Bonjour à tous ,
Le plus gros problème c'est que les prélèvements ne se font pas à votre robinet , mais à la station de production dans des conditions toujours optimisées et jamais par des organismes indépendants du business de l'eau et est entre la station et votre robinet le chemin est long:
- tuyaux plomb ou amiante parfois
- fuites ( on estime à 20% les fuites du réseau )
- produits due nettoyage du réseau genre fluor
- les travaux sur les conduites ( vous pensez que le cochonneries vont où quand ils referment )
- et tout ce chlore produit miracle que croyez vous qu'il donne au fil des ans ?
https://www.agoravox.fr/actualites/sant ... elle-57507Chez moi petite commune rurales les gars produisent leurs céréales sur les sources ( intrants , lisiers..) , résultat des courses les analyses sont déplorables ( et encore il ne font pas souvent les analyses toxicoloqiques > pesticides etc..) et comme dit plus haut les contrôles sont bien annonces , bien bordés , bien optimisé ( dilution du réseau avec un mix du réseau voisin ) et pourtant ils ont été sommés depuis 7 ans de se mettre aux normes et bien non cela continu ils viennent même d'obtenir 3 ans de plus ( renouvelable) pour se mettre en conformité , voilà la réalité du terrain , des lois , des normes mais en face c'est l'argent et le copinage qui fonctionne !
Alors qu'à coté à Munich ils ont de l'eau de source depuis plus d'un siècle
http://www.nature-en-ville.com/initiati ... -de-munich Pour moi c'est osmoseur ./
Et bientôt forage profond pour mon potager .
Les nitrates :
Les nitrosamines sont des composés azotés dont la présence dans notre organisme augmente le risque de cancer. Partant de ce principe, de nombreux travaux se sont attachés à démontrer un lien entre nitrate alimentaire et cancers. Cependant ce raisonnement, qui semble logique à première vue, néglige totalement la prise en compte de certains facteurs comme l’origine réelle de ces nitrosamines. Des études (Walker R. The metabolism of dietary nitrites and nitrates, School of Biological Sciences, University of Surrey, Guildford) épidémiologiques récentes démontrent, à l’inverse, une absence de cause à effet entre les nitrates et les risques de cancer. Dans une publication de 1998, l’OMS (OMS, 1998. Nitrate and nitrite, guideline for drinking-water quality, ad. Vol 1 recommendations, WHO pp8-10) précise qu’il n’y a pas de preuve d’une association entre exposition aux nitrates et nitrites et risques de cancer. En fait, la plupart des nitrosamines proviennent directement de notre alimentation (Jones, J.M. 1992. Food Safety. Eagen Press. St Paul, MN) ou de l’inhalation des fumées de tabac. Les légumes, riches en nitrates, sont pauvres en nitrosamines. Ainsi, les régimes végétariens ou riches en fruits et légumes diminuent considérablement le risque de cancer bien qu’ils apportent la plus grande part des nitrates que nous ingérons.
Pour protéger les personnes sensibles (nourrissons, femmes enceintes) la réglementation vise à réduire l’exposition aux nitrates provenant des denrées alimentaires et de l’eau. Elle fixe des teneurs maximales qui varient de 2000 à 4500 mg de nitrate par kilo pour les légumes, l’eau de boisson ne doit pas contenir plus de 50mg de nitrate par litre.
Des travaux récents montrent que les nitrites formés dans la cavité buccale et ingérés réagiraient dans l’estomac avec un effet bactériostatique bénéfique pour le système digestif. Ce mécanisme pourrait permettre de comprendre pourquoi 25% des nitrates sont concentrés dans les glandes salivaires.