Obamot a écrit :T’as pas répondu, en quelles devises la petite enveloppe?
si j'ai répondu que je ne touchais aucune enveloppe, mais si tu savais qui pouvait m'en donner, j'accepte toutes les devises
Obamot a écrit :T’as pas répondu, en quelles devises la petite enveloppe?
izentrop a écrit :C'est juste un vieux clown gâteux
Tout ce qu’a dit Alexandra Henrion-Caude (et d’autres éminents spécialistes que j’ai reporté ICI) était donc VRAI.Le gouvernement britannique a révélé qu’une fois que vous avez reçu le double vaccin, vous ne pourrez plus jamais acquérir une immunité naturelle complète contre les variantes du Covid – ou tout autre virus. Alors regardons la « vraie » pandémie commencer maintenant ! Dans son » rapport de surveillance du vaccin COVID-19 » de la semaine 42, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni admet à la page 23 que » les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination. » Elle poursuit en expliquant que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.
Qu’est-ce que cela signifie ?
Nous savons que les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus (en fait, le rapport montre ailleurs que les adultes vaccinés sont maintenant infectés à des taux beaucoup plus ÉLEVÉS que les non-vaccinés). Ce que disent les Britanniques, c’est qu’ils ont découvert que le vaccin interfère avec la capacité innée de l’organisme, après une infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe, mais aussi contre d’autres parties du virus. Plus précisément, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réponse chez les personnes non vaccinées. À long terme, les personnes qui prennent le vaccin seront beaucoup plus vulnérables à toute mutation de la protéine de pointe qui pourrait survenir, même si elles ont déjà été infectées et guéries une ou plusieurs fois.
Les personnes non vaccinées, quant à elles, obtiendront une immunité durable, voire permanente, contre toutes les souches du prétendu virus après avoir été infectées naturellement, même une seule fois
https://francemediasnumerique.com/2021/ ... cin/?amp=1
https://juristen-komitee.ch/wp-content/uploads/2021/12/2021-12-24_Declaration-2G-FR.pdfL'obligation de certificat vaccinal est anticonstitutionnelle!
La nouvelle extension et le renforcement du certificat obligatoire constituent une atteinte grave et durable aux droits fondamentaux des citoyens. [… ] même les personnes en bonne santé qui ont prouvé leur statut Covid « négatif » conformément aux directives de l'OFSP seront exclues de l'accès à de larges pans de la vie publique (sociale, culturelle, économique, etc.) et privée à partir du 20 décembre 2021. Ainsi en Suisse, toutes les personnes non vaccinées qui n'ont pas la « chance » d'être considérées comme guéries sont discriminées comme jamais auparavant.
Après plus de 20 mois de la « crise Covid », les exigences contenues dans l'article 36 de la Constitution fédérale (et en particulier la preuve des faits juridiquement pertinents) devraient être claires et nettes pour des atteintes aussi graves et uniques à la vie de tant de personnes en Suisse: Les chiffres de mortalité et d'hospitalisation devraient atteindre des valeurs sans précédent sur une longue période pour justifier des restrictions des droits fondamentaux aussi extraordinaires touchant une partie considérable de la population.
Or, dans le cas présent, aucune condition n'est remplie pour l'introduction d'un régime aussi rigide et hautement discriminatoire à l'égard de quelque deux millions de personnes vivant en Suisse
1. Pas de menace réelle et importante pour la santé publique
1 Les mesures décidées par le Conseil fédéral doivent être justifiées par un intérêt public (art. 36, al. 2 Cst.). L'objectif déclaré du Conseil fédéral est d'éviter une « surcharge » des hôpitaux en étendant le certificat Covid et – en ce qui concerne le nouveau « variant Omicron » – de réduire le « nombre élevé de cas ».
1.1. Pas de surmortalité
2 Il convient tout d'abord de relever que les chiffres de la mortalité pour 2021 ne donnent pas de motif pour des mesures d’intervention extrêmes. Les chiffres de mortalité ajustés en fonction de la démographie en Suisse pour l'année 2021 sont jusqu'à présent nettement inférieurs à la moyenne des dix années précédentes. Cela se vérifie même pour le groupe d'âge des plus de 70 ans.1 Une menace grave et immédiate pour la santé publique serait tout autre.
