Les résultats de l'intervention ne sont principalement connus que par les dires de la Russie elle-même, qui, dans une vidéo publiée sur internet le 22 août 2018, avance des résultats chiffrés : la maîtrise de son territoire par le gouvernement syrien est passé de 8 % à 96 %, 63 012 militaires russes sont intervenus, dont 434 généraux, l’aviation russe a effectué 39 000 sorties, qui se sont traduites par la mort de « plus de 86 000 rebelles » et la destruction de 121 466 « cibles terroristes », 189 bâtiments navals ont été engagés, 231 types d’armes ou d’équipements de défense y ont été testés, dont des avions, des systèmes sol-air et des missiles de croisière. Cette vidéo peut être comprise comme une opération publicitaire au profit de l'industrie de l'armement russe...
Obamot a écrit :Oui, “le dictateur” la belle affaire…
La suite: https://www.marianne.net/monde/proche-o ... -syriennes
Aloïs Brunner, le nazi derrière l'horreur des prisons syriennes
Les images cauchemardesques de la prison de Sednaya, où étaient enfermés les prisonniers politiques du régime de Bachar al-Assad, sont devenues le symbole de la cruauté du système répressif que son clan déployait depuis des décennies. Des scènes d’horreur qui rappellent que les méthodes de la famille Assad ont été façonnées en partie par le nazi Aloïs Brunner, qui a formé pendant près de quarante ans les principaux lieutenants de Hafez al-Assad (père de)....
.... C’est en 1966 qu’il conclut un pacte avec le père de Bachar al-Assad, alors ministre de la Défense. « Cinq ans plus tard, Hafez al-Assad s’empare du pouvoir. Avec l’aide d’Aloïs Brunner, le nouveau président syrien met sur pied un appareil répressif d’une rare efficacité. Complexe, divisé en nombreuses branches qui toutes se surveillent et s’épient, fonctionnant sur la base du cloisonnement absolu, cet appareil s’érige sur un principe : tenir le pays par l’usage d’une terreur sans limite », racontent les auteurs de l'enquête « Le nazi de Damas ».
janic a écrit :Historiquement, tous les dominés devenus dominants reprennent les mêmes méthodes que les précédents pour leur efficacité politique. Car "tout ce qui est a déja été et sera encore"
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, lors d'un rassemblement à Sakarya dans la soirée du 13 décembre 2024, a annoncé son intention d'inclure un certain nombre de villes syriennes, comme Alep, Idlib, Damas et Raqqa, dans la Turquie.
"Alep, Idlib, Damas et Raqqa deviendront nos provinces, comme Antep, Hatay et Urfa", a déclaré Erdogan, suscitant un tonnerre d'applaudissements de la foule.
Cette déclaration a immédiatement provoqué un tollé international. Les propos du dirigeant turc ont été qualifiés de violation flagrante de la souveraineté syrienne et de contradiction avec le droit international.
Les experts estiment que la déclaration d'Erdogan pourrait viser à renforcer les sentiments nationalistes dans le pays à l'approche des élections législatives en Turquie, prévues au printemps 2025.
Dans le même temps, les autorités turques poursuivent leurs activités militaires et économiques actives dans les régions du nord de la Syrie, ce qui fait craindre une éventuelle annexion de ces territoires. En particulier, depuis 2016, la Turquie a mené plusieurs opérations militaires dans le nord de la Syrie sous prétexte de lutter contre les terroristes, ce qui a renforcé sa présence dans la région.
Les experts notent que toute tentative d'occupation de la Syrie entraînerait l'opposition des États-Unis, ce qui pourrait menacer un nouveau conflit armé sur le territoire de la République arabe.
Подробнее на: https://avia.pro/news/prezident-turcii- ... vat-siriyu
Ferme-là je parlais de mémoire t’en n’a même pas parlé t’en savais rien, après tu tournes en rond comme une hélice sur le woueb comme quand tu cherches à épater Christophe et la galerie… pathétique… si on résume ta logorrhée de fakes (et pas besoin de d’activer ton clone pour venir à ta rescousse), c’est cuit.GuyGadeboisLeRetour a écrit : Ps: Les relations d'entente entre l'État syrien et la Russie datent d'avant l'indépendance de la Syrie, en 1946, où un traité secret est signé entre l'Union soviétique et les futurs dirigeants syriens.
