Dit le GROS manipulateur (pour la bonne cause?), qui faisait croire à une perspective de débat loyal et équilibrée alors que pour lui les carottes étaient cuites — alors que son intime conviction et non celle guidée par les faits, l'avait déjà placé dans le jugement AVANT le procès — (tout comme le mandat contre le dirigeant russe, soit dit en passant) et qui sur fond de torrent d'inexactitudes et de déni (voire mensonges, dont certains assez profilés) se sera fait prendre la main dans l"sac !
C'était particulièrement malin de s'être abstenu de parler des victimes civiles... Dont je souhaiterais dire que personne ne les oublie, sacrifiées qu'elles sont pour des motifs idéologiques, mais qui n'auraient pas pu aboutir dans des fanatiques irresponsables, politiciens corrompus et/ou criminels dont le sort à venir des civils, a compté pour cacahuète.
Le TPI, s'il était impartial, ferait mieux de délivrer des mandats contre ceux qui ont tout déclenché (et provoqué le casus belli) que contre ceux/celui qui ont tout fait pour chercher à résoudre la crise. Je veux parler du quatuor diabolique Nuland/ Porochenko/ Merkel/ Hollande ...et qui n'ont avoué en groupe, que pour soulager leur conscience !
(Je n'y met pas Johnson et Zelensky, qui n'étaient pas aux affaires lors du "starting point" à Minsk).
! | Message de : Obamot |
sans vouloir prendre un ton impératif, c'est d'ailleurs parmi l'ensemble des faits, un faisceau de points invisibles de la scène géopolitique — qui explique comment et pourquoi la guerre a surgit — qui mettra du temps à être élucidé par les historiens et les juristes en Occident, car il faudra d'une part admettre l'implication délétère des USA (qui voulaient aller plus vite que "la musique des peuples à pouvoir évoluer selon leur degré de maturité" sans qu'on les y force par la guerre?), et bien sûr admettre en conséquence le contentieux non résolu par le "classement de l'en-cours sans suite" qui fut la preuve COMPTABLE* indiscutable que Maïdan était bien une combine pour cacher un coup d'état puis guerre proxy, (et tout le reste occulte d'attaque des USA contre la "prospérité" de ses principaux vassaux et paradoxalement rivaux : l'U.E.)
(*) Contentieux fiduciaire, stratégique, sociétal, politique et historique, là où a contrario il fallait donner du temps au temps, pour que l'appaisement vienne:
il s'agit également d'une prise d'otage de peuples, d'acteurs saisis dans leur plus profondes contradictions intrinsèques, point qui est toujours utilisé par les USA dans leurs guerres proxy, pour monter les blocs les uns contre les autres, dans des configurations déjà initialement tendues, qui n'est autre qu'une méthode (ou mystification) criminelle pour forcer le destin |