Adrien (ex-nico239) a écrit :VetusLignum a écrit :Une nouvelle théorie sur l’origine du SARS-CoV-2, très bien étayée, d’autant plus qu’elle reconstitue presque toutes les pièces du puzzle.
1) Les mineurs ont été infectés par le RaTG13 (ou un virus proche, et peut-être par d’autres COVs simultanément)
2) Le virus RaTG13 a muté en SARS-CoV-2 dans leurs poumons (ou dans le poumon de l’un d’entre eux)
3) Fin 2019, un employé du WIV a été contaminé par ce virus et en a initié la circulation
A lire absolument : https://www.independentsciencenews.org/ ... -pandemic/
L’une des faiblesses de cette thèse est que, dans ce cas, on ne se serait attendu à ce que l’épidémie démarre de l’hôpital où ces mineurs étaient soignés. Les auteurs répondent que les médecins de l’hôpital avaient compris le risque de pandémie, et pris toutes les précautions.
Une autre faiblesse est que certains chercheurs ont du mal à croire que le virus RaTG13 aurait pu évoluer en SARS-CoV-2 en juste quelques semaines, même dans les poumons d’un humain (même si certains des mineurs ont été malades pendant plusieurs mois).
Mais on ne peut pas exclure que le WIV ait effectué des manipulations supplémentaires sur les virus prélevés sur les mineurs.
Remonter la piste de la Covid sera le feuilleton policier de la décennie je pense ....
Espérons qu'on connaître la fin mot de l'histoire un jour
Le problème, c’est que le principal accusé (le WIV) est soutenu non seulement par le pouvoir chinois, mais aussi par tous ceux qui l’ont financé, comme le NIH, avec la complicité aussi de l’OMS, des compagnies pharmaceutiques qui veulent se faire de l’argent via un vaccin…. Donc, ceux qui devraient mener l’enquête ne la mènent pas, et les seuls qui enquêtent sont une poignée de virologistes éparpillés dans le monde, et qui, ce faisant, mettent en danger leur carrière.
As we noted in our earlier article, the most important of the questions surrounding the origins of SARS-CoV-2 could potentially be resolved by a simple examination of the complete lab notebooks and biosafety records of relevant researchers at the WIV. Now that a credible and testable lab escape hypothesis exists this task becomes potentially much easier. This moment thus represents an opportune one to renew that call for an independent and transparent investigation of the WIV.
In requesting an investigation we are aware that no scientific institution anywhere has made a comparable request. We believe that this failure undermines public trust in a “scientific response” to the pandemic. Instead, the scientific establishment has labeled the lab escape theory a “rumor“, an “unverified theory” and a “conspiracy” when its proper name is a hypothesis. By taking this stance the scientific establishment has given the unambiguous message that scientists who take the possibility of a lab origin seriously are jeopardising their careers. Thus, while countless scientific publications on the pandemic assert in their introductions that a zoonotic origin for SARS-CoV-2 is a matter of fact or near-certainty (and Andersen et al has 860 citations as of July 14th), there is still not one published scientific paper asserting that a lab escape is even a credible hypothesis that deserves investigation.
Anyone who doubts this pressure should read the interview with Birger Sørensen in Norway’s Minerva magazine in which Sørensen discusses the “reluctance” of journals to publish his assessment that the existence of a virus that is “exceptionally well adjusted to infect humans” is “suspicious” and “cannot have evolved naturally”. The source of this reluctance, says Sørensen, is not rationality or scientific evidence. It results from conflicts of interest. This mirrors our experience. To find genuinely critical analysis of COVID-19 origin theories one has to go to Twitter, blog posts, and preprint servers. The malaise runs deep when even scientists start to complain that they don’t trust science.
We nevertheless hope that journalists will investigate some of the conflicts of interest that are keeping scientists and institutions from properly investigating the lab escape hypothesis.