Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Oeil pour oeil... s'il decapite mes fraisiers Je decapiterais le chevreuil...Qu'il se mefie...Je cultive un jardin mais je ne suis pas vegetarien...Si il a envie de terminer en ragout...Il a juste a continuer de venir se promener ici...
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Venge avec ta réussite. puni avec ton absence. Tue avec ton silence . Gagne avec ta joie de vivre
Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Il y a mois, j'ai vu en plein jour jeunes sangliers à moins de km du centre de Nantes dans des anciens terrains autrefois cultivés maintenant achetés par la ville en vue de faire des immeubles.
Dans un de se terrain je vais essayer la méthode de Didier. Je squatte ainsi que d'autres.
C'est un terrain sableux retourner à la vie sauvage depuis une dizaine d'année.
J'ai couper l'herbe et poser une couche de 15cm sur une bande de 5m par 3m il y a 1 mois
Il y a du liseron et quelques herbes ainsi que quelques prèles et chardons.
J'arrive assez facilement à limiter pousse et ne pas me laisser déborder.
Par contre je n'ai encore vue encore aucun ver de terre, j'ai bien l'impression qu'il n'y en a pas.
On verra si la technique à Didier peut s'adapter au terrain sableux.
Autrement près de mon immeuble, j'ai une cour, le sol de gravier et de glaise ne se prête pas trop à la culture. J'ai quand même mis des fraisiers. Par contre j'ai tricher, j'ai mis 15cm de terreau et dessus j'ai ajouter de l’écorce de pin. Les fraisiers sont comparables à ceux de Diider en terme de taille et de production. Ce doit être une année pour les fraisiers. A coté j'ai des framboisiers planter dans les gravas mais dessous ils ont du trouver leur terrains car ils sont splendides. Cette année j'ai mis des petites branches sur le sol et par dessus au moins 10cm de feuilles. Cela leur plait semble t il. Sous les feuilles quelques vers.
J'ai planter aussi un pied de tomate directement dans le composteur, la tige sortant par un trou. J'ai mis un autre pieds dans un gros pot. Ainsi je pourris comparer.
Peut être que celle dans le composteur va attraper une overdose de nourriture?
Autre expérience, chez une de mes sœurs il y a 2 mois j'ai couvert le sol d'aiguille de pin (je n'avais que ça) puis ensuite j'ai déposer en couche mince de la pelouse coupée. Cela étouffe bien l'herbe, un peu de liseron traverse que j'arrache de temps en temps. Dessous, pas de ver. Les fleures poussent.
Le sol est extrêmement pauvre, il faudra surement plusieurs années pour voire une amélioration
Une de mes fille en Mayenne applique la technique de Didier, elle en est contente mais elle ne met pas assez de foin de mon point de vue. Sa terre est assez bonne, les vers vont se régaler.
Elle n'a fait que des plantations pas de semi.
Dans un de se terrain je vais essayer la méthode de Didier. Je squatte ainsi que d'autres.
C'est un terrain sableux retourner à la vie sauvage depuis une dizaine d'année.
J'ai couper l'herbe et poser une couche de 15cm sur une bande de 5m par 3m il y a 1 mois
Il y a du liseron et quelques herbes ainsi que quelques prèles et chardons.
J'arrive assez facilement à limiter pousse et ne pas me laisser déborder.
Par contre je n'ai encore vue encore aucun ver de terre, j'ai bien l'impression qu'il n'y en a pas.
On verra si la technique à Didier peut s'adapter au terrain sableux.
Autrement près de mon immeuble, j'ai une cour, le sol de gravier et de glaise ne se prête pas trop à la culture. J'ai quand même mis des fraisiers. Par contre j'ai tricher, j'ai mis 15cm de terreau et dessus j'ai ajouter de l’écorce de pin. Les fraisiers sont comparables à ceux de Diider en terme de taille et de production. Ce doit être une année pour les fraisiers. A coté j'ai des framboisiers planter dans les gravas mais dessous ils ont du trouver leur terrains car ils sont splendides. Cette année j'ai mis des petites branches sur le sol et par dessus au moins 10cm de feuilles. Cela leur plait semble t il. Sous les feuilles quelques vers.
J'ai planter aussi un pied de tomate directement dans le composteur, la tige sortant par un trou. J'ai mis un autre pieds dans un gros pot. Ainsi je pourris comparer.
Peut être que celle dans le composteur va attraper une overdose de nourriture?
Autre expérience, chez une de mes sœurs il y a 2 mois j'ai couvert le sol d'aiguille de pin (je n'avais que ça) puis ensuite j'ai déposer en couche mince de la pelouse coupée. Cela étouffe bien l'herbe, un peu de liseron traverse que j'arrache de temps en temps. Dessous, pas de ver. Les fleures poussent.
Le sol est extrêmement pauvre, il faudra surement plusieurs années pour voire une amélioration
Une de mes fille en Mayenne applique la technique de Didier, elle en est contente mais elle ne met pas assez de foin de mon point de vue. Sa terre est assez bonne, les vers vont se régaler.
