Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Temps gris... Léger refroidissement (toux, gorge sèche...) : temps propice à la lecture...
Pour ceux qui aime comprendre, ceux à qui l'intuition seule ne suffit pas tout à fait...
Un livre un peu plus difficile : il s'agit de "vulgarisation scientifique"
"Les mycorhizes : la nouvelle révolution verte" de J. André Fortin, enseignant à l'université Laval et à l’université de Montréal ; de Christian Planchette, directeur de recherche à l'INRA - Dijon et de Yves Piché, professeur de mycologie à l'université Laval
Editions multimondes - Québec
[Université Laval est une des grandes universités canadiennes, située à Québec]
Ce livre est bien illustré, avec des photos parfois très parlantes.
Il "révèle", pour moi, le rôle beaucoup plus important que ce qu'on pense en général (ou ce que je pensais) des mycorhizes...
Il classifie les mycorhizes et montre que divers végétaux ont développé cette symbiose ("association à bénéfice réciproques"), avec diverses familles de champignons. 85 % des végétaux "vasculaires" (ceux ayant des vaisseaux dans lesquels circule la sève) ont ce type d'association.
Il démontre le rôle essentiel dans le "captage" des minéraux, particulièrement les phosphates. Mais aussi dans l'accroissement de la capacité d'absorption de l'eau.
Il reste nuancé. Et explique comment certaines plantes se sont "affranchies" des mycorhizes et cite les choux, les chénopodiacées (betteraves, épinards) ou encore... le lupin...
Il faut que je lise encore tout en détail, pour voir comment je peux "optimiser", sur les végétaux concernés, le rôle de cette symbiose. Un chapitre est concerné par la production d'inoculum (de "semences") et leur mise en œuvre.
J'avais fait un essai sur des tomates, sans succès "visible". De deux choses l'une : ou mon terrain est naturellement bien doté, et l'inoculation n'a pas apporté de "plus" visible ; ou je m'y suis mal pris...
Je vais donc continuer à bucher cette centaine de pages assez denses.
Il va de soi que cela renforce encore mes convictions "anti-boullie bordelaise", dont le cuivre, fongicide, s'accumule dans le sol... Si on veut que les mycorhizes se développent, il faut commencer par éliminer les fongicides et avoir des conditions favorables dans le sol.
Pour ceux qui aime comprendre, ceux à qui l'intuition seule ne suffit pas tout à fait...
Un livre un peu plus difficile : il s'agit de "vulgarisation scientifique"
"Les mycorhizes : la nouvelle révolution verte" de J. André Fortin, enseignant à l'université Laval et à l’université de Montréal ; de Christian Planchette, directeur de recherche à l'INRA - Dijon et de Yves Piché, professeur de mycologie à l'université Laval
Editions multimondes - Québec
[Université Laval est une des grandes universités canadiennes, située à Québec]
Ce livre est bien illustré, avec des photos parfois très parlantes.
Il "révèle", pour moi, le rôle beaucoup plus important que ce qu'on pense en général (ou ce que je pensais) des mycorhizes...
Il classifie les mycorhizes et montre que divers végétaux ont développé cette symbiose ("association à bénéfice réciproques"), avec diverses familles de champignons. 85 % des végétaux "vasculaires" (ceux ayant des vaisseaux dans lesquels circule la sève) ont ce type d'association.
Il démontre le rôle essentiel dans le "captage" des minéraux, particulièrement les phosphates. Mais aussi dans l'accroissement de la capacité d'absorption de l'eau.
Il reste nuancé. Et explique comment certaines plantes se sont "affranchies" des mycorhizes et cite les choux, les chénopodiacées (betteraves, épinards) ou encore... le lupin...
Il faut que je lise encore tout en détail, pour voir comment je peux "optimiser", sur les végétaux concernés, le rôle de cette symbiose. Un chapitre est concerné par la production d'inoculum (de "semences") et leur mise en œuvre.
