Près de Tchernobyl, les chiens développent des superpouvoirs génétiques contre les radiations.
Une étude de l'Université de Columbia a révélé qu'après plusieurs générations, les toutous se sont acclimatés à leur environnement toxique. Ils ont développé des superpouvoirs génétiques leur permettant d'être immunisés contre les radiations, les métaux lourds et la pollution, rapporte le «Daily Mail», mardi 10 décembre. Et cette découverte pourrait être bénéfique pour les humains.
Sur les 116 chiens analysés, les experts ont identifié 52 gènes potentiellement liés à l'exposition à la contamination de la centrale nucléaire. En d'autres termes, l'environnement toxique a entrainé chez les chiens des mutations génétiques héréditaires, leur permettant de s'adapter à des conditions hostiles.
Et en mai, une étude a révélé que les rainettes noires, vivant à proximité du site, présentaient une longévité comparable à celle de leurs congénères. Le journal anglais va même jusqu'à dire que «cela suggère que la zone d'exclusion pourrait à nouveau être adaptée à l'habitation humaine». https://www.blick.ch/fr/monde/a-nouveau ... 01933.html
Darwin n'a jamais parlé d'évolution, mais d'adaptation, seulement[*], ce qui n'a rien a voir avec une pseudo évolution biologiquement improuvable.Que les espèces évoluent avec leur environnement n'est pas un scoop, Darwin l'avait déjà découvert.
en effet, je ne connais pas d’animaux assez cons pour cuire du pain dans un four et le bouffer avec des noix à l’intérieure, alors que fraîches, elles contenaient encore les précieux acides gras “CiS” (ultra sensibles à la chaleur…), dont les animaux se délectent non dénaturés!izentrop a écrit :Que les espèces évoluent avec leur environnement n'est pas un scoop, Darwin l'avait déjà découvert. Il n'y a que l'homme moderne qui n'évolue plus avec son environnement. Son génome se détériore au fil des générations.
Ça t'en bouche un coin
izentrop a écrit :Que les espèces évoluent avec leur environnement n'est pas un scoop, Darwin l'avait déjà découvert. Il n'y a que l'homme moderne qui n'évolue plus avec son environnement. Son génome se détériore au fil des générations.
Poncifs éculés, répétés à l'envie par les écervelés.GuyGadeboisLeRetour a écrit :Oui, à cause de la chimie que tu défends, de la malbouffe, de l'exposition aux multiples sortes "d'ondes" et des OGM que tu défends.
izentrop a écrit :Poncifs éculés, répétés à l'envie par les écervelés.GuyGadeboisLeRetour a écrit :Oui, à cause de la chimie que tu défends, de la malbouffe, de l'exposition aux multiples sortes "d'ondes" et des OGM que tu défends.
Non, grâce à la médecine et la chirurgie qui sauve des humains qui n'auraient pas survécu dans la nature.
Du temps des premiers hommes, comme pour tous les êtres vivants non assistés, les tares et les plus faibles sont éliminées par la sélection naturelle.
Comme constaté dans ces études et celle de janvier sur les loups, les radiations et métaux lourds n'empêchent pas la vie.
CQFD
Depuis la sédentarisation :GuyGadeboisLeRetour a écrit :Tordant et surréaliste, d'autant plus que les humains survivent depuis des millénaires et continuent de le faire "dans la nature" sans médecine (à part la médecine naturelle) et chirurgie qui sauve blabla..." !
A chaque génération, 70 bases chimiques de notre ADN sont mal recopiées par la machinerie cellulaire, lors de la fabrication des spermatozoïdes et des ovules....
Les variants génétiques défavorables s'accumulent dans le génome humain. Cette accumulation récente est déjà perceptible : une étude publiée dans la revue Nature fin novembre 2012 révèle que 80 % des variants génétiques délétères dans l'espèce humaine sont apparus depuis 5 000 à 10 000 ans seulement...
En faisant émerger notre cerveau, l'évolution darwinienne a cependant créé les conditions de sa propre éradication : nous avons considérablement adouci les rigueurs de la sélection en nous organisant en société humaine solidaire. L'effondrement de la mortalité infantile est la traduction de cette moindre pression sélective. Elle touchait environ 20 % des enfants au XVIIe siècle, aujourd'hui autour de 0,3 %... Beaucoup des enfants qui survivent de nos jours n'auraient pas atteint l'âge de la reproduction en des temps plus sévères...
Cela veut-il dire que nos descendants vont tous devenir débiles en quelques siècles ou millénaires ? Evidemment pas ! Les biotechnologies vont compenser ces évolutions délétères.
A court terme, le séquençage de l'ADN du futur bébé est révolutionnaire. Il est possible de réaliser un bilan génomique complet du foetus à partir d'une prise de sang chez la future mère. Cette technique va étendre le champ de l'eugénisme intellectuel que l'Etat promeut déjà avec le dépistage de la trisomie 21 (97 % des trisomiques dépistés sont avortés). Puis, dès 2025, les thérapies géniques nous permettront de corriger les mutations génétiques qui menacent notre fonctionnement cérébral. La fin de la sélection darwinienne va nous pousser à pratiquer une ingénierie génétique de notre cerveau qui pourrait bouleverser notre avenir. https://www.lemonde.fr/sciences/article ... 50684.html
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