
et je dirais même plus, ah non ça c’est Dupond et Dupont...
J'assume complètement le fait que la gestion démocratique des ressources causerait du retard sur le progrès superficiel. C'est justement le but, filtrer le superficiel pour ne pas gâcher bêtement des ressources.
la médecine ne serait pas retardée par exemple, chacun y voyant une utilité immédiate.
Les véhicules évolueraient peu sauf à migrer vers une énergie plus durable que le pétrole.
En tout cas, l'air du temps est à la démocratie directe et à la co-création. L'individu ne veut plus subir le monde mais y participer. Ça me semble responsable et positif.
Après on a le monde correspondant au niveau moyen d’éducation, si on n’est pas content il faut éduquer.
Par contre on ne perd rien, on part d'aujourd'hui, donc tu as droit au smartphone...

On ne peut évidemment savoir quel produit aussi génial soit il, la gestion économe des ressources censurerait. Si tu n'y goûtes pas, ça ne te manques pas, où est le problème au fond ?
En entreprise ce qui marche le mieux en terme d’économie, c’est quand le client exprime précisément son besoin,et non l'entreprise qui impose.
Le petit génie ne serait pas bridé, il fait , il propose mais il faut être convainquant ensuite.
Personnellement je ne vois pas l’intérêt fondamental du smartphone, par contre "on" commence a m'obliger a y penser: la demat papier qui pousse a migrer vers des applis....
Le téléphone portable a un intérêt majeur en cas d'urgence.Sorti de ça, le fixe filaire, rempli la fonction, ou éventuellement skype sur ordi.
Par contre discuter de la plage avec le cousin en Australie en braillant et faisant chier tous les voisins de plage, en ignorant la vie qui l’entoure, je ne suis pas convaincu du progrès.
ou rester connecté avec l'entreprise pendant les vacances, encore moins.
Bref, l'idée étant de préserver les ressources car elles sont limitées, le smartphone optimum serait recyclable et réparable, peut être un peu moins sympathique en terme de dimensions, que les jetables n'ayant pas les mêmes contraintes.