izentrop a écrit :Tu le crois ou pas, je ne m'étendrais pas sur le mot "croyance" sinon le débat va encore s'éterniser et tourner en boucle sans intérêt.
Oui restons centrés sur le climat.
Bien que se soit toi qui ait démarré une polémique sur la croyance !
Aller, je mets une couche sur la croyance: information mémorisée dans le cerveau, qu'elle soit considéré vraie, ou fausse.
bref nous sommes un paquet de croyances(moi) face à un autre paquet de croyances(l'autre).
La vérité, elle, reste sur le bas coté et nous regarde en se marrant !
Sur le climat, en effet les éléments que tu apportes vont dans le sens de ce que je disais: la nature n’apprécie pas les changements brutaux de climat mais elle les encaisse au prix de destructions de milieux et d’espèces.
Ce que nous voudrions éviter, avec nous dedans.
Il est vrai que le climat est "plutôt" stable depuis 10 000 ans, date à laquelle est née l'agriculture.
le climat parait stable en moyenne sur Terre mais pour certaines zones géographiques, justement là où est née l'agriculture (Mésopotamie) et tout le moyen orient, ça c'est plutôt asséché pendant ces 10 000 ans.
donc stable grosso modo mais pas stable partout...
le niveau des mers suit la même courbe que la température:
en zoomant sur l'elevation recente du niveau de la mer, rien que du linéraire, pas d'envolée suite au rechauffement prentenduement anthropique.
Pourtant pour les temperatures, Aïe !
mais c'est justement l'envolée finale qui fait polémique, voir Courtillot.
soit tu admets que le GIEC s'avance bien rapidement pour conclure à une élévation de température presque exponentielle ces dernières années, soit tu admets que le GIEC synthetise des études objectives , n'ayant rien laissé de coté et dans ce cas c'est bien la cata qui nous attend et en plus se sera de notre faute !
Enfin si on rappelle la mission du GIEC:
" Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations
d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les
fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine,"
certes "sans parti pris" annoncé mais réchauffement sans "d'origine humaine" eut été mieux.
il le savent à l'avance mais vérifient quand même, au cas où, sans parti pris...