Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
APPEL A PROJET
Je souhaiterais qu'on réfléchisse ensemble au développement d'un "réseau de phénoculteurs".
Je constate que, de plus en plus, mes vidéos sur Youtube et le cas échéant la lecture de ce fil, se traduisent pas des "passages" à l'acte - comme le témoigne Valoul ; d'autres personnes, qui dans des échanges via mails, me confirment aussi cela...
J'essaye de "regrouper" ce beau monde (ce sont forcément des belles personnes, ne me racontez pas d'histoires !) ici... Je pense qu'il convient maintenant de se structurer...
Un réseau aurait, de mon point de vue, plusieurs avantages :
a) valider : la façon de faire, donc la "phénoculture", est née de ma situation ; mais aujourd'hui, elle "dissémine" dans des tas de situations, parfois bien différentes de la mienne ; pour l’instant, mon potager est ma base unique de réflexion [non, pas tout à fait : les questions qui me sont posées, avec des observations, me font aussi avancer].
b) échanger ; il y a eu ici des apports significatifs de la part des uns et des autres... Je pense qu'on peut "booster" ces échanges... NOus regardons des vidéos, nous lisons... On peut imaginer de mutualiser des "fiches de lecture"...
c) consolider : ahmed l'a évoqué, je commence à friser la saturation [c'est sa remarque qui m'a fait cogiter !] ; je ne veux pas que cette "passion" devienne une galère ; de plus en plus souvent, la réponse à une question posée est connue de plein de personnes ...
A court terme, j'aimerais dégager du temps pour : 1) des recherches - développer des "perfectionnements" ; j'ai hélas pour moi et mon épouse, encore plein d'idées ; cela passe aussi par des rencontres, voyager... ; 2) je développe mon activité "conférence", qui me permet de toucher des groupes de personnes, donc de disséminer plus vite... et faudrait que j'avance sur le livre, que de temps en temps, enfin l'une ou l'autre fois, on me réclame !
A plus long terme, même si j'espère avoir une espérance de vie de 20 ans encore, on ne peut exclure un "accident" vu ma situation de cardiaque...
d) on peut imaginer des "rencontres", par exemple en marge de tel évènement (BiObernai me vient à l'esprit)
e) disséminer : je ne sais comment on pourrait organiser une partie de ce site pour gérer un réseau ; envoyer une "lettre" aux intéressés...
f) financer ????
Le financement participatif est à la mode.
Je ne souhaite pas être financé pour mon Potager en tant que tel.
En revanche, sans me plaindre, depuis ma retraite, je gère un budget serré. Et donc je n'acquière pas certaines choses qui pourraient faciliter ma démarche :
- une station météo connectée, pour avoir des données météo précises
- une canne à planter
- des séries d'analyse du sol, pour objectiver certaines observations
Je crois que le public est là ; et il est fidèle :
- la vidéo sur les champignons, publiée ce matin, compte 250 vues
- celle sur les gelées, publiée hier, 750
- celle sur les légumes-racines, qui a deux jours, 1 500
- sur Youtube, je pense qu'assez vite (fin de semaine), je franchirai le cap des 2 000 abonnés... Une chaine TV vidéo relaie maintenant les miennes [http://www.organismefrance.fr/TV/2016-AFP-alternative.html]
Je lance le débat...
- bonne idée ou pas ?
- techniquement possible ou pas (par exemple d'avoir un "mailing liste spécifique" ?)
- qui est intéressé (donc s'inscrirait sur une liste spécifique)
- qui pourrait jouer un rôle (à définir)
Peut-être créer un autre fil pour ?
Je souhaiterais qu'on réfléchisse ensemble au développement d'un "réseau de phénoculteurs".
Je constate que, de plus en plus, mes vidéos sur Youtube et le cas échéant la lecture de ce fil, se traduisent pas des "passages" à l'acte - comme le témoigne Valoul ; d'autres personnes, qui dans des échanges via mails, me confirment aussi cela...
J'essaye de "regrouper" ce beau monde (ce sont forcément des belles personnes, ne me racontez pas d'histoires !) ici... Je pense qu'il convient maintenant de se structurer...
