est de mettre en bas une potence perpendiculaire au manche, dans le sens dans lequel on regdarde, avec une masselotte (variable) au bout. Par effet de couple, cela "appuiera" la Sillon'net contre le foin.
Mais donnera aussi de l'inertie à l'ensemble, donc augmentera l'effort !
Donc si je peux éviter... Après tout, le but n°1, c'est la paresse, pas l'effort !
Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Encouragements !
Pour encourager tous ceux qui "cherchent" encore une motivation pour se lancer, ces photos de mes laitues d'hiver, prises hier.
Semées dans deux lignes de foin mi-octobre, apès récolte de soignons à cet endroit, elles ont passé l'hiver dehors, pris la neige... Elles étaient pâles comme du linge à la sortie d'hiver et sont en train de se développer à la vitesse V !
A l'endroit du semis, on observera :
- que le foin a quasiment disparu, digéré par la vide du sol... Les adventices pointent le nez !
- un démarriage a été fait il y a 15 jours environ, ce qui a déjà donné quelques beaux saladiers de "mesclun" tendre ; en même temps, on a tranché quelques adventices trop puissantes.. [très surpris de la tendreté de ces feuilles qui avaient pourtant passé l'hiver et "semblaient", à la première vue, coriaces)
Lors d'une belle période en février, j'avais déjà démarrié pour repiquer dans le BRF [à cet endroit, c'était encore la pariarie l'an dernier ; épaisse couche de BRF mis à l'automne ; repiqué directement dedans en février]
On observe des brins de foin : j'ai rajouté du foin sur le BRF, trop peu épais, pour planter mes bulbes (échalotes, oignons) juste à coté. On observe aussi quelques brins d'herbe qui traversent :
Dans quelques jours, cela va être la surproduction ! Sans beaucoup d'efforts : semer, démarrier/replanter, récolter...
Je le rappelle, pour ceux qui prennent ce fil en route : sans aucun engrais (même "bio"), sans aucun traitement (même "bio"), sans aucun travail du sol (ni bêche, ni pioche, ni binette, ni grelinette...). Juste une couverture du sol permanente avec du foin et/ou du BRF... A l'endroit de la deuxième photo, c'était encore une prairie naturelle à la même époque de l'année dernière. Puis, durant l'été, il y a des concombres / melons sur du carton (j'aime pas, mais pénurie de foin !), recouvert au fur et à mesure par des tontes de gazon (toujours des couches fines pour pas que cela ne fermente). Après la récolte des cucurbitacées, vers octobre, une bonne couche de BRF (de bouleaux, encore en feuilles ; mon voisin élagait les siens !). Et donc, en février, à la faveur d'une période chaude, repiquage des laitues d'hiver ("Merveille d'hiver").
La première est sur un endroit en jardin depuis plusieurs années. Après récolte d'oignons, j'ai remis une couche de foin. J'ai semé dans des sillons... C'est tout.
Pour encourager tous ceux qui "cherchent" encore une motivation pour se lancer, ces photos de mes laitues d'hiver, prises hier.
Semées dans deux lignes de foin mi-octobre, apès récolte de soignons à cet endroit, elles ont passé l'hiver dehors, pris la neige... Elles étaient pâles comme du linge à la sortie d'hiver et sont en train de se développer à la vitesse V !
A l'endroit du semis, on observera :
- que le foin a quasiment disparu, digéré par la vide du sol... Les adventices pointent le nez !
- un démarriage a été fait il y a 15 jours environ, ce qui a déjà donné quelques beaux saladiers de "mesclun" tendre ; en même temps, on a tranché quelques adventices trop puissantes.. [très surpris de la tendreté de ces feuilles qui avaient pourtant passé l'hiver et "semblaient", à la première vue, coriaces)
Lors d'une belle période en février, j'avais déjà démarrié pour repiquer dans le BRF [à cet endroit, c'était encore la pariarie l'an dernier ; épaisse couche de BRF mis à l'automne ; repiqué directement dedans en février]
On observe des brins de foin : j'ai rajouté du foin sur le BRF, trop peu épais, pour planter mes bulbes (échalotes, oignons) juste à coté. On observe aussi quelques brins d'herbe qui traversent :
Dans quelques jours, cela va être la surproduction ! Sans beaucoup d'efforts : semer, démarrier/replanter, récolter...