1.2. Pas de surcharge des hôpitaux
3 Même en ce qui concerne le taux d'occupation des hôpitaux, des mesures aussi radicales qu'une règle 2G ne se justifient en aucune façon : Au 15 décembre 2021, les lits d'hôpitaux suisses étaient dans leur ensemble occupés à 83 %, la part des « patients COVID » n'était officiellement que de 7,2 % malgré l' « épidémie ». Les unités de soins intensifs étaient occupées à 80,4 %, la part des « patients COVID » étant officiellement de 34,5 %.3 Il convient de noter qu'un taux de lits libres d'environ 20 % indique une exploitation véritablement dans la norme.4 En 2015 encore, on critiquait le fait qu'un taux d'occupation de « seulement » 80 % était un problème : les hôpitaux étaient « trop grands » et donc non rentables.5
4 Il est frappant de constater que non seulement aucun triage n'est nécessaire actuellement, mais que même au plus haut niveau de novembre 2020 – malgré les scénarios d'horreur pronostiqués à l'époque – les patients n'ont pas eu besoin d'être triés. 6 – aucun triage n'a eu lieu dans les hôpitaux et des lits de soins intensifs étaient disponibles à tout moment.7
5 De toute façon, ce ne sont en aucun cas les personnes non vaccinées qui sont responsables de l'utilisation excessive du système de santé – pourtant, elles sont maintenant pénalisées par le régime 2G.
D’après le recensement des « décès Covid » selon le statut vaccinal, depuis la fin de la « Semaine nationale de la vaccination » (14 novembre 2021) et donc depuis le moment où toutes les personnes en Suisse ont reçu au plus tard une offre de vaccination, jusqu'au 15 décembre 2021, 41,96 % ont été déclarés «non vaccinés», 39,57 % «complètement vaccinés», 0,92 % «partiellement vaccinés» et 17,56 % «inconnus».8 Les personnes non vaccinées et les personnes (partiellement) vaccinées s'équilibrent donc. Il n'est donc pas question d'une « épidémie de non-vaccinés », selon les termes de la « Task Force9 ». Il est également frappant de constater la part importante du statut « inconnu » dans un pays qui, par ailleurs, saisit toutes sortes de données statistiques avec minutie. Cette saisie déficiente est un manquement évident du Conseil fédéral et des unités administratives qui lui sont subordonnées, comme l'OFSP et « swiss-medic ».
1.3. Suppression de lits par choix politique
6 De 1982 à 2019, les capacités hospitalières ont été continuellement réduites en Suisse, et ce de 63% pour les lits. Depuis la première apparition du Covid-19 en Suisse, les capa- cités de soins intensifs ont continué à être réduites de manière continue (à l'exception d'une courte phase d'augmentation en mars/avril 2020), et ce de 15 à 20 %
7 Cette évolution s'accorde également mal avec l'image d'une menace épidémiologique d'une ampleur sans précédent véhiculée par le Conseil fédéral. Cette réduction du nombre de lits est en contradiction flagrante avec le devoir constitutionnel de la Confédé- ration et des cantons de veiller ensemble, dans le cadre de leurs compétences respec- tives, à « une médecine de base suffisante et de qualité pour tous grâce à une collabora- tion étroite et coordonnée entre professionnels de la santé » (art. 117a Cst.). Or, c'est précisément le Conseil fédéral qui s'oppose, pour des raisons totalement incompréhen sibles (prétendues « données manquantes »), à une solution proposée par le Parlement pour développer les capacités.12 – pour ensuite évoquer à nouveau le scénario alarmiste d'une surcharge des hôpitaux. Si quelqu'un est donc responsable d'une (prétendue) pénu- rie de capacités, c'est bien la Confédération et les cantons – et non pas les personnes non vaccinées de ce pays.
1.4. Critère non pertinent du « nombre élevé de cas »
8 Le Conseil fédéral se réfère également au « nombre élevé de cas ». Comme chacun sait, ce critère de mesure n'a aucune valeur en soi, même selon l'OMS.13 Le Tribunal fédéral a également déclaré qu'un test PCR positif n'est pas un diagnostic de maladie et qu'il est peu significatif en soi.14 Les résultats des tests PCR ne permettent pas à eux seuls de tirer des conclusions solides sur une menace réelle pour la santé publique : les résultats peuvent être positifs même en l'absence de toute maladie symptomatique.15 Pourtant, la prétendue pertinence de la transmission asymptomatique a été réfutée depuis long- temps.16 Le nombre élevé de cas dont on se plaint ne provient donc pas exclusivement de personnes malades ou suspectées de l'être. Ils sont plutôt fabriqués de manière ciblée par des tests excessifs effectués sur des personnes saines et asymptomatiques. Le fait que les « cas confirmés en laboratoire » se soient depuis longtemps dissociés des « décès confirmés au laboratoire » en est la preuve.
9 Mais si les décès se sont dissociés du « nombre de cas », les mesures justifiées par la « dangerosité » du SARS-Cov-2 ne sont plus du tout supportables (art. 40 al. 3 LEp; art. 30 et art. 31 al. 4 LEp).