Un réseau aurait, de mon point de vue, plusieurs avantages :
a) valider : la façon de faire, donc la "phénoculture", est née de ma situation ; mais aujourd'hui, elle "dissémine" dans des tas de situations, parfois bien différentes de la mienne ; pour l’instant, mon potager est ma base unique de réflexion [non, pas tout à fait : les questions qui me sont posées, avec des observations, me font aussi avancer].
b) échanger ; il y a eu ici des apports significatifs de la part des uns et des autres... Je pense qu'on peut "booster" ces échanges... NOus regardons des vidéos, nous lisons... On peut imaginer de mutualiser des "fiches de lecture"...
c) consolider : ahmed l'a évoqué, je commence à friser la saturation [c'est sa remarque qui m'a fait cogiter !] ; je ne veux pas que cette "passion" devienne une galère ; de plus en plus souvent, la réponse à une question posée est connue de plein de personnes ...
A court terme, j'aimerais dégager du temps pour : 1) des recherches - développer des "perfectionnements" ; j'ai hélas pour moi et mon épouse, encore plein d'idées ; cela passe aussi par des rencontres, voyager... ; 2) je développe mon activité "conférence", qui me permet de toucher des groupes de personnes, donc de disséminer plus vite... et faudrait que j'avance sur le livre, que de temps en temps, enfin l'une ou l'autre fois, on me réclame !
A plus long terme, même si j'espère avoir une espérance de vie de 20 ans encore, on ne peut exclure un "accident" vu ma situation de cardiaque...
d) on peut imaginer des "rencontres", par exemple en marge de tel évènement (BiObernai me vient à l'esprit)
e) disséminer : je ne sais comment on pourrait organiser une partie de ce site pour gérer un réseau ; envoyer une "lettre" aux intéressés...
f) financer ????
Le financement participatif est à la mode.
Je ne souhaite pas être financé pour mon Potager en tant que tel.
En revanche, sans me plaindre, depuis ma retraite, je gère un budget serré. Et donc je n'acquière pas certaines choses qui pourraient faciliter ma démarche :
- une station météo connectée, pour avoir des données météo précises
- une canne à planter
- des séries d'analyse du sol, pour objectiver certaines observations
Je crois que le public est là ; et il est fidèle :
- la vidéo sur les champignons, publiée ce matin, compte 250 vues
- celle sur les gelées, publiée hier, 750
- celle sur les légumes-racines, qui a deux jours, 1 500
- sur Youtube, je pense qu'assez vite (fin de semaine), je franchirai le cap des 2 000 abonnés... Une chaine TV vidéo relaie maintenant les miennes [http://www.organismefrance.fr/TV/2016-AFP-alternative.html]
Je lance le débat...
- bonne idée ou pas ?
- techniquement possible ou pas (par exemple d'avoir un "mailing liste spécifique" ?)
- qui est intéressé (donc s'inscrirait sur une liste spécifique)
- qui pourrait jouer un rôle (à définir)
Peut-être créer un autre fil pour ?
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- Mixieer56
- Bon éconologue!
- Messages : 402
- Inscription : 10/10/16, 09:00
- Localisation : Ambon 56
- x 94
- Contact :
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
APPEL A PROJET . Excellente idée de Didier:
- je suis d'accord pour figurer sur une liste,
- je suis prêt à y participer et apporter ma modeste expérience de débutant,
- je suis d'accord pour étudier un financement participatif .
Cet échange d'expérience est profitable à tous et peut élargir la participation au-delà de nos frontières et peut-être à terme à bénéficier d'une reconnaissance des milieux professionnels et autres responsables nationaux.
De plus, des relations horizontales locales peuvent se développer ....nous avons besoin de nous sentir moins seuls - moi en tous cas !
- je suis d'accord pour figurer sur une liste,
- je suis prêt à y participer et apporter ma modeste expérience de débutant,
- je suis d'accord pour étudier un financement participatif .
Cet échange d'expérience est profitable à tous et peut élargir la participation au-delà de nos frontières et peut-être à terme à bénéficier d'une reconnaissance des milieux professionnels et autres responsables nationaux.