J'avais fait un essai sur des tomates, sans succès "visible". De deux choses l'une : ou mon terrain est naturellement bien doté, et l'inoculation n'a pas apporté de "plus" visible ; ou je m'y suis mal pris...
Je vais donc continuer à bucher cette centaine de pages assez denses.
Il va de soi que cela renforce encore mes convictions "anti-boullie bordelaise", dont le cuivre, fongicide, s'accumule dans le sol... Si on veut que les mycorhizes se développent, il faut commencer par éliminer les fongicides et avoir des conditions favorables dans le sol.
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Quelques éléments :
1) Le livre situe l'apparition des mycorhizes "arbusculaires" (les formes qui concernent 85 % des végétaux vasculaires) il y a 450 millions d'années, au moment où les végétaux commençaient leur conquête de la terre... [des traces trouvées dans les premiers végétaux fossiles]
Cela la situe à peu près au même moment qu'une autre symbiose conquérante, qu'on observe encore aujourd'hui : les lichens (qui en une demi-douzaine d'années, ont conquis le rebord de ma fenêtre en je ne sais plus quelle "roche synthétique" - béton artificiel - situé plein nord ; je ferai des photos demain).
2) Parallèlement, le sol s'est constitué graduellement à partir des minéraux...
On peut donc penser que les mycorhizes ont été la condition sine qua non à la conquête de la terre par les premiers végétaux.
[cela rejoint l'idée chère à Konrad Schreiber, comme quoi ce sont les végétaux qui construisent leur sol ; et il a raison]
3) Le livre estime que sous 1 m² de prairie, la surface de mycélium (les "filaments" des champignons associés aux radicelles pour former donc cette "association" symbiotique appelée mycorhize) est d'environ 90 m² - ce qui donne une idée de la capacité d'absorption !)
[dès lors, étant passé naturellement de ma prairie naturelle à ma culture de tomates avec juste un passage par la case trèfle puis BRF, je comprends pourquoi j'ai inoculé des mycorhizes achetées en pure perte : elles étaient déjà là ; donc pas d'effet visible entre mes pieds mycorhizés "artificiellement" et les autres - mycorhizés naturellement par le sol !]
4) Dans un pot d'un litre dans lequel pousse un seul plant de poireau, le mycélium peut atteindre jusqu'à 1 km.
5) Plus loin, il est précisé que "les "sols naturels" comportent une flore mycorhizienne généralement abondante et diversifiée, de sorte que les plantes qui s'y installent forment rapidement et aisément des mycorhizes..."
"Les diverses pratiques culturales modifient la diversité des mycorhizes. Ainsi, il arrive fréquemment que les mycorhizes ne se forment qu'en fin de cycle végétatif, ce qui les rend inutile pour la plante. Il n'est pas rare que cette diminution du nombre de propagules puisse aller jusqu'à leur disparition, dans certaines situations de monoculture intensive, où les apports de fertilisants phosphatés sont élevés"...
Amen. Tout est dit (enfin écrit !).
On peut donc dès lors que conseiller de soigner le sol, de le "modifier" le moins possible. De ne surtout pas le "saouler" avec trop de phosphates. Et bien sûr de ne pas l'empoisonner avec des résidus de fongicides (toutes les molécules utilisées pour lutter contre les maladies dites cryptogamiques ou fongiques, bref, dues à des champignons microscopiques : mildiou; oïdium, marsonnia - tâches nories sur les feuilles de rosiers et quelques autres - tavelure du pomimier - les "croutes noires"...) (la plus durable étant tous les dérivés du cuivre, "naturelles", alors que certaines molécules synthétiques, organiques, peuvent avoir une durée de vie assez réduite)
1) Le livre situe l'apparition des mycorhizes "arbusculaires" (les formes qui concernent 85 % des végétaux vasculaires) il y a 450 millions d'années, au moment où les végétaux commençaient leur conquête de la terre... [des traces trouvées dans les premiers végétaux fossiles]
Cela la situe à peu près au même moment qu'une autre symbiose conquérante, qu'on observe encore aujourd'hui : les lichens (qui en une demi-douzaine d'années, ont conquis le rebord de ma fenêtre en je ne sais plus quelle "roche synthétique" - béton artificiel - situé plein nord ; je ferai des photos demain).
