Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Oh la vache !!!!
Je vois que la grande différence, c'est que tu ne ménages pas tes efforts... Et que c'est carré et nickel ! Là où je n'en fous pas guère une rame, et que c'est bordélique (aligné tout de même !)...
Note qu'avant mon infarctus, j'étais un peu pareil... Enfin, un peu moins quand même. Je n'ai pas tamisé. Mais j'ai bêché, retourné de la prairie, mis en tas au bout du jardin, ramené le terreau, déplacé de la terre...
Sur 200 à 300 m².
Et puis donc, patatras : plus de force.
Le jardin est retourné à la prairie, pendant une demi-douzaine d'années.
Avant une renaissance, depuis 3 ans, sous forme donc de ce que j'appelle le "jardin du paresseux". Qui est aussi le "jardin du faible" ! Qui pourrait devenir le "jardin de celui qui n'a jamais le temps"...
Et aujourd'hui, environ 400 m². Et encore, cela déborde ! Et on distribue pas mal d'excédents... (mon "unité", c'est la ligne ; donc quand j'y suis, je sème, une ligne, deux lignes, trois lignes - de 10 m ; donc évidemment : avant, il n'y a pas ; après il n'y a plus ; pendant, y'a de trop !)...
Des "expés" en tout sens, mais ça, c'est à la fois mon coté agronome et homme curieux... Je vous saoule sans doute avec ça. Prenez-le comme une passion (donc quelque chose de "déraisonnable"). C'est ce que c'est !
Et tout n'est pas réussi !
Je vois que la grande différence, c'est que tu ne ménages pas tes efforts... Et que c'est carré et nickel ! Là où je n'en fous pas guère une rame, et que c'est bordélique (aligné tout de même !)...
Note qu'avant mon infarctus, j'étais un peu pareil... Enfin, un peu moins quand même. Je n'ai pas tamisé. Mais j'ai bêché, retourné de la prairie, mis en tas au bout du jardin, ramené le terreau, déplacé de la terre...
Sur 200 à 300 m².
Et puis donc, patatras : plus de force.
Le jardin est retourné à la prairie, pendant une demi-douzaine d'années.
Avant une renaissance, depuis 3 ans, sous forme donc de ce que j'appelle le "jardin du paresseux". Qui est aussi le "jardin du faible" ! Qui pourrait devenir le "jardin de celui qui n'a jamais le temps"...
Et aujourd'hui, environ 400 m². Et encore, cela déborde ! Et on distribue pas mal d'excédents... (mon "unité", c'est la ligne ; donc quand j'y suis, je sème, une ligne, deux lignes, trois lignes - de 10 m ; donc évidemment : avant, il n'y a pas ; après il n'y a plus ; pendant, y'a de trop !)...
Des "expés" en tout sens, mais ça, c'est à la fois mon coté agronome et homme curieux... Je vous saoule sans doute avec ça. Prenez-le comme une passion (donc quelque chose de "déraisonnable"). C'est ce que c'est !
Et tout n'est pas réussi !
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Maximus Leo a écrit :
Mon idée était de partir d'un terrain complètement inculte et d'obtenir quelque chose uniquement avec des déchets et de l'huile de coude. Si la saison est bonne, je récolte 250 kg de tomates avec 60 pieds.
Pour la science, si tu as encore un carré inculte, je serais ravi que tu ais la curiosité de voir comment tu pourrais réhabiliter un carré ou une bande sans travail, avec juste une maxi-dose de biomasse en permanence en surface...
Je suis installé dans des conditions bien moins extrêmes (prairie sèche), mais en 2 à 3 ans, selon l'endroit où on se situe dans le jardin, tu vois le résultat que j'ai obtenu.
Maintenant, tu veux peut-être économiser un abonnement à une salle de gym, et je ne voudrais nuire à ta santé en t'encourageant dans la fainéantise...???
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Did67 a écrit :... Note qu'avant mon infarctus, j'étais un peu pareil...
Merci !
Avec 50% de cailloux, le terrain était complètement inculte. Le tamisage a déjà doublé le pourcentage d'humus dans le sol restant sans rien ajouter.