au moins je vérifiais et ça s’est avéré EFFICACE face à ton intox ici où tu tablais sur 2 poignées de missiles (prétendant un .gif tournant en boucle alors que j’avais vu la scène “en direct” FTG 1GuyGadeboisLeRetour a écrit :Merci au monsieur qui arrive à compter les missiles tombés dur Israël via une vidéo Youtube
fake News, basée sur une hypothèse d’izenentrop => sors-nous la moindre recommandation disant de chauffer des graines avec des acides gras essentiels qui sont très vite dénaturées puisqu’ils les presses à froid TDC … FTG 2GuyGadeboisLeRetour a écrit : Et qui vient encore de se planter la-men-ta-ble-ment devant tout le monde avec ses calculs à la noix -rappelons que le pain au noix ne contient PAS d'acides gras trans, ce qui a été démontré, contrairement à ce qu'il avance)
Pov’ con t’en n’avais même pas parlé FTG 3Les résultats de l'intervention ne sont principalement connus que par les dires de la Russie elle-même,
Bref, bienvenue au théâtre de Guignol !
c’est ballot j’avais dit 500 (et c’est à peu près ce dont je me souvenais), les Russes n’avaient pas lésiné sur la logistique et la formation + mise au point de nouveaux équipements (on en a “éventuellement” deviné le pourquoi ensuite: “opération militaire spéciale”) FTG 10xxx tu l’as dans l’os jusqu’au trognonAvec une force de 5000 personnes incluant les combattants, les avions, les hélicoptères, les drones, les batteries antimissiles, les unités de guerre électronique, un porte-avions et une flottille de six navires de guerre et quatre navires de ravitaillement, la proportion de personnel de soutien serait effectivement élevée.
Pour une opération de cette envergure, la logistique et le soutien sont essentiels. En général, pour des forces aériennes et navales importantes, la proportion de personnel de soutien peut être beaucoup plus élevée que seulement avec des fantassins. On pourrait estimer qu’il y a probablement plus de 10 à 15 personnes à l’arrière pour chaque combattant au front, surtout avec des équipements complexes comme des avions de chasse et un porte-avions, dans un tel cadre avec de la formation et des instructeurs. Et à plusieurs milliers de kilomètres des bases arrières du pays.
Cela inclut :
2 bases militaires aériennes.
Tests de nouveaux matériels militaires expérimentaux. Donc des équipes d’ingénieurs et techniciens aptes à apporter des correctifs sur les matériels testés (tant aéronotiques que terrestres.
Personnel de maintenance et de réparation pour les avions, hélicoptères, drones et autres équipements.
Équipes de soutien logistique pour l’approvisionnement en carburant, munitions, nourriture et autres matériels.
Personnel médical pour les soins et la gestion des hôpitaux de campagne.
Spécialistes en guerre électronique et en communication.
Équipage du porte-avions et de la flottille, qui comprend des techniciens, des ingénieurs, des opérateurs de radar, etc.
Dans le détail:
Chaque navire de guerre peut nécessiter entre 200 et 300 membres d’équipage, donc pour 6 navires, cela représente environ 1200 à 1800 personnes.
Les navires de ravitaillement peuvent nécessiter environ 100 à 150 membres d’équipage chacun, donc pour 4 navires, cela représente environ 400 à 600 personnes.
Avec la flottille, le besoin en personnel de soutien logistique, maintenance, et médical augmente proportionnellement. On peut estimer qu’il y a plus de 10 personnes de soutien pour chaque combattant au front.
Formation militaire :
Si une proportion notoire des 5000 personnels est en formation, cela réduit le nombre de combattants disponibles pour le front.
En prenant en compte ces facteurs, voici une estimation :
Total personnel pour les navires : 1600 à 2400 personnes.
Personnel de soutien pour les avions, hélicoptères, drones, batteries antimissiles, unités de guerre électronique, porte-avions, et navires : environ 2500 à 3500 personnes.
Combattants au front : environ 100 à 500 personnes, en fonction du nombre exact de personnes en formation.
Ainsi, pour une force totale de 5000 personnes, il pourrait y avoir environ 4000 à 4500 personnes dédiées au soutien logistique et opérationnel, formation, mise au point et protection des installations au sol, laissant environ entre 100 à 500 combattants directement et réellement engagés au front.
Les résultats de l'intervention ne sont principalement connus que par les dires de la Russie elle-même, qui, dans une vidéo publiée sur internet le 22 août 2018, avance des résultats chiffrés : la maîtrise de son territoire par le gouvernement syrien est passé de 8 % à 96 %, 63 012 militaires russes sont intervenus, dont 434 généraux, l’aviation russe a effectué 39 000 sorties, qui se sont traduites par la mort de « plus de 86 000 rebelles » et la destruction de 121 466 « cibles terroristes », 189 bâtiments navals ont été engagés, 231 types d’armes ou d’équipements de défense y ont été testés, dont des avions, des systèmes sol-air et des missiles de croisière. Cette vidéo peut être comprise comme une opération publicitaire au profit de l'industrie de l'armement russe...
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