De plus, des relations horizontales locales peuvent se développer ....nous avons besoin de nous sentir moins seuls - moi en tous cas !
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" Mets le désordre dans ton jardin et de l'ordre dans tes idées !" Didier Helmstetter
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Mixieer56 a écrit :.... peut-être à terme à bénéficier d'une reconnaissance des milieux professionnels et autres responsables nationaux.
De plus, des relations horizontales locales peuvent se développer ....nous avons besoin de nous sentir moins seuls - moi en tous cas !
Merci pour ta réaction (positive, en plus !).
1) Je ne pense pas qu'il faille chercher une "reconnaissance" !
a) les professionnels vivent dans d'autres contraintes ; c'est un autre système...
b) mais je travaille avec un ou deux jeunes qui vont se lancer ; cela fait partie de mes "recherches" que d'adapter le système aux contraintes spécifiques ; des choses sur lesquelles je pourrais avancer si d'autres me relaient ; des choses pour lesquelles je voudrais faire un "coaching" de qualité, donc être présent, me rendre sur place (l'un des jeunes s'installe dans la région de... Montauban !)
c) la majorité va continuer par nous [me] prendre pour des [un] rigollo ; je vous invite à jeter un coup d'oeil sur ce que je me prends de la part d'un professionnel ["Pellia"] sur futura forum !!! C'est inimaginable. Sûr de lui, il me traite de moins que rien, d'écolo, etc.... Le con, c'est lui, mais il ne le sait pas !
d) c'est risquer de refaire l'erreur de genèse du "bio", quand on réfléchit en "réaction à ..." ; je préfère, en l’occurrence "marcher seul" et "inventer librement"...
2) En revanche, oui, cette approche se veut "festive", "jouissive" - voir le symbole que j'ai choisi : l'image dans le transat avec un bouquin et une bière... Donc oui, des réseaux organisés géographiquement, si cela prend du "volume", ce serait bien...
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Pour ma part, sur base de :
- mes observations (compostage à froid, à chaud méthode Berkeley, de broussailles, de foin, tassé, aéré, rapport C/N, enfouissage, non enfouissage,...)
- mes essais (buttes, planches, parcelles, regénération de sols morts, BRF, BREFT, bois broyé, fumiers cheval, vache, poule, pigeon,...)
- la situation de départ de mes sols (prairie, sapinière, sol vivant, sol totalement mort,...)
- mon travail de ceux-ci au cours des années (pelle mécanique, motobêche, bêche manuelle, grelinage profond, grelinage d'aération, fourche légère, rien,...)
- mes lectures (potager classique, permaculture, associations de plantes, mélanges aléatoires, méthodes/systèmes divers, autres,...)
j'ai trouvé que les réflexions/essais de Did67 rencontraient mes observations et que ses grandes connaissances apportaient beaucoup de réponses logiques, évidentes et sensées à beaucoup de mes questionnements qui restaient ouverts par incompréhension, manque de données ou, tout simplement, par manque de réflexion suffisante. Ces réponses, trouvées par-ci, par-là dans ce fil m'ont beaucoup fait évoluer... et montré combien j'étais encore bien ignare.
J'ai donc également décidé de franchir le pas vers la "phénoculture" qui entérine mes essais et observations faites avec du foin "trempé", mais que je n'osais mettre en application à cause du risque de repousse de graines non désirées. En fait, je n'utilisais pas le foin en tant que couverture, mais en tant que technique de compostage "tassé" puis étendu sur le sol (donne une terre incroyablement tendre avec forte présence de vers anéciques.
Je vais donc utiliser activement le système "foin sec et en épaisse couverture" en parallèle avec ce que j'ai déjà mis en chantier par le passé. Cela me permettra de faire une comparaison investissement/travail/rentabilité, tout en poursuivant mes propres essais.
Il va sans dire que je ferai un retour d'expérience dès qu'un constat s'avèrera possible et cohérent.
