Groupe de travail. Projet : pétrole du Dr Jean Laigret
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Ca fait 3 kg de merde par humain par jour...
Ca me semble un peu élevé non?
Ca me semble un peu élevé non?
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+1 Bucheron donc pas si excellent que ca alors ce reportage car un facteur de 10 c'est pas rien. J'aimerais bien que ma bagnole consomme 0.5 L au 100...
De toute facon j'ai tjrs lu et entendu que la merde d'humaine (remarque valable avec tout animal omnivore je présume) n'était pas bien adapté à la méthanisation. Je suppose que cela vient de la trop grande variété de l'alimentation?
Donc soit on passe tous végétariens soit y a rien à faire de ce coté là!
De toute facon j'ai tjrs lu et entendu que la merde d'humaine (remarque valable avec tout animal omnivore je présume) n'était pas bien adapté à la méthanisation. Je suppose que cela vient de la trop grande variété de l'alimentation?
Donc soit on passe tous végétariens soit y a rien à faire de ce coté là!
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- coucou789456
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Salut,
Non, non, pas de facteur de 10 passé par là, c'est bien le chiffre exact.
Ben c'est pas de la méthanisation qu'il est question ici, le rendement est différent.
http://vodeo.rtbf.be/19-35-6024-la-fabu ... s-1-3.html
@+
Non, non, pas de facteur de 10 passé par là, c'est bien le chiffre exact.
Ben c'est pas de la méthanisation qu'il est question ici, le rendement est différent.
http://vodeo.rtbf.be/19-35-6024-la-fabu ... s-1-3.html
@+
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Ce n'est pas parce qu'on dit depuis toujours que c'est impossible qu'il ne faut pas essayer
Réponse à cmoa - Farines animales
Exact cmoa, les farines de viandes sont en excédent depuis que leur utilisation pour l'élevage a été limité. Les farines à haut risque doivent être impérativement incinérées les autres pourraient être disponibles pour notre application.
Autre produit intéressant et dont l'élimination pose problème: le lisier de porc des élevages industriels.
Un rebut de culture gaspillé depuis toujours et très intéressant d'un point de vue énergétique: les déchets de récolte des pommes de terre. Toutes ces petites patates rejetées par la calibreuse sont estimées à 3 tonnes par hectare (sur 45 à 60 tonnes de récolte). En général elles pourissent en tas dans un coin du champ et ne peuvent servir d'engrais car trop acidifiantes.
Sachant que la patate c'est de l'amidon, il y aurait moyen d'en retirer 500 litres d'alcool pur (c-à-d plus d'énergie qu'il n'en faut pour cultiver et récolter ce même hectare). A mettre aussi dans notre liste je pense.
A mon avis tu n'as pas reçu ma réponse à ton MP, je recommence sur ta ligne.
Autre produit intéressant et dont l'élimination pose problème: le lisier de porc des élevages industriels.
Un rebut de culture gaspillé depuis toujours et très intéressant d'un point de vue énergétique: les déchets de récolte des pommes de terre. Toutes ces petites patates rejetées par la calibreuse sont estimées à 3 tonnes par hectare (sur 45 à 60 tonnes de récolte). En général elles pourissent en tas dans un coin du champ et ne peuvent servir d'engrais car trop acidifiantes.
Sachant que la patate c'est de l'amidon, il y aurait moyen d'en retirer 500 litres d'alcool pur (c-à-d plus d'énergie qu'il n'en faut pour cultiver et récolter ce même hectare). A mettre aussi dans notre liste je pense.
A mon avis tu n'as pas reçu ma réponse à ton MP, je recommence sur ta ligne.
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- Je découvre l'éconologie
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Bonjour,
Pour le L2 voici deux liens intéressants :
http://www.sg.cnrs.fr/cnps/guides/doc/r ... fiche4.pdf
http://www.oxygen-web.com/normes/classe ... erche.html
Je me suis trompé, il n'y a pas besoin de pression de l'air négative par rapport aux autres pièces, c'est optionnel.
Pour trouver une entreprise mettant des salles blanches aux normes, le mieux est de regarder local, avec justement le mot clef "salles blanches".
Pour la bactérie, le milieu de culture, c'est justement tout ce qui contient de la matière organique, ce qui n'est pas forcément cher. Par contre, je vous déconseille d'utiliser tout de suite des déchets, car ensuite il faut savoir les évacuer par la filière légale appropriée... De plus, des grosses cultures (100L) devront forcément être décontaminées en fin de production (avec de la javel).
N'oubliez pas non plus de faire une préculture dans un petit volume (50 à 200mL) dans un milieu adapté, sans oxygène, pour être en anaérobiose - le mieux étant de "ventiler" préalablement le milieu de culture avec de l'azote gazeux et de boucher hermétiquement une fois la bactérie introduite.
Pour trouver une souche proche de C. perfringens, pourquoi pas Clostridium thermoaceticum ou Clostridium butyricum, ces bactéries n'ont pas l'air pathogènes (à vérifier) et les conditions de culture sont décrites.
Dans tous les cas, la meilleure souche devra libérer du méthane (même si ce n'est pas ce qui est recherché), comme C. perfringens et être favorable ou apte à modifier les lipides (appelés aussi acides gras libres).
Bonne soirée,
astro'
Pour le L2 voici deux liens intéressants :
http://www.sg.cnrs.fr/cnps/guides/doc/r ... fiche4.pdf
http://www.oxygen-web.com/normes/classe ... erche.html
Je me suis trompé, il n'y a pas besoin de pression de l'air négative par rapport aux autres pièces, c'est optionnel.
