"the cure could be worse than the disease".
Son avis d'expert est qu'il n'y a pas d'urgence, le climat ne pose pas de risque existentiel. Ne pas adopter de "solutions" qui s'avéreraient pire que le problème potentiel (comme l'appauvrissement des populations par des alternatives énergétiques aussi chères qu'inutiles) est donc un indispensable principe de précaution. Actuellement il n'est pas pris.