Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Au sujet de la durée de germination des graines potagères dans les conditions de conservation habituelle, on observe que la faculté germinative décline assez rapidement et, en conséquence, il est judicieux de partager les graines entre voisins et/ou amis, car le contenu d'un sachet est souvent trop important pour la consommation personnel sur une saison...
Il faut aussi s'arranger pour récolter ses propres graines, ce qui doit encore plus inciter à en faire profiter d'autres jardiniers!
Il faut aussi s'arranger pour récolter ses propres graines, ce qui doit encore plus inciter à en faire profiter d'autres jardiniers!
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
bananahamac a écrit :
J'ai acheté cette semaine des haricots rame, je les palisserai le long du mur. Idem pour les pieds de tomate, ils trouveront leur place aussi contre ce mur, dans le carré potager. D'ailleurs quelle distance minimale faut-il laisser entre chaque pied de tomate? N'aillant pas énormément de place, j'aimerai optimiser...
Optimiser, c'est effectivement le grall quand on a une surface réduite!
Je ne vais pas te donner de conseils sur des choses dont je n'ai pas l'expérience...En plus comme je dis un peu au-dessus ça dépend quand même beaucoup de conditions "locales". Un seul que je peux me permettre car avec un peu d'expérience, ne pas se précipiter pour semer les haricots, d'autant que tel que tu le décris ce sera dans ton cas un seul semis dans la saison. Ca résiste mal au gel tardif, et même planté un peu tard ça rattrape dans certains cas des semis plus précoces. Bref, ne pas prendre de risque sur un semis unique. C'est différent si tu peux planter deux rangs tous les 15 jours ou 3 semaines, là tu peux éventuellement jouer un semis très précoce (au risque de le perdre).
Une photo de ton jardin peut-être? Pour les conseils éventuels, ça peut aider.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Ahmed a écrit :Au sujet de la durée de germination des graines potagères dans les conditions de conservation habituelle, on observe que la faculté germinative décline assez rapidement
Ah....J'étais plutôt convaincu du contraire, que globalement la durée de germination n'était pas un problème à l'échelle d'un jardinier individuel? Personnellement, j'ai peu (pas) de sachets de graines qui dépassent les deux saisons (si je l'achete début d'année N, il est utilisé année N ou année N+1).
Tu peux développer?
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Je suis un jardinier (j'ose à peine écrire cela!) trop peu consciencieux pour accumuler une expérience vraiment solide en ce domaine, mais par exemple, cette saison, pour effectuer le second semis de haricots verts, j'ai complété avec des graines un peu vieilles (3 ou 4 ans, à la louche) en semant à forte densité, car je me doutais bien que le résultat ne serait pas une levée générale; aucune graine n'a levé...
C'est un agriculteur retraité et excellent jardinier qui m'avait alerté sur cette question, car il avait constaté que le reliquat des sachet de graines, semées en deuxième année après l'achat produisaient systématiquement des levées moins bonnes que la première année.
À confirmer, donc, par des observations personnelles: le tout n'est pas d'adhérer ou non à cette opinion, mais d'être vigilant sur ce point...
Notez bien que je n'en tire pas une conclusion scientifique, d'une part parce que la base factuelle est mince et d'autre part parce que d'autres facteurs que la durée de conservation peuvent intervenir.
C'est un agriculteur retraité et excellent jardinier qui m'avait alerté sur cette question, car il avait constaté que le reliquat des sachet de graines, semées en deuxième année après l'achat produisaient systématiquement des levées moins bonnes que la première année.
À confirmer, donc, par des observations personnelles: le tout n'est pas d'adhérer ou non à cette opinion, mais d'être vigilant sur ce point...
Notez bien que je n'en tire pas une conclusion scientifique, d'une part parce que la base factuelle est mince et d'autre part parce que d'autres facteurs que la durée de conservation peuvent intervenir.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Ahmed a écrit :Notez bien que je n'en tire pas une conclusion scientifique, d'une part parce que la base factuelle est mince et d'autre part parce que d'autres facteurs que la durée de conservation peuvent intervenir.
