J'ai sauté des poules aux vaches, aux mammifères...
Ou plutôt du coq à l'âne!
Je pense que tu voulais dire qu'il s'agissait d'animaux à sang chaud, ce qui inclut bien les oiseaux et les mammifères.
J'ai sauté des poules aux vaches, aux mammifères...
olivier75 a écrit :
Personnellement le feramol et la seule chimie que je m'autorise...
olivier75 a écrit :J'ai eu aussi un bout de ligne, de 1,5m où seul 2 ou 3 petits pois ont poussés dans le potager de la maison, pas de restes visible des autres, j'ai resemé à Pâques, on verra. Il y a aussi araignées cloportes, carabes etc.
Plus que le fait que ce soit de la chimie, ce sont les "cides" que je souhaite faire disparaître.
Pour l'instant je ne suis embêté que pour le poireau, et encore on en a mangé à Pâques des plantés en septembre, il faut insister pour que la régulation se fasse paraît il, les 4 dernières années 99% de perdu, cette année 70%.
J'ai très peu d'oidium et de mildiou que j'attribue au purin avant et aux apports d'ortie et de consoude b14 en paillage maintenant.
Olivier.
Swiss_Knight a écrit :Est-on certain que les plantes qu'on préférera mettre sous serre sous nos latitudes soient des plantes qui aient besoin,... mettons sur 100 jours de croissance moyenne, de 500mm (valeur correspondante à la pluviométrie annuelle de ta région grosso modo), soit 500l / m² --> environ 5 lites par jour et par mètre carré (!) ?
J'imagine aisément que la serre sera utilisée davantage que 100 jours, bien entendu. Donc on peut allègrement diviser par deux cette valeur, mais même 2,5 litre par mètre carré et par jour sur 200 jours ça me paraît énorme.
De plus, il me semble au contraire que les plantes qu'on met plus facilement sous serre sont les "plantes du soleil", soit des plantes adaptées à une pluviométrie bien inférieure et résistantes à une plus grande sécheresse, normalement.
Et puis, le fait de récupérer l'eau qui tombe sur la surface extérieure d'une serre pour la distribuer à l'intérieur, c'est comme si, au niveau de l'input en eau sur le sol, il n'y avait pas de serre finalement. Après je veux bien que la part d'évaporation à l'intérieur soit non plus importante qu'à l'air libre (mais de combien, bonne question... sachant qu'une part non négligeable de condensation pourrait être récupérée ?).
olivier75 a écrit :Didier, swiss Knights, paysan bio, et ceux qui veulent.
Peut ont revenir sur vos efforts ou pas de tassement du sol couvert, dans le but de "définir", je ne sait pas trop de quelle façon, une compacité idéale, Si il y en a une et de quelle taille autour du plant, à partir du moment où le sol n'est pas déstructuré mécaniquement. Et de pouvoir en parler avec les mots compréhensibles par tous.
Olivier.
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