Les cailloux ont servi pour les fondations des murets et des terrasses.
J'ai une seule photo du tamisage (scan de diapo 24x36). Ici c'est l'agrandissement du potager en 2004 où j'ai doublé sa surface :
La plantation de la haie de cupressocyparis leylandii sur le pourtour du potager a eu des conséquences catastrophiques : il a été envahi par les racines. J'ai commencé par poser du Racibloc sur une profondeur 0,70m. Hauteur portée à 1,20m ensuite. Finalement j'ai éliminé en partie la haie que j'ai remplacée par des panneaux.
Le cupressocyparis leylandii ou Cyprès de Leyland est un très bel arbre à croissance raide, très résistant aux maladies. Mais ses racines sont envahissantes et il est fortement allergisant. Il faut -au moins- 10 mètres entre une haie et un potager. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cypr%C3%A8s_de_Leyland
Did67 a écrit :Pour la science, si tu as encore un carré inculte, je serais ravi que tu ais la curiosité de voir comment tu pourrais réhabiliter un carré ou une bande sans travail, avec juste une maxi-dose de biomasse en permanence en surface...
Bah, non, je n'ai plus vraiment de carré inculte depuis longtemps.
Il restait bien le fond des bacs à compost mais le compost étant envahi par les racines j'ai bétonné le fond ! L'arbre le plus proche est pourtant à 6 mètres !
Par contre, j'aimerais bien vérifier "scientifiquement" le vieil adage "Un binage vaut deux arrosages".
Mon problème actuel c'est l'invasion de l'Oxalis corniculata rouge. Il se développe même sous le bâchage plastique et ressort par les trous ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Oxalis_corniculata
Bon courage !
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Quelques commentaires, pour continuer d'échanger :
a) je ne pense pas qu'on puisse dire que le fait d'enlever les cailloux augmente le "taux d'humus". Celui-ci s'analyse sur la fraction fine du sol.
En revanche, en effet, tu as "concentré" ton sol cultivable (ou ton sol utile), "dilué" par des cailloux auparavant.
L'humus est un composé organique stable du sol, synthétisé par des microorganismes. Il se forme très lentement, à partir de certaines matières organiques (essentiellement cellulose, constituant des végétaux "vieux" - façon foin / paille - et la lignine, constituant du bois). Et disparait très lentement.
b) je peux témoigner avoir vu, chez un agriculteur allemand ayant cessé tout travail du sol (plus de labour, plus de "rotavator" ou autre "fraise", plus de cultivateur, plus de herse) dans un sol riche en galets et gravillons dans un ancien bras du Rhin, le résultat suivant :
- une tranchée creusée à la minipelle en travers d'une partie de son champs et du champs de son voisin, ayant lui continué le travail classique du sol (labour, cultivateurs, herses...)
- d'un coté, une vingtaine de cm de terre fine, sans galets / gravillons
- de l'autre, le profil habituel avec de la terre végétale ménagée aux galets...
Conclusion : en étant patient (cela fait 18 ans qu'il a cessé tout travail du sol), et en maintenant le sol couvert en permanence, les vers de terre "remontent" environ 1 cm de sol fin par an, sous notre climat. Si on ne les dérange pas. Si on les nourrit. Et si on n'annule pas en permanence leur travail par notre travail...
J'ai oublié de le préciser, mais cet agriculteur est bien sûr en "bio" et ne traite ses cultures qu'avec des préparations biodynamiques.
c) Pour certaines plantes, une terre fine est nécessaire (par exemple carottes).
Mais la capacité des plantes à "explorer" le sol est sous-estimé. Tout les traités de jardinage font tout un tintamarre autour du travail du sol. J'en arrive à la conviction que c'est pour beaucoup des croyances ! Et de la morale : "la nourriture, c'est le fruit du labeur!".
La dernière année où j'ai fait des pommes de terre (j'ai une source de pommes de terre"bios" à profusion maintenant), je les ai simplement posées sur le sol, recouvert de BRF (bois haché)... et récolté 75 % de ce que j'ai récolté dans la partie où j'avais fait tout le travail comme il faut et qui s'enherbait comme d'habitude... Et je me suis dit : tout ça pour ça !"