Bon, autres retours d'expérience bienvenus.
Mon point de vue aujourd'hui c'est que des graines "commerciales" respectent les durées annoncées, généralement plus de deux ans. Du moins je n'ai pas de contre-exemple vécu, et il n'y a pas de signe de buzz sur ce sujet sur notre net préféré....
Sur les graines auto-produites, ma seule expérience pour l'instant (persil) a été un échec total....Certainement le mien, faudra que je réessaye, il n'y a pas de raison.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Concernant les tomates, (et autres légumes, beaucoup même dans les faits), elles ne sont bien évidemment pas originaires de chez nous, du coup, c'est la misère pour les faire arriver à maturité. Seules elles n'y arriveront qu'avec un sacré coup de pouce du hasard (climat notamment). Il faut donc soit une bonne dose de produits chimiques nocifs pour le sol et ses habitants, soit une certaine ingéniosité et donc du travail, de l'énergie et des matériaux (pour construire une serre nous permettant de nous approcher davantage de leur climat d'origine, donc de réduire l'écart qui les en sépare si elles n'étaient pas sous serre).
Mais c'est comme pour tout; quand un être vivant est déplacé et qu'il ne se retrouve pas dans des conditions climatiques et pédologiques très similaires à celles qui règnent sur les terres qui ont vu naître les ancêtre dudit être vivant, par exemple de notre pied de tomate, et bien on lui impose un écart trop important pour qu'il puisse lutter seul contre les maladies qui l'affectent par exemple. Et plus l'écart et grand, plus grand sera le travail à fournir pour le réduire ou en atténuer les effets négatifs. À grande échelle, ce travail coûte des quantités d'énergie folles, et est souvent source d'atteintes sur l'environnement.
J'aime bien prendre l'image d'un être humain qu'on placerait sur Mars ou sur la Lune en lui disant "démerde toi pour survivre". Bien qu'un peu extrême l'idée est un peu la même. Il faudrait beaucoup d'énergie pour lui construire un environnement confiné qui se rapproche de celui qu'il y a là où il a ses origines; sur Terre.
La plupart des plantes potagères que nous cultivons dans nos jardins nous viennent d'autres continents, d'autres latitudes, et c'est un fait, ça demande du travail pour qu'ils poussent relativement bien et donnent quelque chose sous nos latitudes. D'ailleurs, au Moyen-âge, ou par là autour, quand les premiers explorateurs ont ramené ces légumes (haricots, maïs, tomates, pommes-de-terre, etc ; beaucoup viennent de l'Amérique centrale et du sud ou encore d'Asie centrale) seuls les riches bourgeois pouvaient se permettre le luxe d'avoir des jardiniers qui les cultivent ! C'était un signe de distinction que de pouvoir manger ces légumes alors que le bas peuple se contentait encore de l'incroyable variété de plantes sauvages et des quelques légumes qui poussent naturellement en Europe, tel que le chou.
C'était il y a pas de tant de ce temps à l'échelle de l'histoire de l'humanité... Aujourd'hui on a complètement oublié ce que les gens d'avant savaient ; se nourrir avec ce qui pousse naturellement chez nous, avec les plantes sauvages notamment. La variété de ce qu'ils mangeaient pouvait attendre le millier de plantes différentes. Aujourd'hui seule une cinquantaine de plantes potagères peuplent nos potagers et les étals de nos supermarchés ! C'est un effondrement incroyable en terme de diversité de l'alimentation ! Conjugué au fait que les sols agricoles sont de plus en plus pauvres et que ces quelques plantes sont gavées aux nitrates, phosphates et potassium, plus rien ne m'étonne quand on lit ça et là que les gens ont de plus en plus de problèmes, de carences en tout genre, d'intolérances alimentaires, ou qu'il faille 100 pommes d'aujourd'hui pour obtenir la même quantité de micronutriments qu'une seule pomme d'avant la "révolution verte".
