Did67 a écrit :1) Cela montre à quel point nous ne sommes pas égaux : chez moi, sécheresse sévère, mais en même temps, nous avons souvent été en périphérie des dépressions qui ont donnés des orages sur les Alpes / Jura. Avec les fortes amplitudes thermiques, l'effet de cuvette entourée de forêts, cela a condensé quasiment tout l'été. Le mildiou, pour l'instant cela va (même en dehors de mon "tunnel", où les "témoins" se portent bien. En revanche, dès début août je repérais de l'oïdium. D'abord sur des plantes "sauvages" : jeune chêne, fumeterre...
Et là, c'est la fin...
2) Pour la poudre de roche, je pense que cela fait partie de ces "stimulateurs de défenses naturelles" du fait d'un effet "engrais foliaire". Par ailleurs, cela s'applique ne couche "épaisses", qui doivent faire une sorte d' "emplâtre". C'est pour cela que j'aurais aimé essayer si j'avais été là.
Mon ex-collègue, directeur de la ferme du Lycée Agricole, plus grande houblonnière "bio" de France, après extension d'ici un ou deux ans, peut-être la plus grande d'Europe, arrive à contrôler le mildiou avec tout un arsenal (dont le cuivre, mais aussi des poudres de roche)... Il mise gros chaque année, et serre les fesses !
j'ai récupéré un jeune chêne qui a poussé dans mes écorces de "pin", mis en pot pour le "bonsaïfier ", mis à l'ombre pour ne pas qu'il crève de chaud, il a de l'oïdium, mais tout ce qui est au soleil rien, donc la condensation nocturne devait lui rester plus longtemps sur les feuilles,
dans ton tunnel à tomates, tu pourrais essayer de voir si le tunnel à tomates ne pourrait pas être aussi un tunnel à courgettes, est-ce que je même genre de culture sous tunnel aéré peut avoir un impact sur l'oïdium?
donc la roche volcanique en couche épaisse créerait un milieu peu propice au développement du mildiou
"Ceux qui ont les plus grandes oreilles ne sont pas ceux qui entendent le mieux"
(de Moi)
