Tout est bon pour imposer une pseudo virginité au bio

[Obamot]

Une étude mal ficelé ne va pas remplacer toutes les autres bien abouties

bien “abruties” je dirais, ton Julien Pain s’est re-con-verti après le Covid-19, il est devenu multi-casque… ouille?

[gfgh64]

Si ça ne coûtait pas, en gros, deux fois plus cher, je ne pourrais qu'être d'accord avec toi.
sauf à produire dans son propre potager bio, mais ce n'est pas donné à la majorité.

tout dépend,l’écart de prix est beaucoup moins importante par chez moi (64)
le chimique synthétique n'est pas forcement très bon marché,comme parfois le bio
,les carottes par exemple non pas une grosse différence de prix (lidl)même si ça fait mal au derrière pour le circuit court,mais pour les habitués du synthétique c'est déjà une bonne alternative à un prix abordable

[GuyGadeboisLeRetour]

Exact, le prix du bio aux marchés alentours est à peu de choses près les prix du non bio de qualité. En aucun cas "en gros, deux fois plus cher".

[sicetaitsimple]

OK, OK, tant mieux pour vous deux!
J'avais précisé "en gros", on ne va pas se battre!

https://www.lineaires.com/les-produits/ ... 1588761764

[gfgh64]

ben pour du gros c'est du très gros

ton lien 05 05 2000

aujourd’hui chez lidl 30c de différence au kilo pour les carottes

et non pas tant mieux pour nous deux,tant mieux pour tous ceux qui non pas le temps de faire des courses dans des petit marché de producteur qui n'en ont pas les moyen non plus ,même si ce n'est pas la panacée,c"est déjà un pas dans le bon sens

[sicetaitsimple]

ton lien 05 05 2000

Je lis 2020, pas 2000?

[gfgh64]

desolé j'ai mal tapé,je voulais dire 2020 aussi,toutes mes excuses

[Macro]

,tant mieux pour tous ceux qui non pas le temps de faire des courses dans des petit marché de producteur qui n'en ont pas les moyen non plus ,même si ce n'est pas la panacée,c"est déjà un pas dans le bon sens

Marchés de producteurs ....

Vous seriez parfois surpris de voir ce qui se passe réèlement sur le site de "production" J'ai dernierement rapatrié chez elle une vendeuse de confitures miel et cie .... ce qu'elle vendait n'etait pour dire que de la production industrielle re conditionnée ....

Bref elle faisait du folklore en faisant bouillir un chaudron en cuivre sur le marché pour vous vendre du andros

[GuyGadeboisLeRetour]

,tant mieux pour tous ceux qui non pas le temps de faire des courses dans des petit marché de producteur qui n'en ont pas les moyen non plus ,même si ce n'est pas la panacée,c"est déjà un pas dans le bon sens

Marchés de producteurs ....

Vous seriez parfois surpris de voir ce qui se passe réèlement sur le site de "production" J'ai dernierement rapatrié chez elle une vendeuse de confitures miel et cie .... ce qu'elle vendait n'etait pour dire que de la production industrielle re conditionnée ....

Bref elle faisait du folklore en faisant bouillir un chaudron en cuivre sur le marché pour vous vendre du andros

J'ai vu ce qui se passe pour l'huile d'olive soi-disant "maison" et les œufs de "poules en liberté"... quant aux maraîchers, je n’achète que chez ceux que je connais et/ou où mon fiston a bossé quand il était au Lycée Agricole.

[izentrop]

Et ça continue la désinformation en faveur du bio... https://x.com/GeWoessner/status/1883631908363645125

Sans titre 1.jpg (37.87 Kio) Consulté 25 fois

Ce documentaire énonce plusieurs fausses informations, et invente un faux scandale.
Sa principale source est l'association Générations Futures, financée par les industriels du bio.
Il est mensonger de prétendre que l'alimentation bio réduit le risque de cancers.
https://www.academie-medecine.fr/role-d ... ologiques/

La presse et les médias ont largement relayé les travaux d’une équipe française reconnue, publiée en octobre 2018 dans une revue internationale, avec la conclusion que la consommation d’une alimentation organique* en d’autres termes « bio » réduisait le risque d’incidence de certains cancers (1). Pour cela les auteurs ont comparé le nombre de cancers observé chez des personnes affirmant consommer une alimentation « bio » et ceux qui n’en consommaient pas.

Cette étude est intéressante et les auteurs ont réalisé un important travail. Cependant il existe un certain nombre de biais méthodologiques qui ne permettent pas de soutenir les conclusions des auteurs. L’académie nationale de médecine avait exposé la complexité des méthodes épidémiologiques et les critères de qualité qui les sous-tendent dans un rapport publié en 2011 (2).

En effet les deux groupes de personnes évaluées diffèrent non seulement par le fait que les uns consomment une alimentation « bio », mais également par d’autres facteurs : le sexe, l’âge de la première grossesse, facteur déterminant pour le risque de cancer du sein, la consommation de fruits et légumes, le niveau socio-économique, l’activité physique… tous facteurs susceptibles d’expliquer à eux seuls une différence. De plus les sujets inclus dans l’étude devaient dire s’ils consommaient une alimentation « bio » de temps en temps, sans précision ni sur la quantité ni sur la durée de cette consommation. Enfin la survenue de cancers n’était appréciée que sur une période de 4,5 ans ce qui est très court pour la genèse d’un cancer par exposition à des produits.

Ainsi même si cette étude met en évidence un « signal » entre alimentation « bio » et la moindre survenue d’un cancer, l’Académie nationale de médecine considère qu’à ce jour, au vu de cette seule étude, le lien de causalité entre alimentation « bio » et cancer ne peut être affirmé et invite à la prudence dans l’interprétation trop rapide de ces résultats.