Cela a accéléré mon évolution vers le "non travail" et le "jardin du fainéant" !
d) l'oxalis, je ne connais pas de solution ; dans tout système, la "façon de faire" va favoriser les adventices qui s'adaptent le mieux à la pratique qu'on met en place... Tant que tu n'es pas à la forêt "climacique" (la forêt naturel en équilibre avec ton sol / ton climat), tu maintiens un déséquilibre, dont certaines espèces profitent... Chez moi, c'est plutôt des plantes comme les plantains qui semblent se développer. Ils "percent" sans trop de difficulté mon couvert de foin. Je pense donc que je vais les "sélectionner", involontairement. J'ai aussi une espèce de renoncule bulbeuse, que je dois identifier. Même chose.
[NB : le plantain, s'ils se développent, j'en ferai du sirop : c'est très bon pour la toux - un des composants des bonbons suisses Ricola ; comme ça, au lieu de m'énerver, il me sera utile !]
e) Ne prends pas l'adage à la lettre !
Pas plus qu'il ne gèle toujours durant les saints de glace...
J'ai travaillé en Afrique, en zone sahélienne. Et il va de soi que tu peux biner un sol sec, cela ne va pas l'humidifier !
Cela s'entend "sous nos climats", avec des dols dont la réserve est pleine à la sortie de l'hiver (ce qui n'est plus toujours le cas !!!)
Dans un sol compact, l'humidité "remonte" comme le café dans un sucre. Et l'eau s'évapore. Par ailleurs, les adventices "pompent" une partie de l'eau...
Dans un sol meuble, comme un sol biné, c'est moins le cas. Il n'y a pas d'adventice.
Je pense que la couverture du sol est encore plus efficace pour sauver l'eau que contient le sol. Et bien moins pénible.
Si tu veux "mesurer", je te propose d'intégrer les 3 situations suivantes dans ton protocole :
a) un carré non biné
b) un carré régulièrement biné
c) un carré avec un sol couvert
[même sol / exposition / même plante semée au même moment : le flétrissement sera un bon indicateur de l’efficacité de la méthode]
a) je ne pense pas qu'on puisse dire que le fait d'enlever les cailloux augmente le "taux d'humus". Celui-ci s'analyse sur la fraction fine du sol.
En revanche, en effet, tu as "concentré" ton sol cultivable (ou ton sol utile), "dilué" par des cailloux auparavant.
L'humus est un composé organique stable du sol, synthétisé par des microorganismes. Il se forme très lentement, à partir de certaines matières organiques (essentiellement cellulose, constituant des végétaux "vieux" - façon foin / paille - et la lignine, constituant du bois). Et disparait très lentement.
b) je peux témoigner avoir vu, chez un agriculteur allemand ayant cessé tout travail du sol (plus de labour, plus de "rotavator" ou autre "fraise", plus de cultivateur, plus de herse) dans un sol riche en galets et gravillons dans un ancien bras du Rhin, le résultat suivant :
- une tranchée creusée à la minipelle en travers d'une partie de son champs et du champs de son voisin, ayant lui continué le travail classique du sol (labour, cultivateurs, herses...)
- d'un coté, une vingtaine de cm de terre fine, sans galets / gravillons
- de l'autre, le profil habituel avec de la terre végétale ménagée aux galets...
Conclusion : en étant patient (cela fait 18 ans qu'il a cessé tout travail du sol), et en maintenant le sol couvert en permanence, les vers de terre "remontent" environ 1 cm de sol fin par an, sous notre climat. Si on ne les dérange pas. Si on les nourrit. Et si on n'annule pas en permanence leur travail par notre travail...
J'ai oublié de le préciser, mais cet agriculteur est bien sûr en "bio" et ne traite ses cultures qu'avec des préparations biodynamiques.
c) Pour certaines plantes, une terre fine est nécessaire (par exemple carottes).
Mais la capacité des plantes à "explorer" le sol est sous-estimé. Tout les traités de jardinage font tout un tintamarre autour du travail du sol. J'en arrive à la conviction que c'est pour beaucoup des croyances ! Et de la morale : "la nourriture, c'est le fruit du labeur!".