2) Parallèlement, le sol s'est constitué graduellement à partir des minéraux...
On peut donc penser que les mycorhizes ont été la condition sine qua non à la conquête de la terre par les premiers végétaux.
[cela rejoint l'idée chère à Konrad Schreiber, comme quoi ce sont les végétaux qui construisent leur sol ; et il a raison]
3) Le livre estime que sous 1 m² de prairie, la surface de mycélium (les "filaments" des champignons associés aux radicelles pour former donc cette "association" symbiotique appelée mycorhize) est d'environ 90 m² - ce qui donne une idée de la capacité d'absorption !)
[dès lors, étant passé naturellement de ma prairie naturelle à ma culture de tomates avec juste un passage par la case trèfle puis BRF, je comprends pourquoi j'ai inoculé des mycorhizes achetées en pure perte : elles étaient déjà là ; donc pas d'effet visible entre mes pieds mycorhizés "artificiellement" et les autres - mycorhizés naturellement par le sol !]
4) Dans un pot d'un litre dans lequel pousse un seul plant de poireau, le mycélium peut atteindre jusqu'à 1 km.
5) Plus loin, il est précisé que "les "sols naturels" comportent une flore mycorhizienne généralement abondante et diversifiée, de sorte que les plantes qui s'y installent forment rapidement et aisément des mycorhizes..."
"Les diverses pratiques culturales modifient la diversité des mycorhizes. Ainsi, il arrive fréquemment que les mycorhizes ne se forment qu'en fin de cycle végétatif, ce qui les rend inutile pour la plante. Il n'est pas rare que cette diminution du nombre de propagules puisse aller jusqu'à leur disparition, dans certaines situations de monoculture intensive, où les apports de fertilisants phosphatés sont élevés"...
Amen. Tout est dit (enfin écrit !).
On peut donc dès lors que conseiller de soigner le sol, de le "modifier" le moins possible. De ne surtout pas le "saouler" avec trop de phosphates. Et bien sûr de ne pas l'empoisonner avec des résidus de fongicides (toutes les molécules utilisées pour lutter contre les maladies dites cryptogamiques ou fongiques, bref, dues à des champignons microscopiques : mildiou; oïdium, marsonnia - tâches nories sur les feuilles de rosiers et quelques autres - tavelure du pomimier - les "croutes noires"...) (la plus durable étant tous les dérivés du cuivre, "naturelles", alors que certaines molécules synthétiques, organiques, peuvent avoir une durée de vie assez réduite)
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L'hiver s'est installé. Réjouissons-nous...
Et, en attendant de nouveaux échanges su le "Jardin du Paresseux", que j'espère intéressants et constuctifs, contemplons et méditons. Je vous invite à parcourrir la diaporama suivant :
http://www.gerbeaud.com/diaporamas/mous ... 03,01.html
J'aurais peut-être quelques mots à vous dire sur les lichens et mousses...
PS : le titre de cette rubrique est si peu adapté que j'ai eu beaucoup de mal à la retrouver !!!
Et, en attendant de nouveaux échanges su le "Jardin du Paresseux", que j'espère intéressants et constuctifs, contemplons et méditons. Je vous invite à parcourrir la diaporama suivant :
http://www.gerbeaud.com/diaporamas/mous ... 03,01.html
J'aurais peut-être quelques mots à vous dire sur les lichens et mousses...
PS : le titre de cette rubrique est si peu adapté que j'ai eu beaucoup de mal à la retrouver !!!
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Le printemps pointe son nez... Même si aujourd'hui, c'est discutable !
Ces photos datent d'il y a trois semaines !
Alors, s'il reste des « jardiniers paresseux », peut-être est-il temps de ré-activer ce fil ? De reprendre les échanges ??? [un petit « OK » ou « oui » - ou plus si affinité - pour savoir si je continue ?]