Pour trouver une entreprise mettant des salles blanches aux normes, le mieux est de regarder local, avec justement le mot clef "salles blanches".
Pour la bactérie, le milieu de culture, c'est justement tout ce qui contient de la matière organique, ce qui n'est pas forcément cher. Par contre, je vous déconseille d'utiliser tout de suite des déchets, car ensuite il faut savoir les évacuer par la filière légale appropriée... De plus, des grosses cultures (100L) devront forcément être décontaminées en fin de production (avec de la javel).
N'oubliez pas non plus de faire une préculture dans un petit volume (50 à 200mL) dans un milieu adapté, sans oxygène, pour être en anaérobiose - le mieux étant de "ventiler" préalablement le milieu de culture avec de l'azote gazeux et de boucher hermétiquement une fois la bactérie introduite.
Pour trouver une souche proche de C. perfringens, pourquoi pas Clostridium thermoaceticum ou Clostridium butyricum, ces bactéries n'ont pas l'air pathogènes (à vérifier) et les conditions de culture sont décrites.
Dans tous les cas, la meilleure souche devra libérer du méthane (même si ce n'est pas ce qui est recherché), comme C. perfringens et être favorable ou apte à modifier les lipides (appelés aussi acides gras libres).
Bonne soirée,
astro'
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Bonjour,
Votre projet m'intéresse, je viens jeter un coup d'oeil de temps en temps.
C'est super intéressant et plus valorisant que tout autre bioexperience si le produit final a une composition aussi exploitable que son copain du sous sol.
Par contre, je pense qu'il faut mieux faire un projet en licence genre "open" pour protéger tout ça.
Pourquoi se débarrasser du gaz, pour moi, il faudrait quand même séparer les gaz pour les récupérer (méthane et hydrogène); suivant les matières ingéré le fonctionnement peut être différents et cela est un atout pour un système, qui bien monté n'aura que peut de contrôle à gérer.
Faire seulement du pétrole me semble utopique, polluer avec du gaz en fabriquant du pétr.(:evil: pour le gaz).
Comme il n'y a pas de savon sans soude, faire marcher la machine avec du tout venant et en continu implique soit de gérer l'apport par des analyses en lignes (trés couteux), soit une architecture adapté au tout venant. Un genre de réacteur/ digesteur à chaud à deux parties: l'une pour les corps gras (+ éventuellement la soude) l'autre du tout venant avec une cloison laissant passer d'un coté à l'autre (ex: par dérase) les corps gras avec en haut le dégazage et séparation des gaz.
Voici deux questions qui me trotte :
la séparation des gaz, comment la mettre en oeuvre ? par cannes à différents niveaux ?...
pour placer l'extraction; le pétrole sera-il plus lourd ou plus léger que l'huile boueuse ? Je pense que l'huile est plus légère que le biopètr...?
Pour faire des essais, les souches sont un peut partout, avec un réacteur, le premier qui a une gastro virulente le rempli.
Pour moi, cela m'a l'air plustôt dangereux !
à +
PS : J'ai a gavé de verrerie un peu ébréché sur les cols, si cela interresse quelqu'un... 100ml 500ml 2l 10l
Je recherche aussi une souche de Chatoceros Pumilum (C.Pum) (phytoplancton)
Votre projet m'intéresse, je viens jeter un coup d'oeil de temps en temps.
C'est super intéressant et plus valorisant que tout autre bioexperience si le produit final a une composition aussi exploitable que son copain du sous sol.
Par contre, je pense qu'il faut mieux faire un projet en licence genre "open" pour protéger tout ça.
Pourquoi se débarrasser du gaz, pour moi, il faudrait quand même séparer les gaz pour les récupérer (méthane et hydrogène); suivant les matières ingéré le fonctionnement peut être différents et cela est un atout pour un système, qui bien monté n'aura que peut de contrôle à gérer.
Faire seulement du pétrole me semble utopique, polluer avec du gaz en fabriquant du pétr.(:evil: pour le gaz).
Comme il n'y a pas de savon sans soude, faire marcher la machine avec du tout venant et en continu implique soit de gérer l'apport par des analyses en lignes (trés couteux), soit une architecture adapté au tout venant. Un genre de réacteur/ digesteur à chaud à deux parties: l'une pour les corps gras (+ éventuellement la soude) l'autre du tout venant avec une cloison laissant passer d'un coté à l'autre (ex: par dérase) les corps gras avec en haut le dégazage et séparation des gaz.
Voici deux questions qui me trotte :
la séparation des gaz, comment la mettre en oeuvre ? par cannes à différents niveaux ?...
pour placer l'extraction; le pétrole sera-il plus lourd ou plus léger que l'huile boueuse ? Je pense que l'huile est plus légère que le biopètr...?
Pour faire des essais, les souches sont un peut partout, avec un réacteur, le premier qui a une gastro virulente le rempli.
Pour moi, cela m'a l'air plustôt dangereux !
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PS : J'ai a gavé de verrerie un peu ébréché sur les cols, si cela interresse quelqu'un... 100ml 500ml 2l 10l
Je recherche aussi une souche de Chatoceros Pumilum (C.Pum) (phytoplancton)
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s'étendre en harmonie a pour vertu la renaissance ( Nei Tching Su Wen)
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