Je le rappelle, pour ceux qui prennent ce fil en route : sans aucun engrais (même "bio"), sans aucun traitement (même "bio"), sans aucun travail du sol (ni bêche, ni pioche, ni binette, ni grelinette...). Juste une couverture du sol permanente avec du foin et/ou du BRF... A l'endroit de la deuxième photo, c'était encore une prairie naturelle à la même époque de l'année dernière. Puis, durant l'été, il y a des concombres / melons sur du carton (j'aime pas, mais pénurie de foin !), recouvert au fur et à mesure par des tontes de gazon (toujours des couches fines pour pas que cela ne fermente). Après la récolte des cucurbitacées, vers octobre, une bonne couche de BRF (de bouleaux, encore en feuilles ; mon voisin élagait les siens !). Et donc, en février, à la faveur d'une période chaude, repiquage des laitues d'hiver ("Merveille d'hiver").
La première est sur un endroit en jardin depuis plusieurs années. Après récolte d'oignons, j'ai remis une couche de foin. J'ai semé dans des sillons... C'est tout.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Did67 a écrit :Une autre idée, si la Sillon'net X2 ne mord pas assez le foin, est de mettre en bas une potence perpendiculaire au manche, dans le sens dans lequel on regdarde, avec une masselotte (variable) au bout. Par effet de couple, cela "appuiera" la Sillon'net contre le foin.
!
Une potence perpendiculaire et une poignée centrée en haut me semble une bonne idée.
Par contre essais l'outil avant de le compliquer, plus c'est simple mieux c'est.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Voici la X2.1
Premiers essais et... première casse !
Je n'avais qu'une confiance limitée dans mon manche à balais et surtout au T que j'avais mis pour fixer les poignées. J'avais bien prépercé les trous pour ne pas éclater le manche...
Mais, en effet, à la traction, cela n'a pas résisté longtemps :
J'ai, par chance en ce jour férié, retrouvez une chute de PVC dont le diamètre intérieur correspondait exactement au manche. J'en ai fait un manchon coulissant (cela permet de régler la longueur pour chaque personne), dans lequel j'ai fixé des "poignées" plus minces (rond en bois de diamètre 16). Pendant que j'y étais, j'ai rajouté une poignée "verticale", selon les idées de janic.
Comme cela, je pourrais essayer le geste et voir...
Car en effet, même en mettant l'angle d'entrure au maximum, cela "mord" peu... Une poussée est souhaitable. Même si c'est déjà un net progrès par rapport à couper cela au couteau, à genoux, plié en deux !
A mon avis, 3 façons (au moins) :
- une deuxième personne suit le "scieur", qui fait juste le mouvement de va et vient, et "appuie" avec un manche fixé de façon mobile (articulation) ; il faut être deux !
- avec le manche que je viens d'ajouter, en sciant un peu dans une position de travers
- la masselotte déjà évoquée...
Premiers essais et... première casse !
Je n'avais qu'une confiance limitée dans mon manche à balais et surtout au T que j'avais mis pour fixer les poignées. J'avais bien prépercé les trous pour ne pas éclater le manche...
Mais, en effet, à la traction, cela n'a pas résisté longtemps :
J'ai, par chance en ce jour férié, retrouvez une chute de PVC dont le diamètre intérieur correspondait exactement au manche. J'en ai fait un manchon coulissant (cela permet de régler la longueur pour chaque personne), dans lequel j'ai fixé des "poignées" plus minces (rond en bois de diamètre 16). Pendant que j'y étais, j'ai rajouté une poignée "verticale", selon les idées de janic.
Comme cela, je pourrais essayer le geste et voir...
Car en effet, même en mettant l'angle d'entrure au maximum, cela "mord" peu... Une poussée est souhaitable. Même si c'est déjà un net progrès par rapport à couper cela au couteau, à genoux, plié en deux !
A mon avis, 3 façons (au moins) :
- une deuxième personne suit le "scieur", qui fait juste le mouvement de va et vient, et "appuie" avec un manche fixé de façon mobile (articulation) ; il faut être deux !
- avec le manche que je viens d'ajouter, en sciant un peu dans une position de travers
- la masselotte déjà évoquée...
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Bilan : la X2.1 a tenu le choc...
On a semé quelques lignes.
Et en effet, la "poignée" verticale est utile. Même si le geste est un peu moins naturel, cela ne pose pas trop de problèmes. Pas de mal de dos particulier. Mais cela facilite l'avancement des lames...
