janic a écrit
n retire enfin après de nombreux handicapés et de morts sacrifiés sur l’autel de la rentabilité et du pognon à toute fin.
entre temps ils ont sauvé aussi de bien plus nombreuses vies,
ce passage concernait spécifiquement le HPV qui a ce jour n'a jamais pu prouver son efficacité sur des cancers qui n'apparaitrons que dans 20 ans environ.(lis l'article cité en entier)
Donc on ne peut pas dire, affirmer, quelque chose sans en apporter la preuve par des chiffres précis, statistiquement prouvable et comparables à d’autres systèmes de santé.
SI, encore une fois, la médecine chimique « sauve » des vies, combien d’autres,
que la médecine chimique n’a pas pu sauver, l’auraient été par d’autres moyens moins violents et destructeurs comme les cancers? Indépendamment de tout aspect financier
ce n'est pas l'autel du pognon (tu as vraiment un problème avec l'argent)
Au contraire, l'industrie du médicament balbutiante du 19° siècle à explosé au début du 20° siècle, sans aucun recul à long terme, seul le résultat immédiat étant pris en considération, donc efficace à court terme, mais dommageable à long terme ( donc très couteux pour la communauté humaine) et désastreuse pour l'environnement.
Or, ce n’est pas
mon problème l’argent puisque je n’utilise aucun de ces moyens en questions. Si j’avais à faire face à un problème de santé, courant, je le ferais en sortant l’argent de ma poche, pas celle de la SS, comme je l’ai fait jusqu’à ce jour (comme ceux qui ne sont pas pour les produits chimiques) Par contre ce sont des médecins comme les médecins du monde, ou Delépine, cité, qui sont scandalisés par le prix de certains traitements (en particulier pour le cancer en son cas) qui le dénoncent.
https://www.medecinsdumonde.org/fr/actu ... edicamentsROMPRE LE MONOPOLE
Sur les territoires où il est en vigueur, le brevet crée une situation de monopole de 20 ans qui empêche toute compétition avec les formes génériques. C’est ainsi que le prix de 12 semaines de sofosbuvir en France est à 41 680 euros alors que la même molécule est vendue 220 euros en Inde.Si ça ce n’est pas une question de pognon justement.
mais du moindre mal, fasse à des maladies dites "incurables" il y a des années, la chimie a permit de guérir certains malades mais pas tous, après avec l'expérience des années plus tard on fait un bilan, et on retire les molécules qui n'ont pas un bénéfice suffisant par rapport aux nouvelles
La notion de moindre mal se mesure non pas par rapport à soi même (par exemple les vaccins comparés à d’autres vaccins et non par rapport à de vrais placebos) mais
par rapport à tous les moyens disponibles de part le monde. Par exemple la maladie de Lyme ! Mais évidemment ce n’est pas fait puisque big pharma à un monopole de fait.
Or, une maladie incurable n’est considérée comme telle que dans le cadre restreint de la médecine officielle, toujours, dont elle se présente à la fois comme juge et partie exclusifs, une fois de plus.
il y a 40-50 ans on ne dialysait pas les gens, ils mouraient tout simplement, MAINTENANT LA TECHNIQUE et la chimie permettent des les maintenir en vie,
Les premières dialyses apparaissent en France en 1954.
Là tu as raison
sur la technique car il s’agit plus de la technologie au service de la médecine, ce que personne ne conteste nulle part. C’est comme utiliser une jambe artificielle en cas de jambe amputée. Maintenant la chimie permettant de les maintenir en vie, ta formulation est bonne : maintenir en vie, pas être en bonne santé. Les ehpad sont pleins de gens maintenus en vie aussi, mais dans quel état et drogués par de multiples médicaments de toutes sortes, ça c’est la belle vie !
et plus récemment la chimie permet de greffer ces malades, donc tout n'est pas si noir que tu le prétends
Il ne s’agit pas de voir tout en noir, mais d’être réaliste. Les greffes qui sont des techniques extraordinaires, ne concernent que les cas où des greffons sont disponibles et la chimie ne permet pas les greffes, elle empêche seulement les rejets en court-circuitant le système immunitaire et donc rend l’individu greffé susceptible de choper n’importe quel virus ou bactérie (d’où leur trouille carabinée d’être contaminés et voulant que l’humanité entière se stérilise pour les sauver, eux seuls, et à n’importe quel prix). C’est compréhensible que l’individu ait peur et veuille survivre, mais cela ne peut et ne doit se faire que lorsque l’éthique n’est pas bafouée.
donc tu estimes à combien d'une vie, à partir de combien d'€ il faut stopper tout traitement, à partir de combien on doit sacrifier une vie pour ne pas enrichir le lobby pharma? puisque pour toi c'est avant tout du pognon et rien d'autre
L'exemple de médecins du monde montre que la relation soins et prix sont contestables.
