Car le point qui cloche, c'est l'interdiction (tout le monde aura remarqué...)
En quoi interdire la perpétuation des semences rustiques serait-il juste? Et en quoi serait-il juste de les taxer?
Ce n'est pas être hors sujet, que de rechercher les causes, de savoir qui devrait financer et pourquoi, oui le pourquoi de s'interroger sur une sélection qualitative plutôt que quantitative (et encore on est gentil, parce qu'on ne parle pas de «l'épuisement des sols»... qui au fond est au cœur du débat sur lequel les politicards devraient plancher, plutôt que de favoriser la continuation de rendements de culture en surface insensés, impliquant l'emploi de la chimie et forcément la sélection de variétés capable de lui survivre... cherchez l'erreur...). Car que l'on ne s'y trompe pas, la majorité des obteneurs et de l'industrie, travaillent dans ce sens. (Comme je l'ai dit, je n'ai rien contre les autres)
Plutôt que de continuer à mettre la tête dans un sac, afin de rester sur la voie de garage du mythe de la consommation à bas coût et rendement élevé à tout prix, avec des obteneurs «aux ordres» pourvu qu'ils restent dans le déni, que ça coûte le minimum et que ça rapporte un max aux demandeurs... (Et oui demandeurs, car en plaçant le céréalier en position de demandeur de devoir écouler sa production — trop fort la grande distrib... et l'industrie agromachin — ceux qui ont une offre céréalière sont désormais en position de demandeurs, coincés entre endettement et spirale désavantageuse des prix d'achat quasiment imposés par les acheteurs qui imposent leur loi....)
J'ai pas d'obligation de me taire
![Mr. Green :mrgreen:](https://www.econologie.com/forums/images/smilies/icon_mrgreen.gif)