Je pense que je vais chercher des "tubes" un peu plus solides, en métal, pour remplacer le manche à balais et le PVC. Tout cela est un peu limite.
On a semé quelques lignes.
Et en effet, la "poignée" verticale est utile. Même si le geste est un peu moins naturel, cela ne pose pas trop de problèmes. Pas de mal de dos particulier. Mais cela facilite l'avancement des lames...
Je pense que je vais chercher des "tubes" un peu plus solides, en métal, pour remplacer le manche à balais et le PVC. Tout cela est un peu limite.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
La maison du hérisson
Les limaces ont été évoquées plus haut. Je ne commente pas l'article cité sur le blog. Il est évident qu'entre une forêt en "paraculture" et le "potager du paresseux", il y a une énorme différence au niveau de l'anthropisation. Le "Potager du Paresseux", bien que s'appuyant sur les mécanismes de la nature, est un système créé, entretenu, géré par l'homme... C'est un système "gravement" anthropisé. Ce n'est pas un système naturel, en équilibre, dans lequel l'homme cueille un peu...
Bien que j'ai, à mon grand étonnement, peu de problèmes de limaces, j'en ai occasionnellement.
Et avec la densité de plantes sensibles (laitues, carottes,etc en lignes..), je dois faire attention.
J'ai bien des champignons, en pagaille même, du mycélium, en pagaille lui aussi, cela ne dissuade pas mes limaces, "anthropisées" peut-être, de se loger sous les salades et de se nourrir... de salades. Ou de se faire une "ligne" de carottes qui lèvent ! Après tout, elles sont peut-être comme les hommes ?
Dans mon esprit, je penses "traiter" la question un peu comme les pucerons : installer, à une portée de quelques mètres, le long de la haie nord, un massif de plantes décoratives ayant la caractéristique d'être très facilement attaquées par des limaces. Donc de les nourrir. Ce sera mon "élevage" de limaces. Quelques planches pourries pour qu'elles s'abritent dessous... Et, au bout de cette zone, j'essaye d'installer une cabane à hérisson, qui aurait son "garde-manger" à portée de main.
Les limaces étant peu mobiles, le hérisson étant très mobile, je pense ainsi le nourrir donc le maintenir dans son coin, sans que les limaces ne fassent la navette vers mon jardin, tout en bénéficiant de "ses services" dans tout le jardin !
Parmi les plantes qu'aiment les limaces, on peut citer : hostas, oeillets d'inde (Tagetes), iris, chardon bleu (Eryngium)...
Un peu de bois qui pourrit, pour qu'il y ait des champignons aussi...
En attendant le hérisson, j'ai construit et installé la cabane !
La voilà, ci-dessus, ouverte, le toit posé à coté, dans le garage. [les planches colorées, c'est parce que j'avais des chutes ! Cela rappellera à certains les panneaux de mon stand à BiObernai ; je pense que la nuit, tout cela sera gris...]
Ci-dessus, dans le jardin, avant mise en place...
Ci-dessus, une fois place, encore ouverte. Noter le "vide sanitaire" en-dessous : des lattes et un papier goudronnée (qu'on ne voit pas, au sol) pour éviter l'humidité par le bas (et le pourissement par le bas du plancher). Le tuyau en chicane doit éviter que d'autres animaux ne rentrent. Et aussi les courants d'air. Il est en pente descendante pour éviter que l'eau ne remonte vers la cabane. La coupelle est pour mettre des croquettes de chat, dont les hérissons rafollent. C'est le cadeau de bienvenu (enfin : de quoi les appâter) !
Ci-dessus, une fois le toit (en pente, étanche et largement débordant pour protéger le bois) mis en place...
Et enfin, le tout une fois bien camouflé (sous les branches ; par-dessus une première couche de branchages, j'ai mis un large plastique, qu'on voit un peu, pour étanchéifier encore)...
Les limaces ont été évoquées plus haut. Je ne commente pas l'article cité sur le blog. Il est évident qu'entre une forêt en "paraculture" et le "potager du paresseux", il y a une énorme différence au niveau de l'anthropisation. Le "Potager du Paresseux", bien que s'appuyant sur les mécanismes de la nature, est un système créé, entretenu, géré par l'homme... C'est un système "gravement" anthropisé. Ce n'est pas un système naturel, en équilibre, dans lequel l'homme cueille un peu...
Bien que j'ai, à mon grand étonnement, peu de problèmes de limaces, j'en ai occasionnellement.
Et avec la densité de plantes sensibles (laitues, carottes,etc en lignes..), je dois faire attention.
J'ai bien des champignons, en pagaille même, du mycélium, en pagaille lui aussi, cela ne dissuade pas mes limaces, "anthropisées" peut-être, de se loger sous les salades et de se nourrir... de salades. Ou de se faire une "ligne" de carottes qui lèvent ! Après tout, elles sont peut-être comme les hommes ?
Dans mon esprit, je penses "traiter" la question un peu comme les pucerons : installer, à une portée de quelques mètres, le long de la haie nord, un massif de plantes décoratives ayant la caractéristique d'être très facilement attaquées par des limaces. Donc de les nourrir. Ce sera mon "élevage" de limaces. Quelques planches pourries pour qu'elles s'abritent dessous... Et, au bout de cette zone, j'essaye d'installer une cabane à hérisson, qui aurait son "garde-manger" à portée de main.
Les limaces étant peu mobiles, le hérisson étant très mobile, je pense ainsi le nourrir donc le maintenir dans son coin, sans que les limaces ne fassent la navette vers mon jardin, tout en bénéficiant de "ses services" dans tout le jardin !
Parmi les plantes qu'aiment les limaces, on peut citer : hostas, oeillets d'inde (Tagetes), iris, chardon bleu (Eryngium)...
Un peu de bois qui pourrit, pour qu'il y ait des champignons aussi...
En attendant le hérisson, j'ai construit et installé la cabane !
La voilà, ci-dessus, ouverte, le toit posé à coté, dans le garage. [les planches colorées, c'est parce que j'avais des chutes ! Cela rappellera à certains les panneaux de mon stand à BiObernai ; je pense que la nuit, tout cela sera gris...]
Ci-dessus, dans le jardin, avant mise en place...
Ci-dessus, une fois place, encore ouverte. Noter le "vide sanitaire" en-dessous : des lattes et un papier goudronnée (qu'on ne voit pas, au sol) pour éviter l'humidité par le bas (et le pourissement par le bas du plancher). Le tuyau en chicane doit éviter que d'autres animaux ne rentrent. Et aussi les courants d'air. Il est en pente descendante pour éviter que l'eau ne remonte vers la cabane. La coupelle est pour mettre des croquettes de chat, dont les hérissons rafollent. C'est le cadeau de bienvenu (enfin : de quoi les appâter) !
Ci-dessus, une fois le toit (en pente, étanche et largement débordant pour protéger le bois) mis en place...
Et enfin, le tout une fois bien camouflé (sous les branches ; par-dessus une première couche de branchages, j'ai mis un large plastique, qu'on voit un peu, pour étanchéifier encore)...
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Bonjour tout le monde mais un bonjour spécial à Did.
J'ai mis deux jours à m'inscrire et à activer mon compte mais je crois que c'est fait.
je suis ce forum depuis huit ans presque quotidiennement.Très intéressant.
Did je suis ce fil depuis son début. Le jardinage visant l'autarcie m'intéresse depuis le début des années 80.
Ta sillon'net est géniale de simplicité. Modifiable (conpliquable) à volonté, la porte ouverte à tous les essais,des échècs mais aussi des leçons et qui sait des joies. La mienne ressemblera à la tienne.j'ait ce qu'il faut pour le faire
Je ne t'ai pas dit, t'as un adepte de plus dans le Poitou Juste à côté des baudets.Merci de tout ce boulot.
J'ai mis deux jours à m'inscrire et à activer mon compte mais je crois que c'est fait.
je suis ce forum depuis huit ans presque quotidiennement.Très intéressant.
Did je suis ce fil depuis son début. Le jardinage visant l'autarcie m'intéresse depuis le début des années 80.
Ta sillon'net est géniale de simplicité. Modifiable (conpliquable) à volonté, la porte ouverte à tous les essais,des échècs mais aussi des leçons et qui sait des joies. La mienne ressemblera à la tienne.j'ait ce qu'il faut pour le faire
Je ne t'ai pas dit, t'as un adepte de plus dans le Poitou Juste à côté des baudets.Merci de tout ce boulot.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Merci pour ce commentaire sympa... et ce retour. Je me demande toujours un peu combien de gens sont touchés par ce que j'écris et par cette approche du jardinage. Par simple curiosité. Pas par mégalomanie.
L'autarcie n'est qu'un objectif annexe pour moi. Les deux premiers objectifs sont : a) produire sans beaucoup d'efforts ; b) des produits de qualité supérieure à ce que je trouve dans les magasins même "bio AB"...