Elle n'a fait que des plantations pas de semi.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Très intéressantes, toutes ces recherches !
1) L'absence prolongée de vers m'intrigue !
J'ai esquissé quelques hypothèses : sols durement matraqués pendant longtemps (pesticides, engrais et outils brutaux ont des effets très négatifs sur les vers ; faible mobilité horizontale des vers anéciques (quelques mètres par an - 1 ou 2 ai-je lu)...
Faudrait aussi vérifier ce qui se passe en zones inondables ???
Je me demande si je ne devrais pas lancer un "élevage" de vers anéciques, par un prélèvement (très limité) dans mon cheptel et ... expérimenter l'introduction chez l'un ou l'autre d'entre vous ??? [si la forme revient, je vais y réfléchir !] Voir si après 1 an, sous couvert de foin, on trouve des turricules ???
1bis) Attention : bien faire la différence entre "voir les vers" et voir les effets des vers. Les vers les plus utiles, les anéciques, se voient très peu. Ils sortent la nuit. Il faudrait passer son minuit sur place, avec une lampe frontale. Par contre, une fois que le foin se tasse et sera digéré, on voit les turricules. Actuellement, je ne vois rien non plus !
On ne les voit pas non plus au début, ils sont en fait au niveau du contact foin-sol ! Là, en soulevant délicatement, on peut voir que le foin, à certains endroits, est "souillé" de terre : ce sont les turricules, mélangés au foin...
Lors d'une plantation, c'est le coup de bêche à dents qui va renseigner. Là, à tous les coups, j'en ai plusieurs. D'un coup de bêche,je peux en sortir une demi-douzaine !
On "voit" surtout les "épigés", ces vers "coureurs" de surface, peu utiles au jardinier, même s'ils participent à la décomposition de la matière organique (c'est les fameux "vers de fumier", rougeâtres, que recherchent les pêcheurs ou les "lombricomposts"). Inutile de les introduire.
2) A mon avis, pour les sols sableux, cela ne nuit en rien. Mais l'effet bénéfique sera probablement beaucoup beaucoup moins spectaculaire, ces sols étant déjà "légers" (donc meubles). L'absence d'argiles ne va pas faciliter la création d'une structure du sol (la construction d'agrégats durables)... Donc il ne devrait y avoir une différence notable sur la constitution physique du sol, du fait de l'apport de foin.
Il restera que le foin qui se décompose "nourrira" les végétaux au fur et à mesure, ces sols retenant très mal les éléments nutritifs (ils sont très perméable et du fait de l'absence d'argiles, ont une "capacité de rétention" très faible). Qu'il protégera.
1) L'absence prolongée de vers m'intrigue !
J'ai esquissé quelques hypothèses : sols durement matraqués pendant longtemps (pesticides, engrais et outils brutaux ont des effets très négatifs sur les vers ; faible mobilité horizontale des vers anéciques (quelques mètres par an - 1 ou 2 ai-je lu)...
Faudrait aussi vérifier ce qui se passe en zones inondables ???
Je me demande si je ne devrais pas lancer un "élevage" de vers anéciques, par un prélèvement (très limité) dans mon cheptel et ... expérimenter l'introduction chez l'un ou l'autre d'entre vous ??? [si la forme revient, je vais y réfléchir !] Voir si après 1 an, sous couvert de foin, on trouve des turricules ???
1bis) Attention : bien faire la différence entre "voir les vers" et voir les effets des vers. Les vers les plus utiles, les anéciques, se voient très peu. Ils sortent la nuit. Il faudrait passer son minuit sur place, avec une lampe frontale. Par contre, une fois que le foin se tasse et sera digéré, on voit les turricules. Actuellement, je ne vois rien non plus !
On ne les voit pas non plus au début, ils sont en fait au niveau du contact foin-sol ! Là, en soulevant délicatement, on peut voir que le foin, à certains endroits, est "souillé" de terre : ce sont les turricules, mélangés au foin...
Lors d'une plantation, c'est le coup de bêche à dents qui va renseigner. Là, à tous les coups, j'en ai plusieurs. D'un coup de bêche,je peux en sortir une demi-douzaine !
On "voit" surtout les "épigés", ces vers "coureurs" de surface, peu utiles au jardinier, même s'ils participent à la décomposition de la matière organique (c'est les fameux "vers de fumier", rougeâtres, que recherchent les pêcheurs ou les "lombricomposts"). Inutile de les introduire.
2) A mon avis, pour les sols sableux, cela ne nuit en rien. Mais l'effet bénéfique sera probablement beaucoup beaucoup moins spectaculaire, ces sols étant déjà "légers" (donc meubles). L'absence d'argiles ne va pas faciliter la création d'une structure du sol (la construction d'agrégats durables)... Donc il ne devrait y avoir une différence notable sur la constitution physique du sol, du fait de l'apport de foin.
Il restera que le foin qui se décompose "nourrira" les végétaux au fur et à mesure, ces sols retenant très mal les éléments nutritifs (ils sont très perméable et du fait de l'absence d'argiles, ont une "capacité de rétention" très faible). Qu'il protégera.