La dernière année où j'ai fait des pommes de terre (j'ai une source de pommes de terre"bios" à profusion maintenant), je les ai simplement posées sur le sol, recouvert de BRF (bois haché)... et récolté 75 % de ce que j'ai récolté dans la partie où j'avais fait tout le travail comme il faut et qui s'enherbait comme d'habitude... Et je me suis dit : tout ça pour ça !"
Cela a accéléré mon évolution vers le "non travail" et le "jardin du fainéant" !
d) l'oxalis, je ne connais pas de solution ; dans tout système, la "façon de faire" va favoriser les adventices qui s'adaptent le mieux à la pratique qu'on met en place... Tant que tu n'es pas à la forêt "climacique" (la forêt naturel en équilibre avec ton sol / ton climat), tu maintiens un déséquilibre, dont certaines espèces profitent... Chez moi, c'est plutôt des plantes comme les plantains qui semblent se développer. Ils "percent" sans trop de difficulté mon couvert de foin. Je pense donc que je vais les "sélectionner", involontairement. J'ai aussi une espèce de renoncule bulbeuse, que je dois identifier. Même chose.
[NB : le plantain, s'ils se développent, j'en ferai du sirop : c'est très bon pour la toux - un des composants des bonbons suisses Ricola ; comme ça, au lieu de m'énerver, il me sera utile !]
e) Ne prends pas l'adage à la lettre !
Pas plus qu'il ne gèle toujours durant les saints de glace...
J'ai travaillé en Afrique, en zone sahélienne. Et il va de soi que tu peux biner un sol sec, cela ne va pas l'humidifier !
Cela s'entend "sous nos climats", avec des dols dont la réserve est pleine à la sortie de l'hiver (ce qui n'est plus toujours le cas !!!)
Dans un sol compact, l'humidité "remonte" comme le café dans un sucre. Et l'eau s'évapore. Par ailleurs, les adventices "pompent" une partie de l'eau...
Dans un sol meuble, comme un sol biné, c'est moins le cas. Il n'y a pas d'adventice.
Je pense que la couverture du sol est encore plus efficace pour sauver l'eau que contient le sol. Et bien moins pénible.
Si tu veux "mesurer", je te propose d'intégrer les 3 situations suivantes dans ton protocole :
a) un carré non biné
b) un carré régulièrement biné
c) un carré avec un sol couvert
[même sol / exposition / même plante semée au même moment : le flétrissement sera un bon indicateur de l’efficacité de la méthode]
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"Un binage deux arrosages" verifié dans mon jardin il y a peut sur le carré de pattates(rosabelles) qui venaient de lever...Je les arrosais (2 verres d'eau tous les deux jours) et les mauvaises herbes commençaient a les envahir...Mon père a chopper ma binette rouillée et a commencé a les nettoyer j'en ai pris une autre et en une heure on avait biné le carré de pattates...Les jours d'après sans arrosage la croissance a été fulgurante... Mais c'est vite redevenu la jungle que je vous ai photographié il ya quelques jours
Comme je n'ai toujours pas paillé hier j'ai encore du biner les tomates autour des melons et arracher ces saloperies de liserons et une autre saloperie a croissance rapide et racine profonde leur surnom: crete de dindons... Et puis un peut de chiendent, et du millet.....Et demain ce sera au tour des haricots verts...
Lots de consolation..J'ai commencé a croquer dans mes salades( les 16 sur 24 qui ont survecu sur la premiere planche...Sur la deuxieme déjà 3 pieds de crevés...
Comme je n'ai toujours pas paillé hier j'ai encore du biner les tomates autour des melons et arracher ces saloperies de liserons et une autre saloperie a croissance rapide et racine profonde leur surnom: crete de dindons... Et puis un peut de chiendent, et du millet.....Et demain ce sera au tour des haricots verts...
Lots de consolation..J'ai commencé a croquer dans mes salades( les 16 sur 24 qui ont survecu sur la premiere planche...Sur la deuxieme déjà 3 pieds de crevés...
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Venge avec ta réussite. puni avec ton absence. Tue avec ton silence . Gagne avec ta joie de vivre
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Macro a écrit :"Un binage deux arrosages" verifié dans mon jardin il y a peut sur le carré de pattates(rosabelles) qui venaient de lever.....