Tu as mal compris la démarche. Tu contestes toute possibilité d’action d’autres médecines que celle que tu utilises et surtout sans connaitre ou vouloir prendre en considération d’autres solutions pas toxiques, elles, pour l’organisme. Or le prix d’une vie est ie même sur le plan éthique, mais il n’est pas rattaché exclusivement à une seule technique surtout monopolistique ? Ca rappelle trop la domination religieuse du catholicisme sur le protestantisme (qui protestait contre justement ce monopole) et qui résolvait la question par élimination des contestataires.
Donc si un traitement est proposé, à un malade, et que celui-ci l’agrée, il n’y a rien à y redire, cela s’appelle la liberté de choix
mais du moindre mal, fasse à des maladies dites "incurables" il y a des années, la chimie a permit de guérir certains malades mais pas tous, après avec l'expérience des années plus tard on fait un bilan, et on retire les molécules qui n'ont pas un bénéfice suffisant par rapport aux nouvelles
La notion de moindre mal se mesure non pas par rapport à soi même (par exemple les vaccins comparés à d’autres vaccins et non par rapport à de vrais placebos) mais par rapport à tous les moyens disponibles de part le monde. Par exemple la maladie de Lyme ! Mais évidemment ce n’est pas fait puisque big pharma à un monopole de fait.
Or, une maladie incurable n’est considérée comme telle que dans le cadre restreint de la médecine officielle, toujours, donc elle se présente à la fois comme juge et partie exclusifs, une fois de plus.
il y a 40-50 ans on ne dialysait pas les gens, ils mouraient tout simplement, MAINTENANT LA TECHNIQUE et la chimie permettent des les maintenir en vie,
Là tu as raison sur la technique car il s’agit plus de la technologie au service de la médecine, ce que personne ne conteste nulle part. C’est comme utiliser une jambe artificielle en cas de jambe amputée. Maintenant la chimie permettant de les maintenir en vie, ta formulation est bonne : maintenir en vie, pas être en bonne santé. Les ehpads sont pleins de gens maintenus en vie aussi, mais dans quel état et drogués par de multiples médicaments de toutes sortes, ça c’est la belle vie !
et plus récemment la chimie permet de greffer ces malades, donc tout n'est pas si noir que tu le prétends
Il ne s’agit pas de voir tout en noir, mais d’être réaliste. Les greffes qui sont des techniques extraordinaires, ne concernent que les cas où des greffons sont disponibles et la chimie ne permet pas les greffes, elle empêche seulement les rejets en court-circuitant le système immunitaire et donc rend l’individu greffé susceptible de choper n’importe quel virus ou bactérie (d’où leur trouille carabinée d’être contaminés et voulant que l’humanité entière se stérilise pour les sauver, eux seuls et a n’importe quel prix). C’est compréhensible que l’individu ait peur et veuille survivre, mais cela ne peut et ne doit se faire que lorsque l’éthique n’est pas bafouée.
Donc si un traitement est proposé, à un malade, et que celui-ci l’agrée, il n’y a rien à y redire, cela s’appelle la liberté de choix thérapeutique conscient et informé. Mais lorsqu’un système quelconque prétend que lui et lui seul détient «
la vérité hors de laquelle il n’y a point de salut » dixit le catholicisme encore, ce n’est plus de la liberté de choix thérapeutique mais du totalitarisme contre lequel les sociétés qui se disent démocratiques luttent, mais qui le pratiquent couramment (faites ce que je dis, mais pas ce que je fais) comme les vaccinations obligatoires ultra disparates d’un pays à l’autre.
Donc il n’est pas question d’arrêter quoique ce soit, en cours, ne serait que parce que le système ne reconnait que ce que lui-même a institué et qu’il est dans l’incapacité de proposer autre chose (à part quelques esprits ouverts, pas totalement conditionnés par celui-ci.). Donc ce n’est pas seulement une question de pognon, mais beaucoup tout de même puisque les pro allopathie contestent le remboursement de l’homéopathie, malgré les vies qu’elle a sauvé, pour presque rien coté pognon.
Plus les autres médecines alternatives qui sauvent aussi des vies pour 0 Euros pour la société.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré