Tout est possible hein... On verra bien l'état de la queue de l'avion (si on la verra) qui vivra verra (ou ne verra pas) mais si l'autre était à des km (entre deux démentis

)....depuis la surface ça fait déjà 3km, donc 4, 5 ou 6, c'est la routine...et dire que maintenant Airbus songe à faire les boîtes noires "
éjectables avant impact"! Bien bien... 10, 20, 40 km plus loin?
De toute façon cette dernière nouvelle (ci-dessous) relance la thèse de l'accident, parce que là c'est du concret (enfin 3 vraies ou fausses alertes supplémentaires — faudra voir ce qu'en dit Airbus — mais c'est inquiétant):
Nouvel Observateur, Renaud Février, le 02 juin 2016 à 08h11 a écrit :
Crash du vol EgyptAir:
l'Airbus A320 a émis plusieurs alertes
dans les 24 heures avant le crash
Selon les informations de France 3, l'appareil aurait même dû faire demi-tour et se poser en urgence à au moins trois reprises.
C'est un élément qui pourrait être primordial dans l'enquête sur le crash du vol EgyptAir le 19 mai dernier. Selon "France 3" et "Le Parisien", trois alertes ont été enregistrées par le système de suivi en temps réel de l'état de maintenance de l'appareil, le système Acars (Aircraft Communication Addressing and Reporting System), qui permet de transmettre en plein vol des messages à la maintenance d'un avion en direction de sa compagnie aérienne.
"Le Parisien" évoque notamment "des dégagements de fumée au cours des vols précédents la tragédie". Or on se souvient que des messages similaires ont signalé des fumées dans les toilettes et dans la soute avionique, située sous le poste de pilotage, dans les minutes avant le crash de l'Airbus A320.
"Ce type d'avion est équipé de plusieurs détecteurs optiques chargés de capter les éventuels dégagements de fumée et les transmettent automatiquement au système Acars auquel ils sont reliés", explique ainsi une source aéroportuaire au quotidien.
Selon les informations de "France 3", l'appareil aurait même dû faire demi-tour et se poser en urgence à au moins trois reprises au cours des 24 heures précédant le crash. A chaque fois, les systèmes d'alerte se sont déclenchés "peu après le décollage", indique le site de la chaîne, entraînant "à chaque fois une vérification technique au sol qui s'est révélée négative puisque l'appareil a pu redécoller".
"Le Parisien" précise que ces alertes ont eu lieu à Asmara, en Erythrée, à Tunis, en Tunisie, et au départ du Caire, en Egypte.
De "fausses alertes" ?
"Il arrive parfois que ces détecteurs soient perturbés par l'humidité ou par la vapeur de l'air conditionné à bord des cabines surchauffées", explique au "Parisien" sa source aéroportuaire.
"C'est un peu comme si un voyant s'allumait sur votre tableau de bord de voiture sans constater pour autant d'incident avéré. Comme une malfonction du système d'alerte", pointe également un technicien dans les colonnes du quotidien.
"Mais ces équipements ont été nettement améliorés ces derniers temps pour ne pas se déclencher et émettre de fausses alertes intempestives", ajoute la source aéroportuaire du quotidien.
Le système Acars "se trompe rarement" confirme un pilote, toujours au "Parisien".
Quoi qu'il en soit, l'équipage n'a signalé aucun incident sur l'appareil lors de sa dernière escale à Paris, qui n'aura duré qu'une heure et sept minutes.
R.F.