izentrop a écrit :plus souvent si il est unicellulaires.ABC2019 a écrit :evidemment qu'un virus mute, comme tous les organismes à ADN/ARN.
un virus n'est pas unicellulaire, il est nullicellulaire ;).
izentrop a écrit :plus souvent si il est unicellulaires.ABC2019 a écrit :evidemment qu'un virus mute, comme tous les organismes à ADN/ARN.
Christophe a écrit :Sans doute la meilleure contre analyse #HOLD-UP francophone :
izentrop a écrit :plus souvent si il est unicellulaires.ABC2019 a écrit :evidemment qu'un virus mute, comme tous les organismes à ADN/ARN.
Y’a ceux qui en ont, et puis y’a les autres !sicetaitsimple a écrit :Christophe a écrit :Mais de quoi tu parles ?
Ah oui il faut des couilles pour le dire !! Des couilles, c'est ce qui manque actuellement dans le paysage public à défaut des trouducs...
On ne parlera pas de la talle de tes couilles.....
Étienne Decroly est directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) au laboratoire Architecture et fonctions des macromolécules biologiques (CNRS/Aix-Marseille Université), membre de la Société française de virologie.
Concernant le Sars-CoV-2, son génome indique qu’il est proche d’un virus de chauve-souris nommé RaTG13… mais pas assez proche pour qu’un passage direct soit vraisemblable. C’est un peu comme si on tenait le grand-père du virus actuel, mais pas son père ! Il y a donc là une énigme scientifique, car la thèse initiale selon laquelle l’hôte intermédiaire serait le pangolin a été infirmée par la recherche — le coronavirus du pangolin est en réalité très différent du Sars-CoV-2 si on regarde l’ensemble du génome.
L’hypothèse de l’accident de laboratoire doit être considérée au même titre que les autres, et rien pour l’instant ne permet de la disqualifier. Les évasions de laboratoires sont rares mais documentées, il y en a eu quatre en vingt ans seulement avec les coronavirus humains Sars-CoV-1 et Mers-Cov, et il y a eu de nombreux accidents avec d’autres pathogènes viraux et bactériens. Des infections accidentelles de chercheurs ou techniciens peuvent advenir en manipulant des animaux infectés, qui parfois se débattent, mordent, etc., ou bien simplement en travaillant sur les virus ; et si ces infections sont asymptomatiques, elles peuvent passer inaperçues. On peut aussi imaginer que le virus s’échappe par les eaux usées, contamine des animaux sauvages, et se mette à circuler de cette façon.
Une chose est certaine, outre le fait que l’Institut de virologie de Wuhan détenait une collection de virus de chauve-souris : les projets scientifiques qui étaient financés dans ce laboratoire visaient à comprendre les mécanismes de franchissement de la barrière d’espèce et le développement de contre-mesures. C’est écrit dans leurs demandes de financements, et les publications de ces chercheurs montrent bien que c’était l’objet de leurs recherches.
Obamot a écrit :Jean-Marie Biggard, “la théorie du complot” les “décideurs” et les “scientifiques”.
Le bonhomme est parfois contestable mais cette fois il tape dans le mille.
C'est plutôt l'inverse dans son cas https://www.lexpress.fr/actualite/scien ... 35739.htmlChristophe a écrit :...je me demande si les directeurs de recherche du CNRS ne seraient pas un peu plus couillus à Marseille qu'ailleurs ! C'est Raoult qui les booste ou quoi ?
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