

Christophe a écrit :
Ah bon? Je constate que c'est ce qui est pourtant entrain de se passer: je pense (à vérifier) qu'il y a plus d'épiceries actuellement que dans les années 90 et 2000! Il y a des petits commerces qui innovent comme la vente en vrac! (bien que LIDL fasse la même chose ici pour pistache et noix de cajou...)
"Six entreprises meurent toutes les heures en France" (UPA)
C'est l'estimation donnée par Jean-Pierre Crouzet, patron de l'Union professionnelle des artisans. Une estimation... sous-estimée
C'est vrai. D'après les derniers chiffres de la banque de France, il y a eu près de 63.000 défaillances d'entreprises entre septembre dernier et septembre 2013, ce qui fait donc environ 7 dépôts de bilan toutes les heures. Plus de 85% des défaillances concernent des microentreprises, c'est à dire avec moins de 10 salariés. Par ailleurs, une grande partie des dépôts de bilan touchent des entreprises de moins de trois ans.
Est-ce qu'il y a une recette pour durer ? C'est un peu ce qu'à voulu savoir l'Insee. Ses chercheurs ont étudié ce qu'étaient devenus en 2011 les entreprises crées cinq ans plus tôt. Et ils se sont rendus compte qu'il y a 4 facteurs qui augmentent les chances de survie malgré la crise.
Les hypermarchés, quarante ans après leur apparition en 1963, poursuivent leur expansion et leur nombre a augmenté de 9% en dix ans. Un défi et une menace pour le petit commerce qui doit aussi faire face aux supérettes venues s’installer en centre-ville. En 2003, l’alimentation spécialisée et l’artisanat commercial représentait environ 15,2% des parts de marché de l’ensemble du commerce de détail et artisanat commercial. Sur la dernière décennie (1993-2003), le commerce de proximité de la viande et du poisson n’a cessé de voir diminuer le nombre de ses établissements : -21% pour la viande, -43% pour la charcuterie et -21% pour le poisson. Ceci s’explique par un déplacement de la consommation de viande et de poisson vers des produits substitutifs (viande et poisson en plats préparés achetés en GMS). La boulangerie et la pâtisserie connaissent des écarts élevés ; la pâtisserie chute de 33% (forte concurrence de la GMS) alors que la boulangerie enregistre une baisse moindre de 6,4% (achats plus limités en GMS). Les secteurs des fruits et légumes et des produits laitiers ont perdu respectivement 23% et 39% de leurs établissements.
Si la consommation des fruits (+11%) et des légumes (+6%) progresse, la chute du nombre de magasins s’explique par la concurrence de la GMS (conserves et 4e gamme) ; il en est de même pour les produits laitiers dont la consommation est également en hausse (lait et crèmes +7% ; fromages +11% ; yaourts et desserts lactés +28%). En revanche, dans les régions de productions laitières, les achats se maintiennent pour le commerce de proximité. Quant au commerce de détail alimentaire spécialisé divers, il augmente sensiblement depuis 1998 après une baisse équivalente entre 1993 et 1998. Pour le commerce des fleurs, les achats restant assez constants, la variation relative du nombre des magasins s’explique surtout par l’évolution de la taille de ces derniers. Le commerce alimentaire de détail sur éventaires et marchés a enregistré lui aussi une baisse appréciable de 8% durant la décennie écoulée. Cependant, sa situation est moins difficile en raison de moindres charges et frais fixes par rapport au commerce en magasin. A l’inverse, le commerce alimentaire par automates connaît une véritable embellie (+176% de distributeurs).(sic!!!!ndlr)
Les actionnaires d'ExxonMobil rejettent des propositions pro-climat
AFP le 25 mai 2016
La compagnie pétrolière américaine ExxonMobil a contenu mercredi une fronde de certains actionnaires qui voulaient l'obliger à prendre en compte les conséquences financières des politiques de lutte contre le changement climatique.
Seuls 38,2% des actionnaires du groupe texan ont approuvé, lors de l'assemblée générale annuelle à Dallas (sud), une résolution lui demandant d'évaluer l'impact financier des politiques publiques environnementales sur son activité suite à l'accord de Paris de décembre 2015 sur le climat. C'est néanmoins une avancée comparé aux années précédentes où des résolutions similaires avaient été rejetées à une majorité plus large.
L'autre motion voulant contraindre le groupe à adopter des mesures contribuant à limiter le réchauffement climatique à 2°C par rapport à la période pré-industrielle n'a recueilli que 18,5% des suffrages exprimés, selon les résultats préliminaires diffusés en direct sur le site internet du groupe. Enfin, une proposition portant sur la nomination d'un expert climat au sein du conseil n'a recueilli que 21% des suffrages.
C'est une victoire pour le PDG Rex Tillerson, qui avait demandé aux actionnaires de s'opposer à ces résolutions déposées par des fonds de pension publics américains et britanniques et soutenus par d'importants actionnaires tels le fonds souverain de Norvège, le plus gros au monde, les banques européennes BNP Paribas, Natixis et HSBC ou encore les assureurs Axa et Aegon.
C'est difficile de voir les effets aux quotidien, il vaut mieux l'avis d'un spécialiste http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1450Mathilde a écrit :Est-ce que les effets du réchauffement climatique sont devenus de moins en moins néfastes ou est-ce le contraire ?
Michel Petit a écrit :Par contre, l’injection de vapeur d’eau dans l’atmosphère est sans effet durable sur la concentration de la vapeur d’eau dans l’atmosphère, dans la mesure où sa durée de résidence dans l’atmosphère n’est que de une à deux semaines. Cette injection ne modifie donc pas le climat.
Cela représente une évaporation de plus de près de 16 milliards de litres d'eau évaporée chaque seconde
La consommation mondiale d'énergie représente 390 tonnes d'équivalent pétrole chaque seconde
Michel Petit a écrit : Enfin, l’évolution observée de la composition isotopique du carbone des molécules du CO2 atmosphérique reflète très précisément les origines naturelles et fossiles des sources de carbone atmosphérique...
Michel Petit a écrit :L’augmentation annuelle de la concentration de CO2 observée n’est que la moitié du rejet annuel dans l’atmosphère du CO2 produit par l’utilisation des combustibles fossiles.
Revenir vers « Changement climatique: CO2, réchauffement, effet de serre... »
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 71 invités