Donc, c'est pas la peine…
Je pensais évaluer l'humidité du sol, avec et sans binage, en mesurant la résistance électrique du sol comme ici, avec un ohmmètre et une sonde improvisée :
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Est-ce que tu connais le lien entre résistivité électrique et taux d'humidité du sol ?
Et après, si c'est le cas, cela se corse encore : dans le sol, une partie de l'eau est "facilement utilisable" (par les plantes) car faiblement retenue et une partie de l'eau est fortement retenue et donc pas ou très peu assimilable...
Si tu veux optimiser le rendement, il faut que l'humidité de ton sol reste entre ce qu'on appelle le "point de ressuyage" (l'excès d'eau s'est écoulé librement du sol...) et le "point de flétrissement" (l'eau est retenue trop fortement, les plantes n'arrivent plus à l'extraire suffisamment facilement, mais il en reste...).
La quantité d'eau entre ces deux seuils varie énormément en fonction du sol (sableux, argileux, limoneux), sa richesse en matière organique, son épaisseur...
Donc surtout ne pas chercher une relation "mathématique" dans ce vieil adage, et qui est avant tout une formule à l'emporte-pièce qui résume une règle de bon sens...
Néanmoins, je pense que le binage est une corvée dont on peut se passer ! [c'est pas si dur, mais il faut répéter souvent !]
Plutôt que des résistivités, difficile à interpréter, je regarderais des plantes, dont le flétrissement est un indicateur fiable du fait qu'elles ne trouvent plus assez d'eau, suffisamment facilement...
Et après, si c'est le cas, cela se corse encore : dans le sol, une partie de l'eau est "facilement utilisable" (par les plantes) car faiblement retenue et une partie de l'eau est fortement retenue et donc pas ou très peu assimilable...
Si tu veux optimiser le rendement, il faut que l'humidité de ton sol reste entre ce qu'on appelle le "point de ressuyage" (l'excès d'eau s'est écoulé librement du sol...) et le "point de flétrissement" (l'eau est retenue trop fortement, les plantes n'arrivent plus à l'extraire suffisamment facilement, mais il en reste...).
La quantité d'eau entre ces deux seuils varie énormément en fonction du sol (sableux, argileux, limoneux), sa richesse en matière organique, son épaisseur...
Donc surtout ne pas chercher une relation "mathématique" dans ce vieil adage, et qui est avant tout une formule à l'emporte-pièce qui résume une règle de bon sens...
Néanmoins, je pense que le binage est une corvée dont on peut se passer ! [c'est pas si dur, mais il faut répéter souvent !]
Plutôt que des résistivités, difficile à interpréter, je regarderais des plantes, dont le flétrissement est un indicateur fiable du fait qu'elles ne trouvent plus assez d'eau, suffisamment facilement...
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J'ai oublié : la résistivité est une mesure utile pour évaluer la "salinité" des sols ou des solutions nutritives. C'est pour cette raison qu'elle est suivie dans les supports de culture, les solutions nutritives dans les serres, etc...
Pour l'humidité, on utilise plutôt des "tensiomètres", qui "simulent" la force d’extraction (succion) des racines des plantes...
Voir par exemple : http://www.wimesure.fr/cbx/s4_article5266.htm
Pour l'humidité, on utilise plutôt des "tensiomètres", qui "simulent" la force d’extraction (succion) des racines des plantes...
Voir par exemple : http://www.wimesure.fr/cbx/s4_article5266.htm
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- antoinet111
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Maximus Leo a écrit :Il ne s'agit pas de ça.
Il s'agit de savoir si le binage réduit ou non l'assèchement du sol.
Et pour ce qui est de l'optimisation du rendement, je suis déjà en surproduction...
Sur que le binage diminue l'asséchement du sol, il permet de casser la capillarité du sol et limite la sussions du bas vers le haut de l'eau.
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Je vote pour l'écriture de post concret et de sens pratique.
A bas les beaux parleurs et les brasseurs d'air !
A bas les beaux parleurs et les brasseurs d'air !
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