- mes observations (compostage à froid, à chaud méthode Berkeley, de broussailles, de foin, tassé, aéré, rapport C/N, enfouissage, non enfouissage,...)
- mes essais (buttes, planches, parcelles, regénération de sols morts, BRF, BREFT, bois broyé, fumiers cheval, vache, poule, pigeon,...)
- la situation de départ de mes sols (prairie, sapinière, sol vivant, sol totalement mort,...)
- mon travail de ceux-ci au cours des années (pelle mécanique, motobêche, bêche manuelle, grelinage profond, grelinage d'aération, fourche légère, rien,...)
- mes lectures (potager classique, permaculture, associations de plantes, mélanges aléatoires, méthodes/systèmes divers, autres,...)
j'ai trouvé que les réflexions/essais de Did67 rencontraient mes observations et que ses grandes connaissances apportaient beaucoup de réponses logiques, évidentes et sensées à beaucoup de mes questionnements qui restaient ouverts par incompréhension, manque de données ou, tout simplement, par manque de réflexion suffisante. Ces réponses, trouvées par-ci, par-là dans ce fil m'ont beaucoup fait évoluer... et montré combien j'étais encore bien ignare.
J'ai donc également décidé de franchir le pas vers la "phénoculture" qui entérine mes essais et observations faites avec du foin "trempé", mais que je n'osais mettre en application à cause du risque de repousse de graines non désirées. En fait, je n'utilisais pas le foin en tant que couverture, mais en tant que technique de compostage "tassé" puis étendu sur le sol (donne une terre incroyablement tendre avec forte présence de vers anéciques.
Je vais donc utiliser activement le système "foin sec et en épaisse couverture" en parallèle avec ce que j'ai déjà mis en chantier par le passé. Cela me permettra de faire une comparaison investissement/travail/rentabilité, tout en poursuivant mes propres essais.
Il va sans dire que je ferai un retour d'expérience dès qu'un constat s'avèrera possible et cohérent.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
papyrazzi a écrit :
j'ai trouvé que les réflexions/essais de Did67 rencontraient mes observations et que ses grandes connaissances apportaient beaucoup de réponses logiques, évidentes et sensées à beaucoup de mes questionnements qui restaient ouverts par incompréhension, manque de données ou, tout simplement, par manque de réflexion suffisante. Ces réponses, trouvées par-ci, par-là dans ce fil m'ont beaucoup fait évoluer... et montré combien j'étais encore bien ignare.
J'ai donc également décidé de franchir le pas vers la "phénoculture" qui entérine mes essais et observations faites avec du foin "trempé", mais que je n'osais mettre en application à cause du risque de repousse de graines non désirées. En fait, je n'utilisais pas le foin en tant que couverture, mais en tant que technique de compostage "tassé" puis étendu sur le sol (donne une terre incroyablement tendre avec forte présence de vers anéciques.
.
Je suis très touché : c'est exactement ce que je souhaitais faire - ou "apporter" en plus. Compte-tenu de tes acquis, te savoir évoluer vers la "phénoculture" est... phénoménal !
Dans le monde, lorsqu'il y a "mouvement", cela peut être de l'action ou de l'agitation...
L'action a un sens, une direction. On avance.
L'agitation, c'est le mouvement brownien... Cela peut aller dans tous les sens, parfois le bon, et parfois c'est juste tourner en rond. Le ventilateur brasse de l'air, mais ne l'avance pas...
J'ai souvent trouvé de l'agitation sur internet.
Mon angle d'attaque, à rebrousse-poil d'un certain "ésotérisme", a donc été d'apporter du sens, de la réflexion, des connaissances. Et de m'astreindre à les illustrer. ("Connaissances", est, hélas, devenu un gros mot, comme l'est devenu "science" ou "scientifique" ; c'est pour cela que je reste discret sur le fait que je suis vraiment agronome - de peur de faire fuir !).
3 x
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
papyrazzi a écrit :
... observations faites avec du foin "trempé", mais que je n'osais mettre en application à cause du risque de repousse de graines non désirées
Une de plus dans la longue liste des idées reçues, bien ancrées, répétées à l'infini...
