Did67 a écrit :Je laisse trainer : les planches sur lesquelles je circule (en l'absence d'allées latérales), des tuiles (que j'utilise pour pas que mon chat se prenne dans les pièges Puttange contre les rats-taupiers), et surtout, les "adventices" (mouron, etc...) que j'arrache et aligne soigneusement entre les rangs... Il y a aussi des terrines sans usage... Le matin, pas la peine de chercher longtemps !
Ce n'est pas non plus la mienne ! Il y a une exception : la première année, quand tu couvres une prairie, sous le foin, avec le "gazon" privé de lumière et qui commence à crever, c'est le festin. Il faut donc prévenir les gens, qu'il y a une année diabolique. J'ai encore expérimenté cela cette année, en deux ou trois zones pas couvertes l'année passé. Le taux de survie des choux s'est... effondré. Des "grosses vaches" partout !
Autre stupéfaction : j'ai enlevé les châssis de mes coffres (je vais parler correctement, sinon Adrien va me tirer les oreilles - à juste titre !), que faute de force pour les porter tout seul, j'ai posé dans l'allée centrale, enherbée... Un peu de beau temps, je décrète que le risque de gel étant écraté, on allait les ranger : sous 1 châssis d'environ 1 m X 1,80 m, 25 à 30 limaces... Dans l'allée où j'avais mes cultures juste à côté !
C'est une des mythologies les plus graves, chez les "mauvais jardiniers", que de croire que les limaces sont attirées par les plants (à la nuance près de ce que j'ai écrit plus haut - phase de "souffrance" de ces plants mal installés). C'est parce que leur terre est nue que les limaces n'ont d'autres choix !
J’avais récupéré des cailleboutis dont je ne savais que faire et je les avais disposé dans l’allée centrale du potager.
Puis j’ai changé d’avis ce printemps, je préfèrerais que cela s’enherbe... je m’attendais à une foison de limaces dessous... pas une seule ou quasiment.
Autre stupéfaction : j'ai enlevé les châssis de mes coffres (je vais parler correctement, sinon Adrien va me tirer les oreilles - à juste titre !)
oh non tout de même pas.
Le vocabulaire du jardin est (était) tellement riche et merveilleux c’est bien de tenter de le conserver.