L'approche visant à supprimer le travail du sol par le maintien d'une couverture permanente de « matière organique» (matière issue du vivant) bute parfois sur la disponibilité de ces « matières organiques »... J'ai développé plus haut la chance que j'ai d'avoir à proximité un agriculteur qui effectue, contre indemnisation, la fauche tardive de prairies d'un site naturel classé en raison de la présence d'espèces protégées... Ce foin, « plus que bio », mais rempli d’épineux, n'est pas utilisable pour nourrir ses animaux... Ce sont les balles que vous voyez sur les photos.
J'ai aussi évoqué la taille des haies, avec un gisement privé de « BRF » après passage dans mon broyeur. Je continue de développer cette haie qui fait aussi clôture naturelle avec le voisin.
Et à l'automne, la taille des fruitiers a aussi donné son lot de branches à broyer.
Mais ce printemps, nous avons découvert bien d'autres « gisements ».
Par exemple, un voisin qui taille ses arbres et qui allait « nettoyer » son jardin en brûlant ces branches. L'affaire fut vite conclue : « tu jettes par-dessus la clôture et je broie » ; « OK ! ».
Plus surprenant : à l'entrée d'un chemin forestier, pas loin de la maison, ce printemps, des tas de sciures jetés là par je ne sais qui... Malheureusement pour lui mais heureusement pour l'environnement et nous, la tentative d'y mettre le feu a échoué ! Mon épouse a été récupérer cela pour « pailler » les framboisiers et « conquérir » une nouvelle zone de prairie destinée à recevoir un mélange d'arbustes ornementaux, d'arbustes « utiles » (produisant des baies consommables) et de plantes aromatiques...
En circulant, j'ai aussi vu, dans une luzernière d'un village voisin, des balles rondes qui ont passé l'hiver là, abandonnées par l'agriculteur, et qui sont maintenant « gâtées » ! Je n'en ai pas besoin. Mais si on circule les yeux ouverts, de la « matière organique », il s'en trouve finalement ! Du moins en milieu rural.
Vous me direz que pour un « jardinier paresseux », c'est déjà là beaucoup de travail ! Et en effet !!!
Aujourd'hui, pour Pâques, je vous offre ce... curieux oeuf. Attention aux épines !!! [il s'agit d'une "plante à caudex" dont je ne connais pas le nom, probablement un Pachypodium] :

Ces photos datent d'il y a trois semaines !


Alors, s'il reste des « jardiniers paresseux », peut-être est-il temps de ré-activer ce fil ? De reprendre les échanges ??? [un petit « OK » ou « oui » - ou plus si affinité - pour savoir si je continue ?]
L'approche visant à supprimer le travail du sol par le maintien d'une couverture permanente de « matière organique» (matière issue du vivant) bute parfois sur la disponibilité de ces « matières organiques »... J'ai développé plus haut la chance que j'ai d'avoir à proximité un agriculteur qui effectue, contre indemnisation, la fauche tardive de prairies d'un site naturel classé en raison de la présence d'espèces protégées... Ce foin, « plus que bio », mais rempli d’épineux, n'est pas utilisable pour nourrir ses animaux... Ce sont les balles que vous voyez sur les photos.
J'ai aussi évoqué la taille des haies, avec un gisement privé de « BRF » après passage dans mon broyeur. Je continue de développer cette haie qui fait aussi clôture naturelle avec le voisin.
Et à l'automne, la taille des fruitiers a aussi donné son lot de branches à broyer.
Mais ce printemps, nous avons découvert bien d'autres « gisements ».
Par exemple, un voisin qui taille ses arbres et qui allait « nettoyer » son jardin en brûlant ces branches. L'affaire fut vite conclue : « tu jettes par-dessus la clôture et je broie » ; « OK ! ».
