Mixieer56 a écrit :Par ailleurs, je me souviens d'avoir lu que, pour la première année, il était conseillé de semer en pots ?
C'est une évolution de la technique qui tient compte de la mauvaise expérience de l'an dernier !
A l'origine, il y a 4 ou 5ans, dans un souci de "paresse", j'étais parti sur un maximum de semis direct. Le présent fil avait d'ailleurs l'expression dans son titre original ["Jardiner plus que bio en semis direct sans fatigue ?"] !
L'an dernier, avec la période humide de mai-juin, je n'ai jamais autant raté de semis.
J'avais construit les châssis.
Et donc j'évolue ! Observer - réfléchir - conclure - agir en conséquence...
Aujourd'hui, ma "tactique" anti-aléas, sans "trop d'efforts", peut se résumer ainsi :
a) plus (+) de plantations - cf aussi la réflexion sur la canne à planter ;
b) donc moins de semis précoces (mais j'en ferais toujours un peu - une loterie, si je gagne, j'ai des primeurs, sans trop d'efforts ; si je rate, j'ai raté peu de choses - les sillons seront réactivés plus tard pour des semis plus tardifs).
c) des semis plus tardifs, avec une terre plus ressuyée, plus réchauffée, pour la "production de masse" (notamment, ce qui va être "conservé" pour l'hiver).
Je vais aussi essayer les "laitues de Saint-Antoine" (17 janvier). Une tradition alsacienne [aujourd'hui, le 17 n'est plus Saint-Antoine, mais Sainte-Roseline, mais la tradition reste].
Je pense même que cela peut se décliner avec d'autres espèces, dont les graines peuvent restées en attente dans le sol...