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
phil53 a écrit :
Il y a du liseron et quelques herbes ainsi que quelques prèles et chardons.
.
Ceci confirme que cela a été cultivé (liseron) et que celui-ci ne disparait pas, mais "cohabite" ensuite avec la flore qui s'installe. Il tire son épingle du jeu. C'est comme sur mon ex-friche !
La prêle est un indice de sols siliceux (sableux) et/ou de sols humides...
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
phil53 a écrit :
Peut être que celle dans le composteur va attraper une overdose de nourriture?.
Pas mortelle, l'overdose !!!
Peut-être sera-t-il plus sensible aux maladies ?
J'ai cultivé des courgettes une année ainsi, par flemme. Sans problème. J'ai eu plusieurs fois des pommes de terre (à partir des épluchures). Sans problème.
Cela montre que le compost n'est pas si "exceptionnel" que ça ! C'est beaucoup de chaleur dissipée dans l'air, un pue de matière organique non totalement décomposée et des éléments minéraux...
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
Concernant les vers.
C'est un squat de différentes personnes, différentes techniques sur d'anciens jardins maraichers. Ce n'était pas du bio donc il a du y avoir pas mal de cochonneries mais cela fait des années.
Un des occupants pratique à l'ancienne, il a arracher les grandes herbes et les a mises en tas, c'est dans ce tas que j'ai chercher les vers. En fait j'ai transporter une partie des herbes en décomposition sur mon coin. Des fourmi, des cloportes, des lézards mais aucun ver.
D'après ce que je connais du terrain dessous le sable il doit y avoir de l'argile et c'est très très rarement inondé
C'est un squat de différentes personnes, différentes techniques sur d'anciens jardins maraichers. Ce n'était pas du bio donc il a du y avoir pas mal de cochonneries mais cela fait des années.
Un des occupants pratique à l'ancienne, il a arracher les grandes herbes et les a mises en tas, c'est dans ce tas que j'ai chercher les vers. En fait j'ai transporter une partie des herbes en décomposition sur mon coin. Des fourmi, des cloportes, des lézards mais aucun ver.
D'après ce que je connais du terrain dessous le sable il doit y avoir de l'argile et c'est très très rarement inondé
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
A l'occasion, à titre "scientifique", peux-tu creuser de quelques coups de bêche (à dents de préférence), à l'endroit où était le tas ??? Pour voir s'il n'y a vraiment rien rien, ou rien en surface seulement...
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
phil53 a écrit :
Par contre je n'ai encore vue encore aucun ver de terre, j'ai bien l'impression qu'il n'y en a pas...
Tu veux dire quand tu soulèves le foin ????
Car sinon, en effet, tu ne verras rien tant qu'il y aura une couche épaisse de foin.
Les photos de turricules que j'ai publiées plus haut, c'est soit dans les sillons ouverts pour semer, soit lorsque la couche a été presque entièrement digérée !
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
phil53 a écrit :
c'est dans ce tas que j'ai chercher les vers. En fait j'ai transporter une partie des herbes en décomposition sur mon coin. Des fourmi, des cloportes, des lézards mais aucun ver.
D'après ce que je connais du terrain dessous le sable il doit y avoir de l'argile et c'est très très rarement inondé
Pardon, la réponse était plus loin...
- dans le tas : c'est normal, suaf quelques vers épigés, les vers "utiles" ne vivent pas dans les tas, mais dans la terre ; ils viennent puiser leur nourriture dans le tas
- une fois le tas enlevé, en revanche, il n'est pas rare d'en voir, à la limite sol-végétaux...
Donc oui, il faut s'interroger.
Mais si tu as l'occasion, mets un ou deux coups de bêches et émiette la terre, pour savoir si oui ou non, il y en a !
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Re: Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?
bonjour,
sur ce point particulier( de Did 67):
Je me demande si je ne devrais pas lancer un "élevage" de vers anéciques, par un prélèvement (très limité) dans mon cheptel et ... expérimenter l'introduction chez l'un ou l'autre d'entre vous ??? [si la forme revient, je vais y réfléchir !]
les gens de la fac de sciences de Rennes qui travaillaient sur les vers de terre et qui étaient venus dans nos jardins faire des prélèvements avaient bien dit de ne pas transplanter des vers car ils sont parasités par des nématodes et qu'on risque de faire des bêtises avec de bonnes intentions
yves
sur ce point particulier( de Did 67):
Je me demande si je ne devrais pas lancer un "élevage" de vers anéciques, par un prélèvement (très limité) dans mon cheptel et ... expérimenter l'introduction chez l'un ou l'autre d'entre vous ??? [si la forme revient, je vais y réfléchir !]
les gens de la fac de sciences de Rennes qui travaillaient sur les vers de terre et qui étaient venus dans nos jardins faire des prélèvements avaient bien dit de ne pas transplanter des vers car ils sont parasités par des nématodes et qu'on risque de faire des bêtises avec de bonnes intentions
yves
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ignorés:obamot,janic,guygadebois... de l'air,de l'air . On est pas(encore) sur Qanon Ben ,si en fait
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