yool a écrit :...
Ton argument est trop simpliste. Les populations plus au sud, la ou le climat est plus rude, ça ne va pas changer pour eux? Les personnes habitant à l'équateur seront plus touchés car l'humidité vient s'ajouter à l'équation. Cela induit également des changements plus globaux (réchauffement des océans, fontes des glaces...), mais ça tu t'en fous...
"
tu t'en fous" : encore un quidam qui prétend avoir le monopole du coeur, après nous avoir régurgité la messe des medias.
1) les prévisions sont fausses, c'est facilement vérifiable en prenant les prévisions passées, à 5 ans. La climatologie n'est pas encore une science, c'est de la recherche, pas un savoir. Cela reste pour le moment une manipulation de modèles mais contrairement à la physique, sans les équations mathématiques de théories solides sous-jacentes.
2) l'effet du CO2 est surestimé et la vapeur d'eau sous-estimée. On ne s'en étonne pas. Le GIEC est devenu un organisme politique, du fait que ses fonds sont proportionnels à l'alarmisme qu'il fait. Pour cette raison, des pressions sont même exercées sur ses membres pour éviter certains sujets d'étude (comme les cycles naturels), nous ont raconté d'anciens membres.
3) même s'ils avaient raison, ce qui n'est pas le cas, il a été calculé que la mise en oeuvre des accords de Paris n'auraient quasiment aucun impact sur le climat à 20 ans (de l'ordre du dixième de degré), par contre question dégâts économiques, liés aux sommes fabuleuses englouties pour rien, là les peuples morfleraient, surtout les plus pauvres.
Il n'y a aucune urgence climatique. Et s'il y en avait une, nous ne pourrions l'enrayer.
Il est donc urgent de ne rien faire, dans le pire des cas nous préparer à nous adapter. Nous n'avons pas à nous suicider tout de suite parce que des incompétents politisés nous inventent des risques imaginaires dans l'avenir.