2. Absence de base légale
10 Comme pour l'obligation de certificat 3G, on ne trouve de base légale ni dans la loi Covid 19, ni dans la loi sur les épidémies. Plusieurs experts juridiques renommés, tels que les professeurs KLEY,18 NIGGLI,19 et SCHEFER,20 d'anciens juges fédéraux comme le professeur SPÜHLER21 ainsi que d'autres juristes 22 ont déjà exprimé leur opinion à ce sujet lors de l'introduction de la règle 3G – a fortiori, cela s'applique maintenant à la règle 2G, encore plus intrusive 11 En dernier recours, le Conseil fédéral pourrait recourir à la clause dite de police générale (art. 185, al. 3, Cst.). Selon cette clause, il pourrait édicter des ordonnances et des déci- sions pour faire face à des troubles graves de l'ordre public ou de la sécurité intérieure ou extérieure, survenus ou imminents. Mais on a manqué le train depuis longtemps : La si- tuation – prétendument – dangereuse ne doit pas avoir été prévisible ou identifiable de- puis longtemps.24 Les raisons invoquées par le Conseil fédéral pour étendre le certificat obligatoire (en premier lieu la prétendue menace de surcharge des hôpitaux) sont déjà évidentes et bien connues depuis le début de la crise Covid en mars 2020. Depuis lors, la procédure législative ordinaire aurait également permis à plusieurs reprises d'introduire un certificat obligatoire 2G (ou de remédier enfin aux problèmes du secteur hospitalier). Le fait que l'on y ait renoncé n'ouvre en aucun cas au Conseil fédéral la possibilité de con- tourner la loi par le biais de la clause générale de police.
12 L'obligation de certification étendue et les sanctions qui y sont liées manquent donc déjà de base légale.
3. Pas de nécessité prouvée des mesures
13 Mais les mesures ordonnées par le Conseil fédéral devraient également être appropriées et nécessaires pour réaliser l'objectif poursuivi, à savoir éviter une surcharge des hôpitaux ou endiguer de manière générale le phénomène infectieux. Une mesure est notamment disproportionnée lorsque l'objectif peut être atteint par une atteinte moins grave aux droits fondamentaux.25
14 Les atteintes imposées aux droits fondamentaux et aux libertés des personnes non vaccinées sont d'emblée inadaptées, car les personnes vaccinées peuvent transmettre le virus aussi bien que les personnes non vaccinées26 et, en cas de « percée vaccinale », tomber malades aussi gravement que les personnes non vaccinées. Des données internationales montrent même que les personnes vaccinées présentent un risque accru de maladie, d'hospitalisation et de décès suite au COVID : Ainsi, selon des chiffres récents en Angleterre, 6 cas COVID sur 10, 6 hospitalisations COVID sur 10 et 8 décès COVID sur 10 sont le fait de personnes entièrement « vaccinées ».27
Globalement, le SARS-Cov-2 ne présente pas de risque plus important que celui de la grippe saisonnière :
Une étude d'octobre 2020 a calculé une létalité globale d'à peine 0,15 %-0,20 % ; pour les personnes de moins de 70 ans, elle n'est même que de 0,03- 0,04 %28. Une étude plus récente estime la létalité globale à 0,15 %.29 Chez les enfants et les adolescents, on estime que la létalité du SARS-Cov-2 n'est que de 0,0027 %,30 ce qui signifie que le « risque » pour eux est proche de zéro. En Suisse, dans les classes d'âge 0-9 et 10-19 ans, seuls trois décès (sur un total de plus de 11'000 décès) ont été enregistrés en relation avec un test PCR positif entre le 24.02.2020 et le 05.12.2021 ; le dernier vers le 28.03.2021.31 Aucune information n'est disponible pour savoir si une infection respiratoire par le SARS-Cov-2 a réellement causé le décès des jeunes patients. Parallèlement, selon l'OMS, la létalité de la grippe saisonnière (influenza) est normalement inférieure à 0,1 %.32 Aux États-Unis, le CDC a estimé à 0,1355 % le taux de mortalité lors de la dernière vague de grippe (modérée) de 2017-2018.33 La population n'est donc guère plus menacée par le SARS-Cov-2 que par une grippe saisonnière (de gravité moyenne). En conséquence, les mesures prises à l'égard d'une large partie de la population ne sont tout simplement pas nécessaires.
16 Le groupe de personnes réellement vulnérables qui est touché par le SARS-Cov-2 – en particulier les personnes de plus de 70 ans ayant des antécédents médicaux34 – peut être protégé de manière ciblée par des mesures moins sévères («Focused Protection»).35 Il est également incompréhensible que des protocoles de traitement précoce (médicamen-teux) ne soient pas enfin examinés et généralisés pour le traitement du SARS-Cov-2 36 – au lieu de simplement isoler les personnes malades sans traitement, de les laisser se débrouiller seules et de favoriser ainsi d'éventuelles évolutions graves.
