izentrop a écrit :
KS et d'autres disent maintenant que la faim d'azote intervient quand la MO et surtout le BRF sont incorporés dans le sol. Les fixateurs libres d'azotes font le même travail, mais prennent l'azote dans le sol au lieu de l'air et provoquent cette faim. Lui dit : "jamais enterré, toujours en surface".
D'un autre côté, le travail doit être plus rapide enterré, car l'humidité est mieux répartie. Ce doit être pour ça que c'est préconisé en BRF la première année pour une reconstitution rapide du taux d'humus dans un sol "mort"(dixit Bourguignon).
Les médecins sont rarement d'accord ! Les agronomes, c'est bien pire...
A un moment donné, le "patient" s'en remet à l'un ou à l'autre...
J'ai exprimé certaines réserves face à certains raisonnements parfois un peu surprenants de KS. Ou face aux "théories" de Bourguignon sur le compost.
J'admets qu'ils ont d'autres systèmes en référence : grandes cultures, viticulture... Donc d'autres contraintes.
Eux sont des papes. Moi, je suis "nobody"...
Argumenter à l'infini, de citation en citation, me semble sans intérêt. Enfin, est sans intérêt pour moi.
Mais oui, incorporé superficiellement à cet avantage.
A noter que je maintiens aussi le BRF humide, dans le jardin, quand je mets du foin ou de la tonte par-dessus. Sans travail du sol.
A noter aussi, que pour ne pas avoir à biner / piocher, je ne veux pas que cela "disparaisse" trop vite, car cette couverture est aussi ma "bâche".