le végétarisme, ou le véganisme ne sont pas nés dans les couches sociales les plus pauvres, se passer totalement de viande n'est pas une nécessité, mais une idéologie intellectuelle, et comme toujours cela s'impose pour des raisons sociales
c'est ce que l'on appelle inverser le sens des réalités.
Le mode alimentaire, quelles que soient les couches sociales,n'est pas déterminé par la pauvreté ou la richesse, mais par son anatomie. Riche ou pauvre une vache restera herbivore et un lion carnassier. Par contre les situations naturelles comme l'abondance ou la rareté de nourriture peuvent conduire à s'écarter de ses conditions naturelles pour devenir culturelles, mais le lion ne se nourrira pas pour autant d'herbes, ni la vache de viande. L'humain est le seul à s'être écarté de sa nature biologique pour en faire un mode de vie à part.
Or il ne s'est produit aucune modification biologique depuis son époque de cueilleur/ charognard pour autant soulignant ainsi sa constante destination alimentaire adéquate.
Donc revenir sur ses erreurs biologiques passées n'est pas une question de' couche sociale particulière, mais
de prise de conscience (souvent à cause des maladies que ce type de nourriture prétendument omnivore a produit au fil des siècles et qui perdure encore aujourd'hui ) ou, pour reprendre la formule consacrée ,
"on ne récolte que ce que l'on sème" comme cela se constate dans nos sociétés "civilisées" actuelles.
se passer totalement de viande n'est pas une nécessité, mais une idéologie intellectuelle, et comme toujours cela s'impose pour des raisons sociales
une nouvelle fois, cela s'appelle une pirouette intellectuelle. C'est ne pas se passer de viande qui n'est pas une nécessité car c'est retrouver ses racines, confirmé par la science au travers de l"anatomo-biologie qui ne peut être contesté scientifiquement.
Cependant que les bouffeurs de cadavres se rassurent, l'élevage n'est pas près de disparaitre de sur cette terre et la mort continuera de frapper ses consommateurs (en un juste retour des choses) au travers des maladies que cela engendre.
tout à fait, les habitants des pays riches peuvent en consommer moins sans problème
et plus du tout, pose encore moins de problème! C'est une question de relativité selon l'objectif que l'on se fixe comme de savoir si l'on veut
diminuer simplement les pathologies consécutives à sa consommation, (et pas seulement au volume consommé) ou
éviter ces pathologies. C'est comme se poser la question de la consommation d'alcool ou de tabac avec cette formule
boire avec modération pour l'alcool alors que seul le tabac tuerait, lors même que cela fait des centaines d'années que le tabac et alcool sont consommé et que tous ont constaté, scientifiquement, les effets destructeurs des uns et des autres en en faisant le même nombre de victimes dont les cancers. C'est absurde!
il n'y a même pas besoin de remplacer par du végétal, c'est ce qu'on veut nous faire croire, on veut remplacer une production par une autre, car un steak végétal, c'est maintenant plus "rentable" qu'un steak animal, l'Homme peut tout simplement manger moins de protéines, mais du coup il va en acheter moins, c'est le volet économique qui fait qu'on veut remplacer l'animal par le végétal
et rebelotte vers des schémas façon image d'Epinal pour prétendre à une déformation de la réalité(une constante chez les bidocheurs). Les steacks végétaux n'ont pas pour destination de remplacer les steaks animaux car ce serait remplacer un borgne par un autre borgne. Sa fonction première est de souligner que gustativement le consommateur retrouve le même plaisir gustatif qu'avec un morceau de charogne et donc cela sert simplement à faire tomber les a priori largement médiatisés par l'industrie de la bidoche. Maintenant si les non charognards ne se nourrissent QUE de cette façon, c'est que leur culture fastfood ou similaire n'a pas été abandonnée pour autant. Mais vu le nombre de plus en plus important de recette VG sur le net, la gastronomie sans viande a de beaux jours devant elle et c'est le meilleur moyen pour réduire la consommation de bidoche.
Claire Vallée est une pionnière. Car non contente d'intégrer le cercle (trop) restreint des femmes étoilées au Guide Michelin 2021 (cinq cheffes parmi les 57 établissements promus), la jeune quarantenaire est devenue la première cheffe vegan à voir son restaurant décrocher la prestigieuse récompense.27 janv. 2021et de plus en plus de chefs reconnus se mettent aussi à ce nouveau type de gastronomie par prise de conscience ou pour répondre à une demande croissante.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré