VetusLignum a écrit :
v) le mildiou ne survit pas dans le sol, car il ne peut survivre sans un tissu vivant ; par contre, il peut survivre dans des pommes de terre non récoltées
Reste à vérifier si le terme "mildiou" sous-entend "l'appareil végétatif du mildiou" (et là, je n'ai aucun doute - c'est pour ça que j'enterre les restes de tomates sur place) ou "tout le mildiou, y compris les sporangiophores qui vont former les oospores" (et dans ce cas, il me semble avoir lu le contraire). La "cohérence du vivant" m'inciterait à penser que c'est une forme de résistance - en général - "conçu pour"...
Il faut que je fasse une ou deux recherches.
Se baser sur un seul document est toujours dangereux ! Je ne doute pas une seconde de l'efficacité du cuivre, en préventif, alors que là, l'essai (avec, je le redis, un protocole particulier - des morceaux de folioles sur milieu de culture) montre le contraire ! Donc "pincettes" ! Pas tout prendre "à la lettre"...
L'INRAe, sur ePhytia, mentionne les deux choses :
a) les oospores qui se maintiendraient dans le sol, sur les résidus
b) les tubercules de pdt malades
http://ephytia.inra.fr/fr/C/5170/Tomate ... demiologieDans mon système, avec une bonne couche de foin sur les résidus, pour aussi absorber l'humidité des basses couches de l’atmosphère la nuit par temps à très grande amplitude température [il fait très chaud le jour, le foin dessèche ; il fait très frais par rayonnement la nuit, cela condense à 20 cm de haut, sauf si le foin, très sec, absorbe une partie de l'humidité, qu'il va relarguer le jour], je pense en effet que le premier facteur d'infestation locale, dans mon potager, ce sont les pdt que j'oublie et qui repoussent ...