pourquoi 'chercher' quand tout est dans le texte... (?)sicetaitsimple a écrit :D'après une recherche de photo par Google,
...et ce type de clichés n/b vieilli ne fait aucun doute sur l'époque, le tout dans la rédaction se rapportant au contexte, sans équivoque: 'Simple' l'expert a encore frappé droit au butObamot a écrit :C'est des "écolos" depuis leur origine
Bandera est l'un des dirigeants de l'Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA) et le dirigeant de l'Organisation des nationalistes ukrainiens, dite « OUN-B », à tendance extrémiste. Dans sa lutte pour l'indépendance de l'Ukraine contre la Pologne et l'Union soviétique, il collabore avec l'Allemagne nazie en créant la Légion ukrainienne, sous commandement de la Wehrmacht.
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Il part en Allemagne en 1932 pour apprendre les techniques de renseignement dans une académie à Dantzig13. À son retour, en 1933, il devient directeur adjoint des guides régionaux et commandant de l'UVO. Cette période se caractérise par une tension grandissante entre les autorités polonaises et la minorité ukrainienne. Les revendications des Ukrainiens se heurtent à une action punitive de « pacification » menée par les autorités polonaises [archive].
En 1933, Richard Yari et Yevhen Konovalets engagent des pourparlers avec la Gestapo en vue d'une collaboration et d'un soutien financier14.
Lors de la conférence de l’OUN à Berlin, en avril 1933, Stepan Bandera devient commandant régional de la zone ouest de l'OUN7.
Sous la direction de Bandera, l'OUN n'est plus axée sur l'expropriation et lance une série d'actions punitives contre les membres des autorités d'occupation polonaises15. Au cours de cette période, les membres de l'OUN ont commis trois assassinats politiques qui ont reçu une publicité considérable16
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Le 19 avril 1940, au château du Wawel, les nationalistes de l’OUN-B jurent loyauté au Troisième Reich représenté par le gouverneur général de la Pologne, Hans Frank ; en gage de leur bonne foi, ils offrent 38 cloches d'église aux fonderies allemandes41. En novembre 1940, par l'intermédiaire de Richard Yari, Stepan Bandera et l'Abwehr installent le siège de l'OUN-B à Vienne.
En avril 1941, à la suite du second congrès général de l'OUN-B, à Cracovie, Stepan Bandera est reconduit comme dirigeant du mouvement7. L'OUN-B prend la résolution de combattre les Juifs, considérés comme favorables aux Soviétiques, qui sont d'après lui l'avant-garde de l'impérialisme moscovite en Ukraine et aussi le « principal ennemi »42,43,44,45.
En 1941, l'OUN-B et le prêtre nationaliste Ivan Hrynokh créent une unité de renseignement, le SB (Sloujba Bezpeky, pour « service de sécurité »), aux méthodes similaires à celles du Sicherheitsdienst46 et commandée par Mykola Arsenytch-Berezovskiye.
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