Avoir un potager, aussi respectueux de l'environnement soit-il est très bien, et devrait nous fournir des légumes de déjà bien meilleure qualité que ceux du commerce, ne serait-ce que parce qu'ils n'ont ni vu la couleur d'engrais de synthèse, ni de produits phytosanitaires. Mais il conviendrait pour que la démarche soit vraiment plus complète, d'apprendre à être curieux en remettant des variétés cultivées autrefois et en (ré)apprenant à utiliser les plantes sauvages. Quand on sait les bienfaits de celle qui revient fréquemment sur le devant de la scène, à savoir l'ortie, par exemple, ou que la plupart de celles qu'on appelle adventices sont non seulement comestibles mais apportent tout ce qu'il faut à notre organisme il y a de quoi se poser des questions sur nos modes de productions alimentaires.... qu'ils soient bio, plus que bio, ou conventionnels.
Je ne peux que vous inviter à varier au maximum votre alimentation, à découvrir des goûts nouveaux, qui sortent des sentiers battus... m'est avis qu'on a tout à y gagner. Ou en tout cas pas grand chose à perdre !!
Mais c'est comme pour tout; quand un être vivant est déplacé et qu'il ne se retrouve pas dans des conditions climatiques et pédologiques très similaires à celles qui règnent sur les terres qui ont vu naître les ancêtre dudit être vivant, par exemple de notre pied de tomate, et bien on lui impose un écart trop important pour qu'il puisse lutter seul contre les maladies qui l'affectent par exemple. Et plus l'écart et grand, plus grand sera le travail à fournir pour le réduire ou en atténuer les effets négatifs. À grande échelle, ce travail coûte des quantités d'énergie folles, et est souvent source d'atteintes sur l'environnement.
J'aime bien prendre l'image d'un être humain qu'on placerait sur Mars ou sur la Lune en lui disant "démerde toi pour survivre". Bien qu'un peu extrême l'idée est un peu la même. Il faudrait beaucoup d'énergie pour lui construire un environnement confiné qui se rapproche de celui qu'il y a là où il a ses origines; sur Terre.
La plupart des plantes potagères que nous cultivons dans nos jardins nous viennent d'autres continents, d'autres latitudes, et c'est un fait, ça demande du travail pour qu'ils poussent relativement bien et donnent quelque chose sous nos latitudes. D'ailleurs, au Moyen-âge, ou par là autour, quand les premiers explorateurs ont ramené ces légumes (haricots, maïs, tomates, pommes-de-terre, etc ; beaucoup viennent de l'Amérique centrale et du sud ou encore d'Asie centrale) seuls les riches bourgeois pouvaient se permettre le luxe d'avoir des jardiniers qui les cultivent ! C'était un signe de distinction que de pouvoir manger ces légumes alors que le bas peuple se contentait encore de l'incroyable variété de plantes sauvages et des quelques légumes qui poussent naturellement en Europe, tel que le chou.
C'était il y a pas de tant de ce temps à l'échelle de l'histoire de l'humanité... Aujourd'hui on a complètement oublié ce que les gens d'avant savaient ; se nourrir avec ce qui pousse naturellement chez nous, avec les plantes sauvages notamment. La variété de ce qu'ils mangeaient pouvait attendre le millier de plantes différentes. Aujourd'hui seule une cinquantaine de plantes potagères peuplent nos potagers et les étals de nos supermarchés ! C'est un effondrement incroyable en terme de diversité de l'alimentation ! Conjugué au fait que les sols agricoles sont de plus en plus pauvres et que ces quelques plantes sont gavées aux nitrates, phosphates et potassium, plus rien ne m'étonne quand on lit ça et là que les gens ont de plus en plus de problèmes, de carences en tout genre, d'intolérances alimentaires, ou qu'il faille 100 pommes d'aujourd'hui pour obtenir la même quantité de micronutriments qu'une seule pomme d'avant la "révolution verte".
Avoir un potager, aussi respectueux de l'environnement soit-il est très bien, et devrait nous fournir des légumes de déjà bien meilleure qualité que ceux du commerce, ne serait-ce que parce qu'ils n'ont ni vu la couleur d'engrais de synthèse, ni de produits phytosanitaires. Mais il conviendrait pour que la démarche soit vraiment plus complète, d'apprendre à être curieux en remettant des variétés cultivées autrefois et en (ré)apprenant à utiliser les plantes sauvages. Quand on sait les bienfaits de celle qui revient fréquemment sur le devant de la scène, à savoir l'ortie, par exemple, ou que la plupart de celles qu'on appelle adventices sont non seulement comestibles mais apportent tout ce qu'il faut à notre organisme il y a de quoi se poser des questions sur nos modes de productions alimentaires.... qu'ils soient bio, plus que bio, ou conventionnels.
Je ne peux que vous inviter à varier au maximum votre alimentation, à découvrir des goûts nouveaux, qui sortent des sentiers battus... m'est avis qu'on a tout à y gagner. Ou en tout cas pas grand chose à perdre !!
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Swiss_Knight a écrit : Aujourd'hui on a complètement oublié ce que les gens d'avant savaient ; se nourrir avec ce qui pousse naturellement chez nous, avec les plantes sauvages notamment.
Bof bof....Tu peux préciser les plantes sauvages qui vont nourrir par exemple 66 millions de francais? En développant un peu sur leur contenu energétique serait un plus. Et je n'ose demander un plan d'approvisionnement....
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Swiss_Knight je respecte ton avis mais de mon point de vue il est bien de trop extrémiste.
Toi même arrives tu à te nourrir comme tu le préconise?
A l'époque prétendue bénie où l'homme vivait de la cueillette, il crevait aussi de faim.
Contrairement à ce que tu écris même si beaucoup de plante proviennent d'autres continents, l'homme en sélectionnant à réussi à les adapter plus ou moins à leurs nouvelles conditions de climat.
Toi même arrives tu à te nourrir comme tu le préconise?
A l'époque prétendue bénie où l'homme vivait de la cueillette, il crevait aussi de faim.
Contrairement à ce que tu écris même si beaucoup de plante proviennent d'autres continents, l'homme en sélectionnant à réussi à les adapter plus ou moins à leurs nouvelles conditions de climat.
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Did67 a écrit :Sans me fatiguer, la réponse sur la question de la température sur la croissance / développement des pieds de tomate :
https://www.agrireseau.net/legumesdeser ... tomate.pdf
https://www.agrireseau.net/legumesdeser ... tomate.PDF
Par rapport à notre affaire de mur, noter que le mur n'empêche pas l'abaissement : il "tamponnera" cet abaissement, c'est-à-dire le limitera. La question ne peut se poser que sous des climats très chauds / très ensoleillés. Là, le mur risque de causer une surchauffe (de jour ou de nuit, ou les deux...).
Mais là le problème de condensations d'eau possibles dès mi-août ne se pose pas... Tout ce que je viens d'écrire ne serait pas pertinent - chacun son potager du paresseux, ne jamais l'oublier !
En vous lisant tous, il me reste à construire un mur pour protéger mes futures tomates ! La voisine va se demander si je ne cède pas à la mode qui sévit en Europe et aux USA
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" Mets le désordre dans ton jardin et de l'ordre dans tes idées !" Didier Helmstetter
Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue
Depuis l'avènement de la démocratie, chacun a le droit de se prendre pour un roi chez soi !
Je mettrai des photos personnelles des murs du château "Sans soucis" à Potsdam. En attendant, sur la photo ci-dessous, on voit la colline, retravaillée en terrasses, avec un mur. Dans ce mur, il y a des "niches" avec fenêtres, dans lesquelles on cultivait des fruits pour le roi !
https://www.berlin.de/kultur-und-ticket ... tml?page=1
Et il y a ceux du château de Versailles (potager du roi) :
http://growingfruit.org/t/espalier-tree ... illes/4064
Je mettrai des photos personnelles des murs du château "Sans soucis" à Potsdam. En attendant, sur la photo ci-dessous, on voit la colline, retravaillée en terrasses, avec un mur. Dans ce mur, il y a des "niches" avec fenêtres, dans lesquelles on cultivait des fruits pour le roi !
https://www.berlin.de/kultur-und-ticket ... tml?page=1
Et il y a ceux du château de Versailles (potager du roi) :
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