Ahmed a écrit :Oba, j'ai depuis fort longtemps perçu l'ambivalence de ton personnage, mais je n'en ai volontairement retenu que les côtés positifs, ignorant les autres. Comme
Guy avait une certaine propension à des excès de langage, je les mettais alors plus ou moins en balance avec les tiens ou ceux de tes assimilés (en ce domaine) et ce malgré que je reconnaisse globalement le bien fondé de ses interventions. Depuis, il s'est refait une conduite et a abandonné cette facilité aux insultes pour se recentrer sur le fond.
Étant donné que nulle évolution n'a été observée chez toi (j'ai bien compris que ce ne serait jamais le cas), fatigué de tes sempiternelles et ridicules rodomontades (ex: "
c'est nous qu'on est la contestation"), ce qui aurait été bénin sans cet acharnement systématique et parfaitement injustifié contre
Guy, il était alors naturel que je marque nettement ma position et prenne mes distances: ne rien dire aurait été approuver.
Bien entendu, je ne m'illusionne en aucune façon et si j'ai souligné tes opinions partiales (et pas nécessairement pour de grandes raisons politiques, mais plutôt par stratégie personnelle), ce n'est pas dans l'espoir d'un quelconque changement de ta part (d'ailleurs, ça ne s'est pas produit!), c'est plutôt pour avertir les lecteurs occasionnels de ce forum qui pourraient être abusés par
tes arguties adroites.
PS: quant à ta signature, c'est bien une tentative d'instaurer une censure illicite à ton profit et d'un tel mauvais goût que je m'étonne qu'elle passe "comme beurre" (sic) auprès du maître de céans (sinon qu'il limite ses interventions pour éviter tes éprouvantes criailleries... J'ai bon?
).
je ne suis pas un individu calculateur, par contre je suis éventuellement un fin limier pour les repérer et les décrire? J’en sais rien au fond.
tu ne peux pas parler d’ambivalence à mon égard sans expliquer lesquelles.
La nature même de l’être humain est d’être ambivalent. Donc être humain c’est être ambivalent. Merci de le reconnaître!
A titre purement exemplatif, d’un débat social quasi infini
Source: CAIRN - revues de sciences humaines et sociales:
https://www.cairn.info/revue-psychother ... ychanalyse.
— Dans le langage courant, être ambivalent signifie hésiter entre deux ou plusieurs choix sans parvenir à se décider.
[…] Si le doute est souvent considéré comme étant un signe de bonne santé psychique, rester dans le doute et l’ambivalence n’est pas confortable. […]
— D’habitude, le raisonnement permet de soupeser les parties en jeu et l’homme bien portant arrive pratiquement toujours à s’affranchir de son ambivalence (Bleuler, 1911a). D’ailleurs, il y est relativement obligé. […]
La phénoménologie nous apprend que nous nous orientons dans ce monde, par essence ambigu et polysémique, guidés à la base par un sens d’évidence naturelle (Blankenburg, 1971) et par notre syntonie avec l’ambiance (Minkowski, 1927), autrement dit : en vivant ... tout simplement. Notre rationalité doit donc se développer en harmonie avec notre affectivité et avec cette intersubjectivité spontanée et non réfléchie qui vient à manquer dans certaines psychopathologies.L’être humain y est envisagé comme un sujet soumis à des forces psychiques opposées, en grande partie inconscientes, qui sont les pulsions de vie et les pulsions de mort. Ainsi reliée au dualisme pulsionnel, l’ambivalence fait partie intégrante de tout conflit intrapsychique décrit par la psychanalyse.
Comme je ne tiens pas à
“psychiatriser le débat” mais pas pour autant esquiver (le sujet m’intéresse), et par ailleurs comme j’ai déjà donné les critères qui permettaient aux professionnels de dire si tel ou tel patient était “socialement intégré” ou non (un être “normal” je veux dire sans psychopathologie en tant que telle, un être capable de vivre normalement en société quoi…) on peut avoir un pathos sans pour autant être dérangé au sens psychiatrique du terme, bref… et à ma connaissance, malgré la subjectivité qui est la mienne, je veux rester modeste et ouvert aux critiques sans problème: mais je ne me sens pas concerné par ce que tu avances. Enfin je veux dire “comme tu l’avances”. Ça me fait même sourire après tout ce que j’ai pu traverser…
Par exemple je réfute complètement “
ne pas avoir changé” j’évolue à mon modeste niveau en permanence, j’essaye de comprendre, je m’adapte, donc inévitablement je change. Je ne suis pas le seul hein…
Quant aux manipulations, la modėration n’est absolument pas dupe:
— il est ici question depuis un moment, non pas de moi, mais du problème central de Guy, dont les agissements 
auprès de différents membres ont fait qu’ils ont quitté le forum et rien d’autre.
Mais du moment que l’on parle de ça (et pas de moi, rien de tel à me reprocher), je me paye une fronde pas possible de ses “
bouffons assimilés” du Comedy Club (anciennement “marrants”) dont pour le moment tu ne fais pas partie. Et je ne vais pas répondre à leurs propos infondés et distorsions de la réalité voire autres mystifications… ils ne sont que… deux
Je te signale au passage qu’à l’époque où ça allait, du bottais quand même régulièrement en touche sur certains sujets pour éviter de les aborder, s’agussant de ta propre ambivalence, qui n’est pas maladive pour autant. Bein mon cher, si tu n’as pas vu que Guy massacre toutes mes interventions à la tronçonneuses, sans jamais n’en liker une seule, sans jamais répondre de façon constructive à ce que je dis, il faut t’acheter des verres grossissants. En ce moment il ne cherche rien de mieux que me singer LOL Sincèrement je ne pense pas me tromper sur tous les sujets pour mériter sa haine depuis deux ans.
Donc comme je n’ai pas
“d’ambivalence” au sens pathologique du terme (dont il faudrait trouver les fondements de ça dans le… DSM…? Hum…) je me réjouis d’avoir tes explications!
Il lance des vacheries et après s'émeut d'un retour de manivelle; il parle alors de "lynchage" et de "tournante": comme quoi il a la "douleur" imagée et l'indignation outrancière...