Viktor Orbán à Moscou
— "Panic on board" IILa "
diplomatie" européenne (avec le mafieux co-opté Joseph Borel bille en tête) prise de court par Viktor Orbán (qui vient juste de récupèrer la présidence du Conseil de l’U. E. pour six mois...) et qui, pourquoi pas, se la jouerait VDL en faisant en quelque sorte un peu cavalier seul en tant que dirigeant responsable agissant dans le sens de la Paix dans cette guerre continuelle et à hauts risques, aux portes de l'Europe.
Après sa visite fructueuse à Kiev en tant que coup politique réussi et légitime, il s'est en effet rendu à Moscou.
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— "Je n'ai pas besoin d'être mandaté, car je ne représente personne" (a-t-il déclaré pour répondre aux critiques injustifiables)
Et c'est là où cela devient piquant, panique à bord sur fond d'hypocrisie mainstream, car si l'U.E. a fait ses jeux, rien ne va plus dès lors que l'on parle de Paix, et les pouffes de France 24 se sont piégées elles-mêmes dans leur narratif anti-résolution du conflit et anti-déontologique.
Caroline de Camaret:
— "Viktor Orbán a provoqué un tollé en se rendant à Moscou" Ah bon? Je crois au contraire que les millions d'européens doivent se sentir soulagés d'un tel courage. On voit bien ici où se situe la fracture des mainstream-mensonges... Qui ne représentent pas du tout ce que pense l'opinion publique (il suffit de lire les commentaires de la vidéo....) .
Quand le narratif pro-guerre en prend un méchant coup: panique à bord !Quand en effet c'est Ursula Von Der La-Hyène qui va sans mandat à Kiev soutenir Piano-Bitesky dans une réthorique victimaire et guerrière anti-russe elle a le soutien des merdias, mais quand c'est une initiative pour la paix, "
ah non, il n'a pas de mandat pour ça, bla-bla-bla..." et rien pour saluer l'initiative d'Orbán OH COMBIEN LOUABLE, quelle honte ces journalopes (qui font pareil avec Gaza et feraient pareil sur Taïwan)...
On découvre d'ailleurs que
les 27 sont ligués entre eux pour ne pas parler à Vladimir Poutine... Et que Viktor Orbán serait encore le seul à ne pas le faire. Réunir les ingrédients d'un ostracisme pour faire monter l'animosité, rien de tel comme indrédient pour entretenir la guerre. On se souvient que c'est précisément cette attitude des néo-nazis de Kiev contre le Donbass, qui fut l'un des ingrédients du conflit entre 2014 et 2022 (avec déportations et appropriation de terres, après viols et assassinats, puis bombardements des civils à la clef, soit sur ses propres populations). Encore une honte absolue.
Et cette pouffe d'ajouter que:
— "la Hongrie a de graves problèmes avec l'Ukraine en raison de la minorité hongroise" Non Madame la journalope, dites la vérité, ce n'est pas "
la Hongrie qui aurait des problèmes avec l'Ukraine" mais bien
l'Ukraine qui a des problèmes avec ses minorités avec les bataillons de représailles ukro-nazis, qui les persécutent en pratiquant un génocide planifié sous couverture d'une guerre... Quelle honte, prises en flagrant délit de distorsion de la réalité et de manipulation de l'opinion...
Et Viktor Orbán ferait ça "
parce qu'il se sentirait isolé" dit-elle, alors même qu'elle venait implicitement d'admettre qu'il y était allé parce que la population hongroise y était persécutée (sans l'exprimer aussi explicitement, c'est pratique l'autisme...)
Et enfin,
cherry on the cake, selon elle: "
Viktor Orbán ralentirait le dossier ukrainien" (on croirait rêver si ce n'était pas un cauchemar habilement entretenu par ces mainstream-mensonges)... et de terminer en parlant de prétendues "
capacités de nuisances"... Si après ça les journalistes ne font pas purement dans la propagande politique en se vautrant sur leur déontologie, je ne sais pas ce que c'est...
On comprend également que les 27 ont éventuellement "dégarni la fonction présidentielle" pour mieux la neutraliser en ne lui donnant plus son importance antérieure. On voit bien ici la manœuvre de besoin de contrainte sur la fonction pour éviter qu'elle échappe au diktat du maître du jeu, outre-atlantique.
Allez Madame Camaret, continuez bien à faire des courbettes avec vos anales-lisent , la suite de votre carrière en dépend