En simplifiant à l'extrême, ici il vaudrait bien dissocier/distinguer ce que voulaient les Ukrainiens (le peuple, qui voulait la paix) et ce que voulaient les va-t-en guerre poussés/instrumentalisés par Washington — (une guerre proxy pour tenter réaliser un changement de régime à Moscou), puis notamment diviser le pays pour s'emparer des ressources minières — (entre-autres intérêts occultes du clan Biden, déjà infiltré, et qui en plus de ses intérêts financiers, avait déjà entrepris une main mise sur la privatisation des terres semble-t-il, bien que ce fait soit évidemment contesté par des facts-chekers)
Quoi qu'il en fut, la guerre étaient prévue et voulue de longue date, par le régime fantoche de Kiev manipulé par Washington avec "la trahison de Minsk" de chefs de gouvernements de l'U.E. (Merkel et Hollande). Tout ce beau monde n'a pas hésité à sacrifier le peuple ukrainien dans une guerre fratricide. Et ce en profitant des dérives culturelles enracinées profondément autour de l'idéologie nazie, puissant détonateur.
Alors que — si j'ai bien compris — l'on parle de censurer la propagande (ici anti-russe) s'en est à plus d'un titre:
— déterrage qui n'a plus aucun sens, puisque les Russes n'exposent plus leur blindés aux javelins et qu'ils ont complètement changé leur tactique pour s'adapter.
— l'offensive sur Kiev avait un but bien précis, (maintes fois répété c'est pour ça que c'est de la propagande) soit d'attirer les forces ukrainienne, stationnées vers la ligne de contact du Donbass, proche de leur ligne Maginot — pour les faire remonter sur Kiev en renfort, et par la même occasion, de débusquer leurs cantonnements.
— même s'il y a eu des pertes ça a parfaitement fonctionné, puisque les Russes ont pu investir le terrain de Marioupol jusqu'à Kerson, et de Severdonetsk en remontant vers le nord jusqu'à la frontière nord avec la Russie grâce à cette stratégie.