Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue

[phil53]

Mes parents avaient le même en plus rustique. Ils ont abandonné l utilisation quand ils ont acheté une planteuse pour les choux et les betteraves.

[Did67]

Bonsoir à tous, je m'éloigne des derniers sujets évoqués afin de recueillir vos avis sur cet outil dont je n'ai pas trouvé trace en cherchant sur le forum, et qui permettrait peut-être d'aller encore plus loin sur le chemin de l'efficacité qui m'est si cher.

Vous connaissez sûrement ce que l'on appel un "transplantoir" ou encore une "repiqueuse", cela fonctionne aisément sur sol nu et travaillé, mais à travers le foin ou le BRF je n'ai vu aucun témoignage jusqu'à présent alors que cela semble efficace et permet de ne pas se baisser avec une cadence confortable.

Je suis preneur de tous vos retours.

Je l'avais évoqué tout au début, comme quelque chose que je voulais essayer... Et puis l'idée m'est passée... Oublié.

Je n'ai donc pas encore d'avis quant à son aptitude à percer une couche de foin. Je serais, a priori et sans essais, plutôt réservé, tant le foin une fois formé la couche peut se révéler "chewing-gum" et pas facile à percer du tout...

On trouve ces appareils sous le nom de "cannes à planter". La qualité de leur fabrication est fort variable, et partant, sans doute : a) leur capacité à "percer" - le tranchant en somme ; b) la facilité pour ouvrir le bec en sol qui n'est pas "parfaitement meuble" (elles s'utilisent en général, en maraichage, en sol "fraisé".

Il existe cependant des modèles utilisés par les forestiers, en sols non préparés, avec une "pédale à pied" pour ouvrir le bec.

https://www.fsi-materiel-forestier.fr/n ... a-planter/

Prix : 170 € (https://www.zimmersa.com/plantoirs/181- ... nnels.html)

[Rust COHLE]

Bonsoir à tous, je m'éloigne des derniers sujets évoqués afin de recueillir vos avis sur cet outil dont je n'ai pas trouvé trace en cherchant sur le forum, et qui permettrait peut-être d'aller encore plus loin sur le chemin de l'efficacité qui m'est si cher.

Vous connaissez sûrement ce que l'on appel un "transplantoir" ou encore une "repiqueuse", cela fonctionne aisément sur sol nu et travaillé, mais à travers le foin ou le BRF je n'ai vu aucun témoignage jusqu'à présent alors que cela semble efficace et permet de ne pas se baisser avec une cadence confortable.

Je suis preneur de tous vos retours.

Je l'avais évoqué tout au début, comme quelque chose que je voulais essayer... Et puis l'idée m'est passée... Oublié.

Je n'ai donc pas encore d'avis quant à son aptitude à percer une couche de foin. Je serais, a priori et sans essais, plutôt réservé, tant le foin une fois formé la couche peut se révéler "chewing-gum" et pas facile à percer du tout...

On trouve ces appareils sous le nom de "cannes à planter". La qualité de leur fabrication est fort variable, et partant, sans doute : a) leur capacité à "percer" - le tranchant en somme ; b) la facilité pour ouvrir le bec en sol qui n'est pas "parfaitement meuble" (elles s'utilisent en général, en maraichage, en sol "fraisé".

Il existe cependant des modèles utilisés par les forestiers, en sols non préparés, avec une "pédale à pied" pour ouvrir le bec.

https://www.fsi-materiel-forestier.fr/n ... a-planter/

Prix : 170 € (https://www.zimmersa.com/plantoirs/181- ... nnels.html)

Je n'ai pas dû trouver sur le forum car je n'avais pas pensé au nom "canne à planter", d'où certainement cette redite...

Nous avons les mêmes interrogations quant à l'intérêt en phénoculture, j'en avais trouvé une dans les 60 € qui semblait très solide et surtout était le fruit de l'expérience d'un maraîcher pro qui après en avoir utilisé plusieurs du commerce sans grand résultat, s'était lancé dans la fabrication du modèle correspondant aux photos de mon post précédent, il a notamment retravaillé le bec pour le rendre plus solide et tranchant et pour que la poignée soit plus fluide à utiliser a priori, mais sur sol nu et travaillé effectivement...

Le doute est donc toujours là, mais il convient sans doute de se demander en fonction de la taille du potager et du nombre de plants à mettre en terre si cela en vaut la peine...

[Adrien (ex-nico239)]

On n'arrête pas le progrès


L'IA, les robots et les "fermes verticales" intègrent l'agriculture pour produire 400 fois plus de rendement,
En utilisant 95 % moins d'eau et 99 % moins d'espace

[Doris]

Ces jours-ci j'ai commencé à tester le pH de mon sol sur différentes parties du terrain. Je dois m'arrêter pour le moment, le temps est trop pourri, mais je referai le test complet pour tous les endroit le week-end prochain. J'ai eu une belle surprise sur la parcelle la plus ancienne, qui est couverte depuis deux ans maintenant. Les bandelettes me la situe entre 6,2 et 6,8. J'ai fait un essai sur un bout de prairie, c'est 5, sans surprise. Le temps à mis provisoirement fin à ma curieusité, pour savoir, où j'en suis sur les autres parcelles, dont deux mis sous foin il y a juste un an, et une autre, gagnée dans ma friche ce printemps.

[Boris70]

On n'arrête pas le progrès


L'IA, les robots et les "fermes verticales" intègrent l'agriculture pour produire 400 fois plus de rendement,
En utilisant 95 % moins d'eau et 99 % moins d'espace

Au niveau du cycle de vie (au sens du coût énergétique), ces salades coûtent une fortune: éclairage, chauffage, robots, ordinateurs, solutions nutritives, substrat, pompe, production des déchets non recyclables,... Tout ça pour obtenir des légumes insipides. "Mais c'est de la m****!" dirait feu Jean-Pierre Coffe Paradoxe de notre société qui veut manger plus sain, moins énergivore,... et qui continue de faire exactement l'inverse et de trouver ça cool... En attendant, ce midi, j'ai mangé des feuilles de moutarde japonaise et de chou kale, fraîches du jardin, un goût fin et légèrement sucré, le tout qui a poussé naturellement grâce l'énergie thermo-nucléaire solaire et dans un sol vivant!

[izentrop]

Bonjour,

Au niveau du cycle de vie (au sens du coût énergétique), ces salades coûtent une fortune: éclairage, chauffage, robots, ordinateurs, solutions nutritives, substrat, pompe, production des déchets non recyclables,... Tout ça pour obtenir des légumes insipides. "Mais c'est de la m****!"

Tu as goutté, tu connais les chiffres ?

[Boris70]

Bonjour,

Au niveau du cycle de vie (au sens du coût énergétique), ces salades coûtent une fortune: éclairage, chauffage, robots, ordinateurs, solutions nutritives, substrat, pompe, production des déchets non recyclables,... Tout ça pour obtenir des légumes insipides. "Mais c'est de la m****!"

Tu as goutté, tu connais les chiffres ?

Non, les deux! Et toi? Mais ça n'empêche pas de réfléchir et d'avoir un avis. Je connais quelqu'un qui a ce genre d'installation pour la culture de tomate hors-sol (en moins high-tech, mais déjà perfectionné). A ma question financière, il m'a répondu "On ne compte pas pour atteindre des records" Donc ses tomates, doivent lui revenir plus cher que celle du commerce avec un goût tout aussi insipide. Tout le monde connaît la saveur des tomates du commerce, qu'elles viennent de Hollande ou même d'Espagne vu qu'elles sont sous perfusion dans un sol mort et cueillies avant maturité. De même une salade iceberg du commerce goûtent la flotte et non la salade! Dans le cas contraire, quel intérêt de jardiner dans un sol vivant!

[GuyGadeboisLeRetour]

Tu as goutté, tu connais les chiffres ?

Non question de scientiste intégriste (à la goutte au nez), teintée d'hypocrisie crasse.
Réponse ad-hoc sous forme questionnaire: Et toi ? Tu y as goûté, tu connais les chiffres ?

[izentrop]

Tout le monde connaît la saveur des tomates du commerce, qu'elles viennent de Hollande ou même d'Espagne vu qu'elles sont sous perfusion dans un sol mort et cueillies avant maturité. De même une salade iceberg du commerce goûtent la flotte et non la salade!

Parce qu'elles correspondent à un marché à l'export, au prix tirés au plus bas, capable de résister à 2000 km de transport routier, à l'aspect le plus lisse et le plus calibré sur l'étal.
Là, il est question de marché de proximité, avec économie d'intrants, 95 % d'eau en moins. Il est aussi question de résistance au changement climatique et d'empreinte carbone la plus réduite possible. Si la qualité est recherchée, il n'y a pas de raison qu'elle ne soit pas au rendez-vous.

Je connais quelqu'un qui a ce genre d'installation pour la culture de tomate hors-sol

J'ose espérer que les moyens employés soient un peu plus évolués, vu que c'est encore au stade de la recherche.