Comme : "il faut une terre meuble pour que cela pousse..."
Comme : "il faut nourrir les plantes (N,P, K)..."
Comme : "le fumier est le meilleur apport de matière organique..."
Etc...
Ce qui m'a sauvé, cela a été de réfléchir de façon obsédante à la question : comment la biomasse ayant donné le charbon s'est-elle formée alors que l'homme mettra encore 300 millions d'années à apparaître ? Donc bien entendu sans travail du sol, sans engrais, sans fumier, sans... Tout seul quoi !
1 x
-
- Econologue expert
- Messages : 12771
- Inscription : 25/02/08, 18:54
- Localisation : Bourgogne
- x 3465
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Ce qui m'a sauvé, pour ma part, c'est l'observation de la forêt qui apportait un démenti cinglant aux thèses agronomiques en vigueur: non seulement le système forestier fonctionne tout seul (si les forestiers disparaissaient la forêt changerait de visage, mais non de fonctionnement), mais il est capable d'exporter de la matière sans restitution (c'est le plus visible) et il est à l'origine de la création des sols agricoles (de façon plus discrète et souvent oubliée).
0 x
"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Oui. Moi aussi, en fait. La preuve, ma vidéo sur la futaie jardinée...
Je me rends compte que c'est un ensemble de choses, de réflexions, d'observations, qui ont convergé...
Je me rends compte que c'est un ensemble de choses, de réflexions, d'observations, qui ont convergé...
1 x
- Julienmos
- Grand Econologue
- Messages : 1265
- Inscription : 02/07/16, 22:18
- Localisation : l'eau reine
- x 260
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
petite question , les coquilles de noix, noisettes... c'est un peu comme du BRF ? donc dégradé par des champignons (c'est aussi de la lignine ?) ça se décompose vite ou pas ? ![Smile :)](https://www.econologie.com/forums/images/smilies/icon_smile.gif)
![Smile :)](https://www.econologie.com/forums/images/smilies/icon_smile.gif)
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Considère que c'est des "cailloux" naturels !
Beaucoup beaucoup plus dur que le bois, ou même que les écorces... Je ne sais ce que c'est comme "substance" ! Sans doute seuls quelques champignons de marque Hilti s'y attaquent !
Tu peux mettre, cela finira par se décomposer... "un jour" !
Mais on est très très loin du BRF... Loin du "bois mort" (duramen) même, qui reste, à coté, un matériau tendre et poreux...
Le contenu, la noix, est précieux : c'est le fruit qui va conduire à la perpétuation de l'espèce, avec des réserves énergétiques très puissantes (l'huile, le matériau le plus dense en énergie). Avis aux cardiaques : il est très riche en Oméga 3 ! Deux pu trois noix, et vous avez ré-équilibré votre ration, naturellement, aujourd'hui que les vaches ne mangent plus de trèfle, très pauvre, trop pauvre... Donc ce fruit est très attractif pour toutes sortes de parasites, qui le gloutonneraient bien... C'est dire que pour survivre, le noyer a dû imaginer une sorte de "coffre-fort" !
Beaucoup beaucoup plus dur que le bois, ou même que les écorces... Je ne sais ce que c'est comme "substance" ! Sans doute seuls quelques champignons de marque Hilti s'y attaquent !
Tu peux mettre, cela finira par se décomposer... "un jour" !
Mais on est très très loin du BRF... Loin du "bois mort" (duramen) même, qui reste, à coté, un matériau tendre et poreux...
Le contenu, la noix, est précieux : c'est le fruit qui va conduire à la perpétuation de l'espèce, avec des réserves énergétiques très puissantes (l'huile, le matériau le plus dense en énergie). Avis aux cardiaques : il est très riche en Oméga 3 ! Deux pu trois noix, et vous avez ré-équilibré votre ration, naturellement, aujourd'hui que les vaches ne mangent plus de trèfle, très pauvre, trop pauvre... Donc ce fruit est très attractif pour toutes sortes de parasites, qui le gloutonneraient bien... C'est dire que pour survivre, le noyer a dû imaginer une sorte de "coffre-fort" !
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