Plus surprenant : à l'entrée d'un chemin forestier, pas loin de la maison, ce printemps, des tas de sciures jetés là par je ne sais qui... Malheureusement pour lui mais heureusement pour l'environnement et nous, la tentative d'y mettre le feu a échoué ! Mon épouse a été récupérer cela pour « pailler » les framboisiers et « conquérir » une nouvelle zone de prairie destinée à recevoir un mélange d'arbustes ornementaux, d'arbustes « utiles » (produisant des baies consommables) et de plantes aromatiques...
En circulant, j'ai aussi vu, dans une luzernière d'un village voisin, des balles rondes qui ont passé l'hiver là, abandonnées par l'agriculteur, et qui sont maintenant « gâtées » ! Je n'en ai pas besoin. Mais si on circule les yeux ouverts, de la « matière organique », il s'en trouve finalement ! Du moins en milieu rural.
Vous me direz que pour un « jardinier paresseux », c'est déjà là beaucoup de travail ! Et en effet !!!
Aujourd'hui, pour Pâques, je vous offre ce... curieux oeuf. Attention aux épines !!! [il s'agit d'une "plante à caudex" dont je ne connais pas le nom, probablement un Pachypodium] :
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Did67 a écrit :L'hiver s'est installé. Réjouissons-nous...
Et, en attendant de nouveaux échanges su le "Jardin du Paresseux", que j'espère intéressants et constuctifs, contemplons et méditons
Ah je connais bien le concept, et je le pratique depuis un moment


J'en avais même fait un sujet: https://www.econologie.com/forums/concours-j ... t8044.html

ps: ton dernier message avec tes belles photos aurait plus sa place dans ce sujet ci que celui là...
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Mon ambition est tout de même une production, aussi importante que possible, de légumes "plus que bio" (puisqu'autant que possible, produits sans aucun engrais et sans aucun pesticide, même naturel ou "homologué bio").
Mais j'ai aussi une zone jardin d'agrément conduite en "mode paresseux", dont les zones tondues (circulations, etc) sont une source de biomasse pour le "jardin (potager donc) du paresseux"...
Donc ces deux sujets sont voisins, ils sont de la même inspiration, mais ils ne se recoupent pas tout à fait. Si je comprends bien...
Mais je pense aussi que le titre de celui-ci, issu d'une autre discussion, n'est plus tout à fait exact.
Maintenant, je ne veux rien imposer. Si cela intéresse du monde, je poursuis. Sinon, je laisse...
Mais j'ai aussi une zone jardin d'agrément conduite en "mode paresseux", dont les zones tondues (circulations, etc) sont une source de biomasse pour le "jardin (potager donc) du paresseux"...
Donc ces deux sujets sont voisins, ils sont de la même inspiration, mais ils ne se recoupent pas tout à fait. Si je comprends bien...
Mais je pense aussi que le titre de celui-ci, issu d'une autre discussion, n'est plus tout à fait exact.
Maintenant, je ne veux rien imposer. Si cela intéresse du monde, je poursuis. Sinon, je laisse...
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"Bienheureux les paresseux, car ils seront comblés de tous les fruits (et les légumes!) de la terre" citation apocryphe, bien approprié en cette période pascale.
Courage, Did, continue cet éloge de la paresse bucolique si nécessaire en ces temps voués au culte fatal du travail!

Courage, Did, continue cet éloge de la paresse bucolique si nécessaire en ces temps voués au culte fatal du travail!
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
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Did67 a écrit :L'hiver s'est installé. Réjouissons-nous...
Et, en attendant de nouveaux échanges su le "Jardin du Paresseux", que j'espère intéressants et constuctifs, contemplons et méditons. Je vous invite à parcourrir la diaporama suivant :
http://www.gerbeaud.com/diaporamas/mous ... 03,01.html
J'aurais peut-être quelques mots à vous dire sur les lichens et mousses...
PS : le titre de cette rubrique est si peu adapté que j'ai eu beaucoup de mal à la retrouver !!!
Salut Did,
tout à l'heure j'ai scindé les sujets et mis un nouveau titre provisoire,
tu veux quoi comme titre ?
Bon jardinage !

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Le Mouvement Naturellement Energique !
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