ABC2019 a écrit :
mais l'activité ce n'est pas la croissance.
la croissance c'est l'augmentation de l'activité.
OK si tu veaux je ne suis pas facile a suivre
. Je poursuis ma croissance de connaissances .
Je pourrais ajouter qu’une consommation stable dans une économie comme la notre, basée sur de multiples ressources fossiles, implique une croissance de consommation d’énergie pour maintenir un service constant.
Puisque les ressources fossiles se raréfiant, elles réclament plus d'effort pour être extraites, purifiés, transformées.
Même la stabilité de notre 'existant implique une croissance de consommation dans le réel.
ABC2019 a écrit :
Pourtant je suppose que ça fait un bout de temps que tu as arrêté de grandir, peut etre même rapetisses tu un peu, et pourtant tu as toujours besoin de manger ...
Je n’ai jamais dit qu’économiquement il ne serait pas possible d’être stable, à l’image d’un être humain qui a terminé sa croissance.
C’est même ce que je souhaite à travers une
économie durable.
Sauf que ce n’est pas possible avec le capitalisme et la monnaie-dette.Ex : Tu es capitaliste dans une économie stable.
Tu obtiens des dividendes de ton capital.
Tu les réinvesti, réclamant encore plus de dividendes.
Bref tu fais comment pour t’enrichir dans une économie stable, à la masse monétaire figée ?
Nécessairement tu prends aux autres…
Le seul moyen de ne pas siphonner les pauvres* est la croissance de tout.
*merde, y a plus de clients, ni de petites mains pour faire mon sale boulot ,ils sont morts …
je suis riche mais tout seul
même le plus riche survivant de la Terre
ABC2019 a écrit :
ce n'est pas un choix, le "productivisme aveugle" aura FORCEMENT une fin. Tout ce que tu peux discuter , c'est jusqu'où on va monter, quand aura lieu la fin, et par quoi il pourra être remplacé de manière durable. Mais la fin en elle même est inéluctable.
C’est une manière bien fataliste d’envisager la fin, inéluctable, en effet.
Je prône la fin volontaire en se dirigeant volontairement vers une autre voie =
la durabilité.
Tu prônes la fin subie dans une crise majeure, sans rien envisager comme sortie.
Ton apathie sera mon choix subi….car je ne peux rien faire seul.
En ne faisant rien, tu es responsable du chaos qui arrive.
Ce n’est pas un jugement de ma part, c’est un fait.
Je te rassures tu es loin d’être le seul.
Je ne pose pas en exemple , mon action est sans doute très très dérisoire, peut être même nulle.
Je ne cherches pas à te faire culpabiliser non plus, je te place devant ta responsabilité sans fard.
Tu ne voulais pas ? Pardon