janic a écrit :... Ca reste à prouver! ...
En écologie, il ne suffit pas de prendre en compte un seul aspect comme, et c’est peut être juste, une moindre consommation et pollution comme le gaz à effet de serre dont des écolos font leur fond de commerce. Mais aussi les effets par répercussion sur l’environnement et la culture. Combien d’individu seraient près à remplacer leur steak par des grillons ou des larves et la nécessité de planter d’innombrables arbres et systèmes de production et reproduction pour nourrir 7 milliards d’habitants et plus de cette façon là. La plantation des palmiers à huile s’est révélé être une catastrophe par exemple ! ou le soja !Mais s’il ne s’agit que d’une niche, pourquoi pas !C'est déjà fait mais il faut toujours que tu parles sans savoir.
Un insecte comestible comme le ténébrion ou le grillon, pour l'équivalent de bœuf, c'est 4 à 7 fois moins de végétaux, 50 fois moins d'eau, 100 fois moins de gaz à effet de serre.
aucune idée! Je ne mange pas plus de steak de mammifères que d'insectes. Mais je vois mal, en dehors d'un nouveau délire, remplacer les élevages intensifs actuels par des élevages intensifs d'insectes en tous genres. Pas question de les parquer dans des champs à l'air libre, les vaches et les poulets ne risquent pas de se reproduire par milliards comme des insectes au risque de fuites bien plus dangereuses que des virus! C'est juste du délire!Sinon je me demande bien ce que les défenseurs de la cause animale pensent de tout ceci...pour faire un steak équivalent protéines faut tuer combien de milliers de grillons ? Janic ???
On dit ça avant, mais plus après quand cette parano se révèle justifiée. Personne ne maitrise des sujets comme celui-làUn peu parano non ?
je n'en sais rien, pas plus que toi. Mais je ne parle pas seulement de production, mais de maitrise de telles quantités de "parasites" dans des structures fermées qui ne sont jamais étanches par définition. Vois par exemple ces insectes importés par bateau et qui se développent en parasitant les espèces locales. Guèpes, abeilles, coccinelles, végétaux, algues,etc... et dont on ne sait plus en maitriser l'invasion et cela n'a commencé que par un seul insecte., une seule graine. Ca s’appelle jouer avec le feu sans pompier. La théorie, c'est une chose, la réalité (maintes fois vérifié après catastrophes) en est une autre.Sur 1 ha de bâtiment "fermés", on produit certainement quelques milliards d'insectes par an...et sans doute 100 fois plus de quantité de protéine à l'année qu'en équivalent mammifère...
janic a écrit :je n'en sais rien, pas plus que toi.
- 10 kg de céréales = 7 kg de vers de farine. Taux de conversion 7 à 8 fois plus élevé que les bovins. Elevage peu polluant et avec peu d’emprise au sol.
- Composition en matière sèche (environ 40 % de MS) de farine de mouche : 57 % de protéines ; 28 % de lipides ; 4,5 % de glucides ; 9 % de chitine (cuticule, structure proche de la cellulose) ; vitamines et minéraux.
Produire 1kg de vers de farine entraine l’émission de 10 à 100 fois moins de gaz à effet de serre que produire 1kg de bœuf. Le méthane, 86 fois plus puissant que le CO2 en matière de réchauffement et massivement produit par les vaches, est peu produit par les vers de farine et encore moins par les grillons. Leur rendement en biomasse est également plus intéressant : il ne leur faut que 1,1kg de nourriture pour produire 1kg de criquet, alors qu’il en faut 10kg pour obtenir 1kg bœuf ! Enfin, la différence dans la consommation d’eau est écrasante : 1kg de bœuf englouti 13500 litres d’eau au cours de sa production. A comparer aux 10 litres demandés par les grillons pour la même quantité. L’élevage d’insectes se présente donc comme une solution écologique.
Des intérêts nutritionnels reconnus
Les insectes sont aussi intéressants sur le plan nutritionnel. Pour 100 grammes, un steak haché moyen offre environ 25 grammes de protéines ; pour la même quantité, c’en est 69 grammes que l’on trouve dans les criquets. Les insectes comestibles sont également très riches en acides gras insaturés, comme les omégas 3 et 6 (qui aident à lutter contre le cholestérol), et en minéraux comme le fer et le calcium. Les termites sont ainsi 13 fois plus riches en fer que les épinards ! Mais inutile de retourner une termitière, quelques insectes comestibles satisferont parfaitement vos besoins quotidiens. On peut ainsi envisage l’élevage d’insectes comme source de protéines de haute qualité.
janic a écrit :par exemple et par comparaison: quels taux de protéines consomment les plus gros animaux végétaliens comme les éléphants, rhinocéros, hippopotames, bovidés,etc... pour construire leur taille et poids? Très faible comparativement à un carnivore, il faut donc sortir de ce discours orienté par les producteurs de bidoche.
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