le souci ne vient pas des algues, elles mêmes, si elles décarbonent (sic) mais de conduire à vouloir se substituer(une sale habitude) aux mécanismes de la nature dont la complexité nous échappe. Presque tout ce que des écolos ont voulu faire pour lutter contre des conditions inhabituelles ( invasion de parasites, de nouveaux prédateurs, par exemple); on souvent fait pire que la situation existante. Là c'est la même chose, certains voudront augmenter la présence d'algues sans tenir compte des risques que cela puisse avoir sur le milieu environnant.hors procès d'intention, sur la nature même de la solution d'utiliser des algues pour stabiliser ou accélérer la décarbonations de l’atmosphère, quel est le souci ?
L'exemple de la vaccination en est caractéristique avec une bonne volonté d'agir pour réduire une pathologie, mais qui participe au contraire à favoriser et même répandre ces virus mutants. L'enfer est pavé de bonnes intentions! en clair: "primum non nocère" d'Hippocrate, mieux vaut ne rien faire que de risquer de faire pire et faire pire, c'est justement notre spécialité humaine!