Mais vu la facilité qui me surprend parfois moi-même (j'ai parfois encore de vieux réflexes de "jardinier classique" !), j'ai encore augmenté la surface pour mettre plus de variété de légumes (donc plus d'espèces et cultivars)...
Une serre est un rêve. Cette année, j'ai confectionné des chassis vitrés, pour produire les plants moi-même.
En ce qui concerne la Sillon'net, laisse-moi encore quelques jours pour quelques modifications, qui devraient être des améliorations.
J'ai aussi filmé le premier test, mais il me faut un peu de temps pour faire le montage. Je n'ai jamais été très doué pour l'informatique. Alors cela prend du temps. Mon Nikon me sort les vidéos avec un format que ne supporte pas Movie Maker. Alors je convertis. Cela a pris la nuit ! Après je monte grossièrement, avant d'éditer...
J'ai aussi filmé une visite virtuelle de mon jardin, avec quelques commentaires...
J'invite ceux que cela intéresse à venir sur place ! Je peux héberger (s'annoncer, quand même !).
L'autarcie n'est qu'un objectif annexe pour moi. Les deux premiers objectifs sont : a) produire sans beaucoup d'efforts ; b) des produits de qualité supérieure à ce que je trouve dans les magasins même "bio AB"...
Mais vu la facilité qui me surprend parfois moi-même (j'ai parfois encore de vieux réflexes de "jardinier classique" !), j'ai encore augmenté la surface pour mettre plus de variété de légumes (donc plus d'espèces et cultivars)...
Une serre est un rêve. Cette année, j'ai confectionné des chassis vitrés, pour produire les plants moi-même.
En ce qui concerne la Sillon'net, laisse-moi encore quelques jours pour quelques modifications, qui devraient être des améliorations.
J'ai aussi filmé le premier test, mais il me faut un peu de temps pour faire le montage. Je n'ai jamais été très doué pour l'informatique. Alors cela prend du temps. Mon Nikon me sort les vidéos avec un format que ne supporte pas Movie Maker. Alors je convertis. Cela a pris la nuit ! Après je monte grossièrement, avant d'éditer...
J'ai aussi filmé une visite virtuelle de mon jardin, avec quelques commentaires...
J'invite ceux que cela intéresse à venir sur place ! Je peux héberger (s'annoncer, quand même !).
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- Econologue expert
- Messages : 12721
- Inscription : 25/02/08, 18:54
- Localisation : Bourgogne
- x 3408
Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Quelle genre de serre habite tes rêves? J'ai quelques idées (et aussi de l'expérience) sur cette question... si je peux t'être utile...
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Pas d'idée précise : genre 10 m X 5 m... Sans chauffage. Juste pour "forcer" certains légumes" et mieux réaliser la soudure (même si, pour la deuxième année, mes "laitues d'hiver" m'épatent !)
Et pour poursuivre ma réflexion sur comment "gérer" un tel espace, encore plus "anthropisé", tout en respectant les mêmes principes... Un peu plus ardû. Donc un challenge.
Cela reste un peu un rêve car je n'ai pas encore réalisé le système de recueillement des eaux de pluie, qui est un préalable vu qu'il faudra arroser... Inconcevable avec l'eau du robinet !
Pour des raisons de coût, je me suis un peu intéressé aux tunnels plastiques... Mais j'aimerais bien entendu une "vraie", en verre ! Je regarde de temps en temps, s'il y a de l'occasion, avec des horticulteurs qui cessent l'activté. Au moins pour récupérer le verre. Une ossaturre en bois n'est pas trop compliquée à faire...
Et pour poursuivre ma réflexion sur comment "gérer" un tel espace, encore plus "anthropisé", tout en respectant les mêmes principes... Un peu plus ardû. Donc un challenge.
Cela reste un peu un rêve car je n'ai pas encore réalisé le système de recueillement des eaux de pluie, qui est un préalable vu qu'il faudra arroser... Inconcevable avec l'eau du robinet !
Pour des raisons de coût, je me suis un peu intéressé aux tunnels plastiques... Mais j'aimerais bien entendu une "vraie", en verre ! Je regarde de temps en temps, s'il y a de l'occasion, avec des horticulteurs qui cessent l'activté. Au moins pour récupérer le verre. Une ossaturre en bois n'est pas trop compliquée à faire...
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