Adrien (ex-nico239) a écrit :
la phrase
«nous ne disposons pas encore d’informations de culture précises pour les plantations de fin d’automne. On peut supposer que, pour une récolte à partir de novembre, il faut planter début septembre.»
J’aurais plutôt écrit
«nous ne disposons pas encore d’informations de culture précises pour les plantations de DÉBUT d’automne. On peut supposer que, pour une récolte à partir de novembre, il faut planter début septembre»
Car je ne vois pas bien comment ont peut planter en fin d’automne et récolter en novembre et si on conclue en disant il faut planter en septembre cela veut bien dire qu’on plante en début d’automne et non pas en fin d’automne
Autre rédaction
«nous ne disposons pas encore d’informations de culture précises pour les RÉCOLTES de fin d’automne. On peut supposer que, pour une récolte à partir de novembre, il faut planter début septembre.»
Là aussi on retombe dans la cohérence temporelle
Il faut que j'interroge Wolfgang. Car il écrit bien, en allemand, "spätherbstliche Sätze" - donc il parle, littéralement, de "plantation tard en automne !"...
Je n'ai pas pris la liberté de changer le sens du texte, même quand cela ne me paraissait pas tout à fait logique. Là, comme déjà dit, je n'avais pas tilté.
Mais sur d'autres passages, je n'étais pas d'accord. L'auteur prime. Il a le droit d'écrire quelque chose que d'autres vont contester. En général, je lui demandais si c'est bien ce qu'il avait voulu écrire, et lui disait mes récriminations. Mais s'il maintenait, c'est traduit comme il l'a écrit. Mon rôle d’interprète (de supervision technique de l'interprétation, en fait) s'arrêtait alors. C'est l'auteur qui signe !