4. Nocivité des mesures
17 Les mesures du Conseil fédéral sont non seulement totalement inadaptées et inutiles, mais elles vont même à l'encontre des objectifs poursuivis : Sur les 11’172 personnes décédées jusqu'au 1.12.2021 dans le cadre d'une « infection SARS-Cov-2 confirmée en laboratoire », 7’819 (70 %) étaient âgées de plus de 80 ans et 2’249 (20,1 %) entre 70 et 79 ans. 45 % sont décédées dans un EMS, 45 % dans un hôpital, 2 % ailleurs et pour 8 % des personnes décédées, aucun lieu de décès n'a été indiqué.37
18 Les non vaccinés ne peuvent précisément pas être tenus pour responsables des « décès COVID » actuels dans les maisons de retraite et les établissements médico-sociaux, car un certificat obligatoire pour les visiteurs et le personnel soignant y a été introduit progressivement dans toute la Suisse à partir de septembre 2021. Les visiteurs et le personnel soignant non vaccinés ne pouvaient donc entrer en contact avec les résidents de ces institutions qu'après avoir présenté un résultat de test négatif, tandis que les vaccinés pouvaient continuer à avoir des contacts sans présenter de résultat de test négatif – et ce, bien qu'ils transmettent le SARS-Cov-2 tout comme les non vaccinés.38 Les visiteurs et le personnel soignant vaccinés dans les maisons de retraite et de soins présentent donc actuellement un risque de transmission nettement plus élevé – ils sont même probablement les seuls responsables d'une contamination.39 Il en va de même, suite à l'introduction de la réglementation 3G pour les visiteurs et le personnel soignant des hôpitaux, pour une contamination potentielle à l'hôpital si un patient n'a été infecté par le SARS-Cov-2 qu'une fois sur place.40
19 Au lieu d'introduire enfin des mesures ciblées telles que la «Focused Protection»41, avec le système 2G, le Conseil fédéral fait précisément en sorte que le seul instrument qui serait éventuellement adapté à la protection des personnes vulnérables – à savoir le dépistage régulier – soit repoussé. Le Conseil fédéral ne résout ainsi aucun problème – il ne fait qu'aggraver les problèmes existants.
5. Conclusion
20 Le fait que des personnes en bonne santé n'ayant pas la possibilité de faire un test soient exclues d'une grande partie de la vie publique ne peut être justifié d'aucune manière, ni sur le plan épidémiologique, ni sur le plan juridique. L'objectif de l'ensemble du Conseil fédéral semble être uniquement d'obliger la partie « réticente » de la population suisse non vaccinée à se faire vacciner par des contraintes de plus en plus totalitaires. Avec un ensemble de mesures inutiles et dangereuses – en particulier avec l'obligation du certificat 2G – le Conseil fédéral viole la Constitution fédérale suisse à plusieurs reprises. Il viole des droits fondamentaux et des libertés comme le droit à l'intégrité physique et à la liberté de mouvement (art. 10, al. 2, Cst.), le droit des enfants et des jeunes à une protection particulière de leur intégrité (art. 11, al. 1, Cst.), la liberté d'association (art. 23 Cst.), la garantie de la propriété (art. 26, al. 2, Cst. ; expropriation matérielle) et la liberté économique (art. 27 Cst.). En outre, il viole le principe de l'égalité de droit (art. 8, al. 1, Cst.), l'interdiction de la discrimination (art. 8, al. 2, Cst.) et l'interdiction de l'arbitraire (art. 9 Cst.).
____
En vertu des pouvoirs que les articles 169 (Haute surveillance) et 170 (Évaluation de l’efficacité) de la Constitution fédérale confèrent à l’Assemblée fédérale, nous vous invitons à demander au Conseil fédéral
• de se déterminer comment il songe rétablir l’ordre constitutionnel ainsi que
• de démontrer à l'Assemblée fédérale quels sont les avantages globaux que ses mesures du 8 septembre 2021 (extension du certificat 3G) et du 17 décembre 2021 (certificat 2G) ont apportés à ce jour à la Confédération et aux cantons sur le plan
épidémiologique, économique, privé et social.
Obamot a écrit :
SixK a écrit :C'est clair que la plainte suisse va être intéressant à suivre, parce-qu'il y a tout ce qu'on dit ici.
Mais ce sera jugé dans combien de temps ? 6 mois, 1 an, 2 ans, ..., 20 ans ?
ça nous confirme dans l'idée que tout le monde pourri est bel et bien pourri. Une seule pomme pourrie suffit pour faire pourrir tout un panier et plus encore. La preuve: TOI!et si elle n'aboutit pas du coup vous changez d'avis, ou bien ça vous confirme dans l'idée que tout le monde est pourri ?
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